La BI face aux Preos

[vétéran Bertrand H]

Vilpinov vit que Comte Poliakof était entré dans la taverne.

Bienvenu Comte Poliakoff, joignez vous à nous.
Alors encore quelques victoires ?
Avez vous vu ces français qui tournicotent dans les "Marais sanglants" ? A croire qu'ls sont tous devenus fous à cause du froid et des marais.

[Comte Poliakoff]

Merci de m'inviter à votre table Mon Commandant, je ne tiens pas à abuser de votre temps, mais comme vous le dites si bien,les français sont comme les moustiques des marais, leurs baîonnettes sont comme des dards en été mais avec l'hiver leur ardeur n'est plus qu'un vain mot.

J'aurai pensé avoir fort à faire avec ces compagnies là mais ils se contentent de défendre, leurs renforts ne viendront que pour constater les dégats.

Maintenant il est vrai que leur avoir repris près de 30 lieues ne doit pas inciter ces rustauds à festoyer tous les soirs.

Leur général a mon sens aurait mieux fait de se rendre ce qui aurait eviter un bain de sang

[Davout]

davout revenait du front, ne pouvant rien faire si ce n'est subir encore et toujours


et bien messieurs vous n'avez aucun mérite! a 2 vs1... mais c'est la guerre, qu'il en soit ainsi.

[vétéran frog]

Frog qui était ravi que le comte poliakov vienne les rejoindre à leur table, entendit les paroles de l'officier Davout.

Allons bon desquels 2 parlez vous Davout?

[Comte Poliakoff]

"Mon commandant, je pense que le Général français Davout se plait à penser que notre régiment et celui de nos frères du Lys constituent le chiffre deux qu'il vient d'évoquer."

Remarqua Poliakoff en s'adressant à son officier supérieur Frog.

"Pourtant que je sache" dit Poliakoff nous avions en face de nous le 88ème de ligne et une partie de la B.I.

Mais il est vrai que le 88ème à une propension pour courir se mettre à l'abri assez impressionante, c'est pour cela que vous vous retrouvez tout seul mon cher Général

Le Général français toisa du regard le jeune officier qui le regardait d'un air goguenard, les centaines de soldats français tombés ces dernières semaines sous les coups des baîonnettes de la Garde, lui donnait l'impression que plus rien ne pourrait arrêter leur marche victorieuse.

[Davout]

si j'étais vous je me méfierai mon bon ami car le retour de bâton de ma pare risque d'être sanglant!

[vétéran Ferrey]

Je suis d'accord avec Davout sur le nombre, mais j'ai une question sur votre marche victorieuse?

Et Smolensk.............. Puis je savoir ce que vous en dites? Ainsi que Molihev?

[Davout]

ferrey cette table ne parle pas de l'ensemble du front mais seulement des marais sanglants!

je vous remercie quand même de votre aide.

[vétéran Bertrand H]

Comment cela M. Davout, 2 contre 1 ? N'exagérez vous pas un peu ?

Oubliez vous que vos casernes sont tellement proches que vous nouvelles unités arrivent presque fraiches au front ?

Comme les Autunnois, vos hommes vont payer de leur vie l'inconscience de votre Etat Major.

En attendant buvons un peu.

[vétéran frog]

Frog remercia le comte poliakov d'avoir répondu à sa question et acquiesa de plus sa remarque sur le 88ème.

Il vit aussi qu'un second officier francais était entré dans la taverne et parlait des victoires francaises sur les autres parties du front.

Mon cher ami je vous entend bien la clamer vos victoires mais personnellement je n'en ai vu aucune. Pour l'instant je n'ai participé qu'a des opérations à succès dont celle que nous venons d'effectuer. Donc vous pourrez me parler de victoire quand vos hommes et vous serez venu affronter la garde sur notre front et nous aurons mis une dérouillée.

Sur ce je vous offre un verre?

[Davout]

sachez monsieur frog que l'humilité est une qualité et que vous pourriez bien un jour souffrir de votre arrogance, de plus je ne suis pas venue a cette table pour être railler mais pour parler en homme civilisé, si vous n'êtes pas capable de tenir vos sauvage d'officier je quitterai cette table!

[vétéran frog]

En effet Major cette arogance pourrait me coûter cher un jour mais ce n'est pas le cas en ce moment. Veuillez me pardonner de m'être emportée contre votre camarade mais je ne supporte pas les gens qui ne font que rappeler leurs victoires. Et vous avez raison il s'agit de parler entre gens de bonne companie.

Laissez moi vous reservir un verre, il est deja trop tard pour se quereller alors autant profiter de la soirée pour gouter ce fameux whisky qui nous a été apporté par les anglais à leur dernière visite.

Frog servit un verre à toutes les personnes présentes.

[Davout]

Davout regarda frog

Et bien j'en ai a vous apprendre sur le whisky, si notre chère ami canterbury etait encore la il vous aurrai embrocher, lui qui était irlandais aimais beaucoup les écossais comme moi même et chacun sait que se sont les écossais qui font le meilleur whisky je ne peux pas vous laisser insulter les écossais, de plus par principe je ne prend rien qui viennent de nos amis anglais, vous devriez savoir que depuis notre roi Philippe nous sommes en guerre avec eux, depuis 1327 je crois.

[vétéran frog]

Et bien dans ce cas permettez moi de vous offir un verre de notre meilleure vodka qui je vous l'assure n'est ni anglaise ni irlandaise mais bien du fin fond de ma Sibérie natale. Vous verrez ca vous aidera à résister au général hiver. Après on ne pourra pas dire que je ne respecte pas nos adversaires je vous donne de quoi nous mettre sur un pied d'égalité.
Prennez ce verre come un signe de respect d'un soldat à un autre.

[Davout]

davout regarda frog en rigolant

Bien, pour vous je vais faire une exception, j'accepte de bon coeur votre verre.