Tommy a écrit :du Kamchatka, car c'est suite à des info de la part d'un espion qui a certifié à Staline que les Japonnais n'attaquerai pas, permettant ainsi à toutes les divisions posté là bas d'être réaffecté.
Exact, et leur habitude aux extrêmes température leur a donné un énorme avantage face aux Allemand congelés.
A toi la main.
Membre des Baggovouts (IIème Brigade)
Ancien membre de l'HEM
Ancien membre de l'AM
Écuyers de l'Ordre de Saint-George
Pendant la bataille de Mers El Kabir, quel est le seul Navire restant dans la rade qui s'en sortira indemne aussi bien pendant le raid navale que aériens ?
Membre des Baggovouts (IIème Brigade)
Ancien membre de l'HEM
Ancien membre de l'AM
Écuyers de l'Ordre de Saint-George
17 H 54, dès la première salve, le Strasbourg largue ses amarres de l’arrière, file sa chaîne bâbord et met en avant en venant en grand sur la gauche. Au cours de sa manœuvre, il est touché de nombreux éclats et évite de peu une salve. A 18 H 03, il franchit les passes à 15 nœuds. Il évite les mines que les avions anglais avaient mouillées. Dès que la Royal Navy est visible, il ouvre le feu avec l’artillerie de 330. Quelques salves sont tirées mais les torpilleurs anglais tendent aussitôt un rideau de fumée pour protéger leurs cuirassés qui se dérobent vers le Nord-Ouest. Les contre-torpilleurs et torpilleurs français qui ont réussi à sortir d’Oran et de Mers el Kébir rallient le Strasbourg et vont l’escorter jusqu’à Toulon.