[Volchanka] Mission phase 3 Russie

[Briscard]

Ne t'inquiètes pas Briscard,
On en parle sur discord et IG

OK, merci

[Briscard]

Nouvelle précision parce que je ne suis pas clair : Rien n'empêche de débuter une fouille à 13h par exemple. Dans ce cas de figure, vous aurez donc creusé 8 heures le premier jour et il restera 4 heures à creuser le lendemain.
La fouille de la case sera terminée le lendemain à 10h (puisque les fouilles reprennent à 6h du matin).
[edit] En revanche, quoi qu'il arrive, la fouille se poursuit jusqu'à 21h quelle que soit l'heure de début des fouilles sur la case.

[Maksim Yakov]

Nouvelle précision parce que je ne suis pas clair : Rien n'empêche de débuter une fouille à 13h par exemple. Dans ce cas de figure, vous aurez donc creusé 8 heures le premier jour et il restera 4 heures à creuser le lendemain.
La fouille de la case sera terminée le lendemain à 10h (puisque les fouilles reprennent à 6h du matin).

ca a changé l'armée depuis le temps.... On n'a plus le droit d'exploiter les sapeurs avec des horaires infernaux.


As tu pensé à changer ta signature en : ''Briscard, représentant syndical des sapeurs de tous les pays.'' ?

[Briscard]

C'est à dire que c'est compliqué de fouiller de nuit, rien à voir avec un quelconque droit du travail !

[Maksim Yakov]

ça me rassure !

Je voudrais pas qu'on leur donne trop de droit, après mes sapeurs vont demander double ration de Borsch et mes confrères cosaques double dose d'alcool... J'ai pas les moyens pour tout ça

[Thor42]

En pleine chasse de voltigeurs français cachés dans les bois, une estafette arriva auprès de Thor et lui tendit une missive.

Officier Dojieff capturé et mise à mort par les Français

A cette nouvelle, Thor descendit de son cheval, enleva sa bombe et marcha quelques pas. Les morts accompagnent toujours le soldat sur le champs de bataille, mais certaines laissent plus de trace que d'autres. Malheureusement, ces derniers temps elles font de plus en plus mal.
Thor se retourna, monta sur son cheval et fila vers le campement. Il avait besoin d'un verre pour se remonter le moral. Tout en chevauchant, il se rappela l'époque où il avait dû quitté la Garde du Tzar pour rejoindre l'Armée du Tsar. Sa première collaboration avec Dojieff... c'était il y a quelques campagnes maintenant.

Sous la tente, avant d'ouvrir la bouteille, il prit quelques rapport d'attaque pour essuyer ses mains boueuses. Depuis quelques mois, et l'arrivée du sang frais de Paris, l'armée du Nabot redoublait de férocité mettant à mal nos troupes. Les rapports contenant souvent trop de mauvaises nouvelles, Thor les laissait s'empiler sur son bureau; dans lequel il ne mettait plus trop les pieds d'ailleurs.

Les papiers saisis avaient laissé apparaître une carte grossière dessinée au fusain.

La carte du Mineur!! s'exclama Thor.

Voilà bien une mission de la plus haute importance pour le Tsar que Thor avait délégué, trop occupé à combattre au nord. Il sortit la tête de la tente et ordonna aux gardes de lui ramener son aide de camps.
Quand ce dernier arriva, Thor lui demanda s'il avait eu des nouvelles concernant l'expédition de sapeur envoyée dans le sud suite à la carte qu'avaient trouvée les officier Karkaroff et Neverovski. Il lui dit que la dernière nouvelle des Romanovs, en charge du secteur, remontait à une dizaine de jours. Thor l'envoya immédiatement chez les officiers en charge des Romanovs. Il devait à tout prix avoir des nouvelles. Les Russes jouent serré avec les Français qui ont aussi la carte.

Voilà 5 jours que Thor attend des nouvelles soit du front méridional, soit de son aide de camps. Pendant qu'il piétinait dans son bureau, il se souvint de la dernière missive des Romanovs, c'était un rapport d'attaque sur des miliciens que l'on considérait comme anodin à ce moment là. Il farfouilla et le retrouva:


La présence des sapeur de Nachoss auprès de la zone désignée par la carte apparut tout à coup évident au colonel.

Les Français connaissent l'emplacement! s'écria Thor, il jura.

