Rompu aux techniques cosaques, je dois pourtant combattre à pied. N'en déplaise au Tsar et à tous les saints de l'Empire, je préfère permettre à mes soldats de piller car on ne sait pas jusqu'où nous mènera cette fichue campagne contre les envahisseurs.
Vivement que la neige arrive...
L'ennemi ne parle pas uniquement français. Voilà peu nous avons affronté des prussiens ou des bavarois, je ne sais pas. Ils n'étaient pas très pugnaces.
