Mess de l'armée du maréchal

[Sergei Volkonov]

"C'est ce que je craignais, Kristov ... mais j'ai aussi ouï dire d'autres magouilles, visant à détourner plus encore de matériel et de ravitaillement vers des régiments déjà bien approvisionnés. Mais je me demande si ces régiments touchent vraiment ce ravitaillement, ou s'il n'est pas détourner encore ailleurs ..." *dit-il en réponse à Kristov.

Il se leva, et reprit la parole.*

"Mes amis, j'ignore qui est réellement à l'origine de ces magouilles - des espions à la solde des Français ? Des nobles voulant plus de pouvoir ? Des révolutionnaires ? - quoi qu'il en soit, nous devons réagir. Mes hommes commencent déjà à refuser tout combat - pensez, ils étaient choyés jusqu'ici. Et je crains que ça ne fasse que commencer.

Je propose de demander une enquête discrète de nos services judiciaires - Tchekov, c'est dans tes cordes, je pense. Dans le même temps, il faudra faire bloc contre l'Etat-Major tant que nos demandes ne sont pas satisfaites. Au sujet du ravitaillement ... ça m'écoeure de décréter ça, mais au point où on en est, je n'ai pas le choix. Nous allons devoir autoriser le pillage complet des campements ennemis, pour ceux qui ont encore des hommes prêts à se battre.

Quand à ceux d'entre nous dont les hommes refusent le combat, essayez malgré tout de les maintenir actifs. Un homme actif ne pense pas, et donc ne se révolte pas. Si nos hommes venaient à se révolter contre notre armée, vous pensez bien que la situation deviendrait vite incontrôlable.

Naturellement, ce ne sont que des mesures d'urgence ... j'espère que l'enquête nous apportera du neuf."

*Il se rassit, but une gorgée d'eau - un comble pour un officier russe de pure souche, élevé dans la vodka - et regarda des comptes-rendus divers du front, ce qui, naturellement, n'allait pas pour le mettre de meilleure humeur.*

[vétéran Tchekov]

Tchekov se leva.

Je vais lancer mon équipe du tribunal sur cette affaire. Nous avons de bons contacts dans tous les régiments. En plus, je me demande, s'il n'y aurait pas un lien avec le vol dont ont été victime les cosaques. Les hommes de l'armée du Tsar se croient peut-être tout permis maintenant.

Quant aux pillages, j'ai donné hier des consignes en ce ses à mes adjudants.

Je reviens ce soir dès que j'aurais des informations à vous communiquer.

Tchekov se dirigea vers la sortie. Sur le chemin, il s'arréta près du tavernier

Veille à ce qu'ils ne s'ennivrent pas. Si nécessaire, demande l'aide d'Igor. Je t'en tiens pour personnelement responsable.

[vétéran Tchekov]

Tchekov arriva à la porte du Mess. Igor somnolait près de la porte. Il le laissa se reposer et entra. Il se dirigea vers le tavernier.

Alors tavernier ! Tu es seul ! Nos braves officers sont repartis au front. J'espère que tu sais tenir ta langue sur ce qui se passe ici. Un de mes amis juge semble avoir eu vent de nos conversations. Si je sais que c'est toi qui l'informe, je te ferais abattre comme le dernier des Français. Entendu.

Tchekov n'attendit pas la réponse et laissa le tavernier blanc comme un linge. Prenant une bouteille de vodka il alla s'assoir dans u coin pour boire une verre tranquilement et réfléchir.

[Sergei Volkonov]

"Grmmblmbl ... foutue période, foutu approvisionnement, foutus Franzkis ... grmbl ... et où est cette bouteille de vodka encore ? Zut, vide. Bon, direction le mess alors ..." *grommela un homme, qui semblait marcher seul dans les rues les plus sordides de la ville, alors que les 12 coups de minuits avaient déjà résonné au clocher de l'église.

Il se dirigea d'un pas rapide vers le mess de l'Armée du Maréchal, qu'il atteint au bout de quelques minutes de marche. Arrivé à la porte, il vit Igor, assoupi, et décida de réveiller ce garde qui ne gardait plus que dans ses rêves. Il frappa du pied la porte de la taverne, produisant un bruit sourd assez puissant que pour réveiller le colosse marmotesque. Igor, tiré de ses rêveries, se leva d'un bond et se mit au garde-à-vous, comme en présence d'un officier de haut rang - certes, il était en présence d'un Major, mais il l'ignorait encore.