Dans l'après-midi, son aide de camps arriva enfin avec les nouvelles tant attendues. Il lui transmit les documents et les propos de l'officier Poliakoff:

Si les alentours de la zone étaient russes il y encore une quinzaine de jours, très vite des cavaliers français et des lignes sont arrivées sur place. Avant nos propres troupes. Ils ont dézingués les éléments de notre armée qui arrivaient en marche dispersée:
http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... c071f6391d
http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... 126646f91b

Si bien qu'ils ont pris pleine possession de la zone, mon Général.

Une dernière visu des forces présentes dans la mine nous laisse entrevoir que les Français ont réussi à déchiffrer la carte et qu'ils sécurisent le lieu pour procéder aux fouilles de l'endroit:

http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... 625c8dc81f

En effet, cette dernière information ne laissait aucun doute. Les Français savaient et ils creusaient pour trouver le trésor qui revenait de droit aux Russes, et au Tsar.

On ne les laissera pas s'en tirer comme ça!
Soldats!! Faites préparer mon cheval, et nettoyez mes bottes, je dois me présenter devant le Tsar au plus vite!

[Alexandre Ier]

« Ces nouvelles m'affligent profondément, vice-Maréchal. Il serait très étrange qu'ils aient privilégié une capture à la recherche du coffre. Les Français auraient-ils déjà mis la main sur le coffre ? » demanda le Tsar Alexandre Ier, son ton empreint de gravité et de noblesse.

Le général en second de l'armée russe, visiblement troublé, prit un moment avant de répondre : « Rien ne nous permet de l'exclure, Majesté. Il est effectivement fort possible que les Français aient déjà découvert ce coffre.»

Un silence pesant s'installa, révélateur de l'inquiétude qui étreignait les deux hommes. Le Tsar, le regard fixé sur un point invisible, reprit la parole avec une solennité inébranlable : « Nous ne pouvons plus nous permettre de laisser filer le temps. Chaque minute perdue nous éloigne de la victoire. »

Le vice-maréchal acquiesça, partagé entre respect et urgence. « Il nous faut agir avec diligence et promptitude et vérifier qu'il n'est pas trop tard. Pressez nos hommes, qu'ils fassent des reconnaissances. Nous devons savoir si cet objet mystérieux est encore à notre portée. »

Le Tsar conclut avec une détermination inébranlable : « Faites ce qui est nécessaire, sans délai. L'avenir de notre campagne en dépend. »

HRP : Pour vous assurer que les Français n'ont pas déjà trouvé le coffre, n'importe quelle unité peut inspecter le terrain. Postez une visu dès que vous êtes sur la zone.

[Dimitri Poliakoff]

http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... 4ae83ed004

http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... 72acec9a63

http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... aaedb4f2a6

[Alexandre Ier]

Alors que le soleil était à son zénith sur les vastes plaines russes, un groupe de valeureux soldats de l'armée tsariste parvenait à l'endroit désigné par la carte, à proximité de la mine évoquée. Le printemps, dans son élan juvénile, avait assoupli le sol, offrant un répit bienvenu à ces hommes éreintés par des mois de marches forcées, sous le poids oppressant de l'hiver et des combats incessants.
Les soldats, leurs uniformes marqués par les stigmates des batailles et des intempéries, observaient le sol avec intensité. Cependant, leur espoir fut rapidement terni par la découverte de traces de fouilles récentes : des trous à perte de vue, des monticules de terre fraîchement remuée et un vieux coffre en bois entièrement vide. La déception se lisait clairement sur leurs visages, sculptés par le froid et l'épuisement des longues campagnes. "Mikhaïl ! Ils n'ont rien laissé," murmura un jeune soldat, scrutant avec désolation un trou particulièrement profond.
À ses côtés, un vétéran, dont l'expérience avait été forgée au cœur de nombreuses batailles, s'avança pour examiner les lieux avec un regard expert. "Les Français avaient la carte avant nous, ils ont su profiter de leur avance," dit-il avec une pointe de résignation. "Nous devons retrouver leur trace et reprendre ce qu'ils ont emporté."



