Le courage de NEY,

[Davout]

a cela je répond:



Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !


et pour nos recrues:

Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre

[vétéran frog]

Très émouvant mais ce n'est pas cela qui va me prouver que vous méritez votre réputation.

La grande Brigade infernale qui craint d'attaquer un régiment de recrues alors qu'elle a pour elle le poids de l'expérience face au poids du nombre.

Alors si je dois trembler ce sera de froid et non face à un ennemi comme vous.

[vétéran Bertrand H]

Vilpinov souriait.

Cela est bien joli M. Davout, mais sur cette terre les sillons sont russes.
Cela change tout.

[Davout]

monsieur vilpinov et frog avez-vous vu chez nous le projet d'avancer pour le moment? non, quand nous serons décidé a avancer vous le saurez bien assez tot.

[vétéran frog]

Ca c'est sur que avancer vous faites pas. D'un autre coté vous faites mieux que vos prédécesseurs qui eux avancaient vite mais pas dans le bon sens.

Après vous n'avancez pas parce que nous dominons largement le terrain et vous craignez dans votre avance d'être anéanti.
C'est raisonnable mais est ce vraiment ce genre de tactique qui a fait votre nom dans la BI?

[Davout]

ne vous inquiétez pas pour nous, ce que vous croyez comme un avantage est un inconvénient!

[vétéran frog]

Je ne m'inquiete pas je suis persuadé que vous serez un adversaire digne. J'ai vraiment hâte de voir quand les choses vont vraiment bouger.

[Davout]

je suis très honoré de votre reconnaissance, je respecte aussi mon adversaire .

[Comte Poliakoff]

Le Comte Andrei Poliakoff quitta pour une soirée le service de ses compagnies qui menaient une chasse effrénée aux nouveaux regiments français qui désormais se trouvaient face à lui.

A la tête de plusieurs compagnies il avait réussi à enfoncer et déborder les français sur leur flanc ouest et maintenant ces derniers refluaient en désordre vers leurs lignes arrières.

Epuisé par tant de combats et de courtes nuits il décida de rejoindre la taverne, la neige avait envahi la terre russe, un bon feu serait vraiment le bienvenu.

En entrant il remarqua plusieurs officiers russes qui devisaient sur les qualités de la brigade infernale et des malheureuses recrues françaises envoyées à l'abbatoir.

Poliakoff suivait leur conversation, tout en ecoutant il se disait à lui même:

"Trop d'honneurs sont fait à ces bouchers de français, Grognards, bleusaille, sabreurs et autres consorts, pour moi un bon français est un français mort, tu parles d'une brigade infernale c'est plutôt des Belettes Idiotes"

Puis il continua à siroter sa vodka en etendant ses jambes meurtries sous la table laissant les officiers superieurs à leur conversation

[vétéran Bertrand H]

Suite de la discussion dans la rubrique "la BI face aux Preos" :

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