Campagne de recrutement.

[vétéran Timéon Tidus]

Tidus de bonne humeur car des rumeurs circulaient qui disaient qu'il serait bientôt promus Lieutenant, entendit l'invitation de l'officier polonais et s'approcha.
"Monsieur, je serais honoré de partager avec vous et monsieur coignet une de mes bouteilles de vin français que j'ai acquit dans une taverne non loin d'ici. Puis-je m'assoire?"

[Coignet]

Coignet sourit en voyant approcher Poniatowsky et ses paroles lui réchauférent le coeur.

"Capitaine puis je me joindre à toi et partager un peu de ma Zubrowka? Ces dernières semaines ont été riches en bonnes nouvelles et il parait agréable de partager cela ici en présence de cet adversaire qui continue à faire des feu de pailles avec de l'air...
Et si ces Messieurs, que sont les autres Officiers français présents dans cette salle, veulent bien se joindre à nous j'en serais plus que ravi"

- " Installes-toi mon frêre, et puisque le maudit prussien qui tient ctte gargotte n'est apparemment pas trés pressé de servir les valeureux soldats de l'Empereur Naploléon 1er, sert nous de ta vodka natale et buvons à la France et à la Pologne."

Un jeune Sous-Lieutenant français se présenta soudain devant la table qu'occupait coignet et ou commençait a s'installer a son tour Poniatoswky.

- "Monsieur, je serais honoré de partager avec vous et monsieur coignet une de mes bouteilles de vin français que j'ai acquit dans une taverne non loin d'ici. Puis-je m'assoire?"

- " Avec grand plaisir Sous-Lieutenant, trouves toi une chaise et installes-toi. Nous gouterons le vin et la Vodka."

Se tournant alors vers Poniatowsky, Coignet ajouta en souriant :

- "Et si ce foutu prussien y trouves a redire, je suis sûr que tes lanciers se feront un plaisir d'expliquer au tavernier ce qu'ils ont pensé de la partition de la Pologne."

[vétéran Davoust]

Se tournant vers les russes,

Messieurs, vous venez de dire une chose de trop aussi j'ai unne question à vous poser.

Puis tirant son épée en la pointant sur les deux russes,

Messieurs, lequel d'entre vous veut commencer à moins que vous n'y allez tous en même temps !

A moins que vous ne préfériez faire vos excuses à la France et aux Français sur le champ !

[vétéran rec9]

[HRP] Tu dis ca à qui? [/HRP]


Rec9 se leva et dis à l'officier français.
-Rangez votre épée. Ne nous battons dans cette taverne. Tu risquerais de payer se que vous casserez en nous ratent!

[vétéran Seigneur]

Seigneur, assis sur sa table, près de Imrahyl, trouva les propos de Davoust intolérable !

-La Françe ? Les Français ? Les seuls Français ici sont nous, les Partisans du Lys ! Vous ne méritez même pas le titre de Français, vous qui vous abaissez à servir un Corse ! Honte à vous !

[vétéran Davoust]

Êtes vous Français monsieur ? N'insultez pas votre ancienne patrie vous êtes désormais Russe assumez-le !

Quant à vous, rec, où avez-vous gagnez vos galons dans une pochette surprise comme tous les aristocrates que vous êtes !

Rangeant son épée qui ne valait pas d'être souyée avec du sang de vermine,

Austerlitz, Friedland, la Moscova ! Ja mais les Russes ne pourrons vaincre les enfants de la Liberté !

Cela-dit je m'excuse de m'être emporté, nous aurrons le loisir de nous égorger sur le champ de Bataille !

Sortant une bouteille de cognac et en distribuant à tout le monde, même au tavernier endormi,

Que le meilleur gagne ! Santé !

[vétéran rec9]

Rec9 n'aimait pas se comportement.
-Et vos galons, si on peut appeller sa des galons. Ou les avez vous trouvé? Êtes vous vraiment engagé dans l'armée? N'avez vous pas trouvé ces galons dans la rue? Cela commence à m'énerver d'être avec des hommes ingrat. Être avec des français, je peux le supporter. Mais avec vous, non.

Rec9 se dirigeait vers la sortie de la taverne.

-A bientot messieurs. Se retournant, il dit. Et, à bientot sur le champs de bataille monsieur, davoust.

[vétéran Seigneur]

Monsieur Davoust, être Français, c'est pour la vie ! La Françe a été construite par les Roy, défendue par les Roy pendant des siècles ! Et vous, en une année vous avez oublier le travail de vos ainés ! Non, non et non ! Vous ne méritez pas d'être Français, vous et tous vous semblables ! Honte à vous !

[vétéran Davoust]

Si il n'y avait que le ramassis d'aristocrates que vous composez, la France serait perdue !

La France a été construit par son peuple sans qui les rois ne pourrait executer leur décisions ! Aujourd'hui c'est un salaire justifié que nous recevons ! Mais buvez dont tant que vous avez encore des boyaux !