La prise de conscience que l'ennemi avait une longueur d'avance, sachant qu'ils étaient devancés, provoqua une vague de colère mêlée de résolution au sein du groupe. Pourtant, loin de succomber au découragement, ces fils de la Russie retrouvèrent rapidement une énergie renouvelée. Familiers des défis, même ceux semblant insurmontables, ils étaient résolus à persévérer.
"Nous devons continuer," lança un autre soldat, sa voix empreinte d'une détermination inébranlable. "Si l'ennemi a découvert quelque chose de valeur, cela ne signifie qu'une chose : nous devons redoubler d'effort pour protéger notre terre."
Ragaillardis, ils poursuivirent leur investigation avec un zèle renouvelé, chaque homme examinant chaque indice, chaque trace pouvant encore révéler les secrets enfouis de cette terre.

[Dimitri Poliakoff]

http://providenz.nainwak.org/cdr/screen ... b8e230315d

[Alexandre Ier]

Les soldats se dispersèrent alors, chacun déterminé à fouiller la zone avec minutie. Sous la chaleur croissante du jour, ils examinèrent et explorèrent chaque recoin. Leurs efforts étaient ponctués de soupirs de frustration et de rares exclamations d'excitation lorsqu'ils trouvaient quelque chose d'intéressant, mais sans réelle importance.
Le jour avançait, et l'épuisement commençait à se faire sentir. Pourtant, l'esprit d'abnégation des soldats ne faiblissait pas. Alors que le soleil déclinait à l'horizon, teintant le ciel de nuances orangées et pourpres, un soldat, qui avait suivi un chemin, poussa un cri étouffé.
"Regardez ceci !" appela-t-il, attirant l'attention de ses camarades. Dans ses mains calleuses, il tenait un bout de papier jauni, couvert de lettres apparemment disposées dans un ordre aléatoire. Une grille trouée apparaissait également sur le document.
Intrigué, un officier s'approcha pour examiner la trouvaille. "Qu'avons-nous ici ?" demanda-t-il, prenant le papier avec précaution. Il plissa les yeux, essayant de discerner un sens caché dans ce fouillis de lettres.
"Les Français n'ont même pas pris la peine de détruire ce document," fit remarquer un soldat avec une pointe de satisfaction dans la voix. "Leur arrogance pourrait bien être notre avantage."
Un autre soldat sourit, partageant cette pensée. "Ils ont probablement pensé que nous ne serions pas capables de déchiffrer ce code. Quelle présomption de leur part !"
L'officier hocha la tête, reconnaissant l'importance potentielle de cette découverte. "Vous avez raison. Leur mépris pour nos capacités nous offre une chance précieuse. Cette journée n'aura pas été vaine. Peut-être que ce bout de papier renferme le secret que nous cherchons. Rassemblons nos affaires et retournons au camp."
Ragaillardis par cette lueur d'espoir, les soldats se mirent en marche. Malgré la fatigue, une nouvelle détermination animait leurs pas. La découverte de ce mystérieux document ravivait en eux l'espoir que, malgré les difficultés, la victoire était encore à portée de main. Ils savaient que chaque indice, chaque trace, pouvait être la clé pour changer le cours de cette guerre acharnée.
Alors que les dernières lueurs du jour s'évanouissaient, un sentiment de fierté se mêlait à la détermination des soldats russes. Ils avaient retrouvé ce que les Français, dans leur arrogance, avaient négligé. Chaque homme, portant le poids de la fatigue, se sentait toutefois renforcé par la perspective de ce que pourrait révéler ce document, désormais entre leurs mains. La nuit tombante promettait de nouvelles stratégies, de nouvelles décisions, et peut-être, une avancée décisive dans cette campagne périlleuse.



HRP : Cliquez sur l'image pour voir la feuille plus confortablement.

[Thokrok]

Thokrok récupéra une copie du message et de cette grille trouée.
Par habitude il compta le nombre de ligne et de colonne

"C'est un carré de , donc 64 cases..."

Il compta également le nombre de lettres

"64 lettre égalements... Ah!"

Il réarrangeât les lettres en lignes de 8

LRESETSP
ECMNHDUP
EIZEVLVS
SEADANEO
UTLUSIHL
ESOXDLAE
UVSAPRNR
ESALCLUE

En posant la grille sur les lettres il pu lire.

"RENDEZVOUSDANSLE... Ah! Rendez-vous dans le
Mais il manque une partie."

