1. T'entends des voix ?
2. Richard travaille pour qui d'après toi ? Nommé par qui ? Et pourquoi ?
4. Mais ce dont tu as envie, ils n'en ont rien à carrer. Mais rien du tout.
Paris, le 6 novembre 2007
Chers Anciens,
Révolution dans le monde de l’Université et des Grandes Ecoles : le Parlement a décidé cet été que c’est de plus en plus par des crédits d’impôts au bénéfice des particuliers et des entreprises que seront financés les établissements d’enseignement supérieur et de recherche.
Ainsi, 66 % des dons que vous accepteriez de faire à Sciences Po en 2007 seront déductibles du montantde l’impôt sur le revenu que vous paierez en 2008 (dans la limite de 20 % de votre imposition). Et si vous êtes redevable de l’ISF, vous pourrez verser à Sciences Po jusqu’à 50.000 € au titre de cette imposition.
En somme, vous avez désormais le choix entre verser vos impôts à l’Etat ou bien vous en acquitter, àhauteur des 2/3, par une affectation dont vous décidez vous-même.
Cette révolution financière est aussi une révolution culturelle. Elle me conduit à vous demander de soutenir Sciences Po, à titre personnel, ce que, contrairement aux universités anglaises ou américaines, on n’a pas l’habitude de faire en France. Nous allons être sûrement nombreux à nous concurrencer pour tenter de vous convaincre.
Saine émulation !
Alors pourquoi choisir Sciences Po plutôt que les autres ? Et, dans ce cas, à quoi servira votre argent ?
Choisir Sciences Po aujourd’hui, c’est nous juger sur des résultats : l’intégration internationale des études, la diversité sociale du recrutement de nos élèves, la professionnalisation de notre diplôme qui confère désormais le grade de master, la présence de nos chercheurs dans tous les grands débats de société.
Soutenir financièrement Sciences Po aujourd’hui, c’est nous permettre d’être un champion universitaire français dans la compétition internationale. Les idées, le sens de l’innovation, l’énergie, nous les avons, vous le savez. Avec vous, et seulement avec vous, nous réunirons les moyens de réaliser cette ambition.
Vous pouvez plus précisément vous informer sur notre campagne de levée de fonds sur le site :
www.construire.sciences-po.fr
Avec toute ma gratitude et l’engagement personnel de mériter votre confiance,
Richard Descoings
Tu sais qu'il y a eu une consultation en 1998 ? (Mérieux-Allègre)
2 000 000 de lycéens ont répondu.
Ils se plaignaient de classes surchargées.
Ils ont eu La " réforme " des lycées organisant la diminution des heures d’enseignement dans toutes les matières et toutes les filières.
Le coup de la consultation, c'est vu, revu, rerevu et rererevu.
Usé jusqu'à la corde.
Ce genre de consultation ne vise qu'à une chose faire passer des modifications en laissant croire que ce sont les usagers qui le demandent.
Les poignées de graviers sont déjà prêtes.