Si nous nous croisons sur le champ de Bataille je dirais à mes hommes de vous laissez partir, vous n'en valez pas la peine !

[Jean Bailly]

HRP/ O_Ô euh... vous savez le type bourré, c'est un Russe, c'est pas l'officier Bailly, sinon si cela avait été lui il aurait fait exécuté tous les soldats et officiers Russes attablés... C'est quand même bizarre que Bailly parle ainsi de la France vous ne trouvez pas ?

Vous êtes bizarres quand même /HRP

Le type se retourna et regarda un Français... un Français ! Diantre, le bougre de salaud...
Sortant un pistolet de son pantalon, il le pointa en l'air son poignée disposant de faiblesse et le faisant tourner dans tous les sens comme incapable de viser l'homme alors même qu'il vociférait dans sa bave et l'alcool des insultes dans le dialecte local...


S'mèRE bord'l....

Il visa la tête un instant et glissa sur les immondices accumulées au sol pour se cogner la tête contre une chaise et le coup parti... Un silence de plomb parcourut la salle alors que le plafond disposait d'un trou, la poussière tombant au ralenti sur l'homme inconscient, la bouche ouverte, le pantalon souillé...

[Poniatowsky]

"Et bien buvons Messieurs, pendant qu'ils se chamaillent pour savoir quelle est l'origine de leurs galons, qui au final ne sera plus une question après le passage de mes lanciers, dont les simples galop et mouvement de lances en ont déjà fait fuir plus d'un.."

A peine Ponia avait-il commencé à servir les verres des deux Officiers français présents, que deux soldats, tout de bleu et rouge vêtus et équipés de lances (http://www.associationsuchet.com/photo- ... x_jpg.html), entrèrent dans la salle, missive en main.
Repérant tout de suite leur officier (http://www.associationsuchet.com/photo- ... r_jpg.html), Uminski et son adjudant allèrent d'un pas vif et alerte vers celui qui, depuis la Vistule, les avaient menés de victoire en victoire sur les champs de bataille, et en qui il voyait une indéfectible volonté à faire triompher la liberté et l'envie de briser le joue de la tyrannie des monarchies européennes, notamment celle de la Russie sur leurs pays la Pologne. Et c'est donc d'un air noir mais aussi moqueur, à l'écoute des paroles des officiers russes, qu'ils allèrent jusqu'à lui.

"Mon prince, nos troupes sont prêtes, Officiers français et polonais, qui se sont ralliés à notre bannière n'attendent que vos ordres..."

Ponia lu la missive, la rendit à Uminski, regarda Coignet avec un sourire non dissimulé et dit :

"Les ordres seront simples et n'auront donc pas besoin d'être écrits : en avant et feu de toutes parts, les lanciers arrivent en soutient, leurs galops et l'entrechocement de leurs lances galvanisera les nôtres...."

Il marqua un silence comme pour observer les réactions, qui très certainement ne manqueraient pas de l'amuser...

"Capitaine, finissons d'abord cette bonne vodak en compagnie agréable, puisque le Sous-Lieutenant Bailly est avec nous, santé à lui et que la Zubrowka lui apporte gloire et honneur face à un adversaire, qui bien que défendant sa cause n'en est pas moins un ennemi à abattre"

"Messieurs à la france, héritère et défenseuse de la liberté, à son Empereur, garant de ces valeurs, et enfin à l'honneur de ceux qui tomberont sous nos coups"

[Jean Bailly]

HRP/ grrrrr j'ai fait un PNJ, player non joueur, c'était un soldat Russe et non Jean Bailly le bourré erf...v'là la réputation maintenant.../HRP

[vétéran Timéon Tidus]

(hrp: je vais essayer d'arranger sa mdr)
Tidus qui étais sur le point de lever son verre pour poter un toast, interpella Jean qui c'étais arreté manifestement absorbé par la vue e ce russe votré parterre dans sa gerbe et sa pisse. Tidus l'interpella.
-Ola Jean mon collègue de la gendarmerie vient t'assoir à mes coté je veux porter un toast.
Jean Bally s'assis en bougonnant qu'il étais membre de l'etat major et pas un simple "collègue". Tidus leva son verre et dis:
Je viens d'être promus Lieutenant par l'Empereur lui même, je lève mon verre à la France et à l'Empire! Tournée général pour tout les français présent!!!!

[Jean Bailly]

HRP/ c'est pire encore... merci... ... erf erf/HRP

Le type à terre se leva et vit qu'on l'appeler par un nom Français, il vociféra quelques insultes à l'égard des officiers de l'Empire et s'en alla rejoindre les poivrots buveurs de pomme de terre.

[vétéran Davoust]

Se tournant vers son nouveau supérieur,

Félicitations à vous mon Lieutenant ! Je bois à votre santé et à celle de l'Empereur !
Cepandant il se fait tard et je dois retournez à ma tente. Bonne Soirée (hrp: ou journée) à tous !

Puis le sous-Lieutenant Davoust se dirigea vers la sortie en saluant chaque Français et en fin sorti du côté du campement.