En réfléchissant, il déplaça la grille et vit d'autre lettre et mot. En tournant la grille par la gauche il obtient

RENDEZVOUSDANSLE
TEMPLEDELILEAVEC
LESCHEVAUXLESPLU
SPUISSANTSHOURRA

Et s'écria
"Rendez-vous dans le temple de l'île avec les chevaux les plus puissants Hourra!
Vice-Maréchal j'ai trouvé voici le message."

Thokrok couru donner le message décodé au Vice-Maréchal.

[Maksim Yakov]

Voyant une occasion de se faire mousser devant ses chefs, un soldat se présenta en disant :

Je sais lire et j'aime bien ça les énigmes. Laissez le moi, ça va pas prendre longtemps...

le jeune homme recopia les mots puis se posa dans un coin.
une heure passa, puis deux puis trois. le soleil se coucha, d'autres compagnies rejoignèrent les premiers arrivés. Hors les chefs et le soldat, le reste des troupes ne faisait que suivre les ordres et voyant que cela allait durer, ils commencèrent à s'installer, préparer un feu, faire cuire les patates avec les dernières rations.

Alors que le jeune homme se cassait la tête, un écuyer passa et jetant un oeil au dessus du soldat, lui disat le plus naturrelement du monde :


'C'est ou que tu as rendez vous, je vois pas le dernier mot dans ton énigme ?
Se retournant, il demanda ce quoi il parlait puis l'écuyer lui expliqua le subterfuge codé. alignez chaque lettre avec es lignes et ne lisez que les lettres colorés en bleu et cela donne :

R.E.N.D.E.Z.V.O.U.S.D.A.N.S.L.E.

le soldat remercie l'écuyer et paya son silence quelques pièces puis se courut donner la bonne nouvelle à ses chefs, espérant qu'il n'y aura pas de second code à déchiffrer car il n'avait pas retenu le nom de l'écuyer en question.



en arrivant, le soldat s'était fait doublé par quelqu'un d'autre et qui avait compris le message en entier... Mince, celui-ci était devant lui, ça ne sera pas cette fois qu'il pourra se faire payer sa permission. Allez, de retour au combat.

[Thor42]

Thor essayait de comprendre ce bout de papier jaunit lui pendant des mains. Bien que la grille supposait qu'elle cachait les lettres inutiles et montrait la réponse; il n'avait obtenu jusque là que des suites de lettres incompréhensibles ou un début de phrase sans fin. Tout en s'affairant à tourner et retourner le papier dans tous les sens, il plissait les yeux pour distinguer un sens caché. Il sortit de la tente de commandement pour se changer les idées et réfléchir à ce bout de phrase.

Tout à coup une voix l'appela:

Vice-Maréchal j'ai trouvé voici le message.

C'était un des jeunes capitaines du Vème régiment qui avait accouru avec la solution. Il expliqua au colonel avec quelle astuce il avait réussi à déchiffrer ce code.

Et bien! Voici un travail plus qu'admirable officier Thokrok. Le Tsar, la Russie et l'armée vous remercie pour ce coups de chapeau.
Espérons que les Franskis sont encore en train de se casser la tête sur cette énigme, mais ils ont eux aussi de grand stratèges.
Qu'importe, ne perdons plus une seconde, nous avons déjà trop perdu de temps;
Officier Thokrok, je vous remercie encore et vous félicite.

Thor congédia le jeune officier. L'emplacement ne pouvait être plus clair, et dire qu'en début de campagne, certains soldats s'étaient amusés du retrait du lieu. Maintenant Thor comprenait mieux son isolement, non pas forcé, mais voulu. Il fallait envoyer rapidement les cavaleries sur place. Les Préobrajensky étaient les plus proches, vu l'emplacement de l'ile (27/51). Les cavaliers du Don, aussi très proche du lieu, seraient les bienvenues ainsi que toute aide de cavalerie. La zone étant actuellement proche des fermes du 30ème régiment et de la gendarmerie impériale, l'aventure s'annonçait déjà périlleuse. Et pour peu que les troupes du Nabot aient déchiffré eux aussi l'énigme, l'expédition se transformerait en véritable nid de guêpe pour les cavaliers. Mais l'importance du trésor pour la nation russe devait primer sur ce risque. Thor avertit donc les commandants de se rendre sur place le plus vite possible.

Un certain "ermite de l'ile" va avoir de la visite.

[Alexandre Ier]

Au sein d'une tente d'état-major, dressée sur une colline dominant la plaine russe, une atmosphère de concentration intense régnait. Les officiers, vêtus de leurs uniformes qui portaient les stigmates de batailles passées et qui , habituellement consultaient cartes et rapports, orchestrant les mouvements de troupes dans un ballet de stratégie militaire étaient occupés par une affaire étrange. Affaire qui aurait semblé pour le moins incongrue à quiconque étranger à celle-ci et qui déboulerait dans la scène : pourquoi des officiers d'État-Major étaient en train de se passionner pour des mots croisés alors que le sort d'un pays, leur pays, était en jeu ?

Le capitaine Thokrok venait de prendre connaissance du document en question lui aussi. Si les Français avaient commis l'énorme bévue de permettre aux Russes de récupérer le document, les Russes n'étaient visiblement pas non plus particulièrement soucieux de préserver des secrets. Mais ce fut à leur avantage car, tandis que tous les ronds de cuir, la supposée crème de la crème des têtes pensantes de l'armée russe butaient sur ce problème, c'était Thokrok qui, grâce à ses compétences inégalées, parvint finalement à assembler toutes les pièces du puzzle.

Ses doigts manipulaient le papier avec soin, ses yeux scrutant chaque marque, chaque symbole. L'écho lointain des canons lui rappelait l'urgence de sa tâche. Grâce à son esprit vif, il déchiffra rapidement le message : "Rendez-vous dans le temple de l'île avec les chevaux les plus puissants. Hourra !"

N'y tenant plus, il accourut vers le commandement pour annoncer sa trouvaille.

Un frisson parcourut l'assemblée lorsque le capitaine Thokrok, avec une fierté contenue, révéla son succès. Le texte codé, une fois interprété, signifiait clairement l'utilisation de cuirassiers, ces cavaliers d'élite montés sur les plus robustes des destriers. "Des chevaux puissants pour des hommes d'acier," murmura un colonel, les yeux brillants d'anticipation.

Sur ces entrefaites, le colonel Maksim Yakov apparut, fier et tout essoufflé, en hurlant "Rendez-vous dans le !" avant de réaliser qu'il avait été devancé par plus malin que lui... Visiblement légèrement rancunier, il prit discrètement à partie Thokrok pour lui glisser perfidement :"Ah bah y a les hommes de terrains et ceux qui gambergent... Vous, vous gambergez. C'est une force, ça." On pouvait sentir poindre dans ce compliment une ironie mordante. Cet homme aurait pu être français...

Le vice Maréchal comprit de son coté de quel temple il était question :"L'île de l'ermite !"

Se levant avec une présence imposante et un regard pénétrant, Thor s'adressa à ses hommes. "Messieurs, il est fort probable que l'ennemi ait déjà déchiffré ce message et qu'il soit en mouvement. Nous devons agir avec une rapidité extrême. Préparez les cuirassiers. Que toute notre armée soit représentée ! Nous devons être prêts à contre-attaquer ou à devancer une embuscade. Que notre réponse soit aussi fulgurante que le coup de foudre de Zeus. Que l'histoire se souvienne de ce jour où, grâce à la perspicacité d'un des nôtres, le cours de la guerre fut peut-être changé."

Les préparatifs commencèrent aussitôt, dans un mélange de hâte et de précision. Des ordres furent donnés, des chevaux furent sellés, et les plans ajustés en conséquence. Le capitaine Thokrok, observant le tumulte qu'il avait déclenché par son intellect, sentit une vague de fierté mêlée d'anxiété. Ce soir-là, alors que les dernières lueurs du jour mouraient à l'horizon, toute une armée se préparait à une manœuvre audacieuse visant à sécuriser l’expédition des cuirassiers, guidée par un message arraché aux ombres du secret par l'un des leurs.

HRP : Envoyez sur l'île une compagnie de cuirassiers de chacun des régiments suivants :
- Armée du Tsar
- Kasak Voisko
- Division Romanov
- Garde Preobrajensky
- Vème Corps d'infanterie

Une visu montrant les 5 cuirassiers sur l'île dont un en 27x51 devra être postée ici.

Bien évidemment, il est interdit de changer de régiment pour se faciliter la tâche...