Une fois ses esprits repris, Igor regarda l'homme qui l'avait éveillé, et se demanda ce qu'un individu à l'air aussi louche pouvait bien faire là - en effet, le Major Volkonov portait une longue cape par-dessus des vêtements à première vue bruns, mais qui se révellaient au final couverts de boue ; une capuche masquait en grande partie son visage. Ni une ni deux, le colosse se dressa en travers du chemin de l'individu - mais pourquoi était-il habillé aussi bizarrement - en vue de l'empêcher de pénétrer en ce lieu qu'il était censé préserver de toute violation.*

"Ca va, Igor, ce n'est que moi, juste un peu crasseux et tellement peu présentable que je préférais que personne ne puisse me reconnaître - imagine ce que diraient les Franzkis en voyant un officier russe couvert de boue ... déjà qu'ils n'apprécient guère notre hospitalité, alors de là à comprendre nos coutûmes ... Au fait, faudra penser à être plus vigilent, n'importe qui aurait pu rentrer en ce lieu pendant ton sommeil. Sois vigilent, à l'avenir !"

*Igor, qui n'en revenait toujours pas, laissa entrer le Major dans la taverne.*

"Ah, Tchekov, quelles nouvelles de l'enquête ? Sait-on où est notre ravitaillement ? J'espère qu'on le retrouvera bientôt, mes hommes sont tombés sur une cargaison de vodka de contrebande polonaise, laissée là par quelques officiers franzkis ... tous malades, à présent, j'ai dû faire venir expressément un médecin de nos lignes arrières. Personnellement, naturellement, comme en témoignent mes vêtements ... Mais pourquoi ai-je autorisé ces pillages, nom de nom ?"

*Il s'installa à la même table que son ami, et demanda une bouteille de vodka au tavernier - de la vodka russe, naturellement, pas ce poison de contrebande qui circulait dans les lignes ennemies.*

[vétéran Tchekov]

Tchekov fût réveillé par l'entrée d'un homme qui non seulement était d'une saleté repoussante mais en plus puait comme un bouc en rut. Après quelques seconde, il reconnu le major Volkonov. L'esprit un peu embrumé, il esseya de se mettre au garde à vous, manquant de tomber

Mes rrrespect maajor ! Vous vouuulez un peu de vodka ?

Tchekov préféra se rassoir ! C'était plus prudent. Il servit deux verres et bu le sien d'un trait.

Cochonerie d'enquête ! Ces cochons de cosaques et ces prétentieux de la garde se fichent sur la gueule ! pffff, j'les mettrais tous au gnouf !

Ivre mort, il s'affaisa sur la table et s'endormit à nouveau.

[vétéran cfxnapo]

CFxNapo se présenta devant Igor, le grand colosse qui gardait toujours le mess du glorieux régiment de l'Armée du Maréchal.
Après que celui ci se soit fixé au garde à vous, CFxNapo entra dans le mess de son régiment, espérant y retrouver quelques uns de ses amis

Ah, Tchekov, et Sergei, vous êtes là.
Mes respects.

Je viens vous apporter de mauvaises nouvelles.
Beaucoup de mes hommes ont désertés dernièrement, si bien que j'ai étais obligé de renvoyer mes adjudant Gagarine et Tchevtchenko à nos tetes afin de procéder à un recrutement massif.

Foutu problème de solde et de vodka.
Si seulement on savais qui détourne les réserves qui nous sont attribués, vous pouvez être sur que j'irai personnellement lui rappeler l'existence de nos hommes, et je le fusillerai sur place.

Tout d'un coup il s'aperçut que les deux officiers avec qui il parlait ne buvait pas d'eau .....

Diable mes amis, où avez vous trouvé cette boisson ??? Mes réserves en sont presque vide, et je ne parle même pas de celles de mes hommes.

[Sergei Volkonov]

"J'en sais fichtre rien, d'où elle sort, c'te vodka, mais en tout cas, c'est d'la vraie bien d'chez nous ! A ta santé hips ! Tiens, prends-en donc un verre, mon amhips ! Tavernier, encore une autre bouteille !" *lança Sergei, qui avait déjà bien bu, à Cfxnapo qui venait à peine de rentrer.

Sur la table, on pouvait d'ailleurs voir plusieurs cadavres de bouteilles, preuve que le séjour de Tchekov et de Sergei avait été très arrosé - il fallait bien ça pour leur remonter le moral.*

"Et tes déserteurs, comment t'les remplaces ? T'arrives à trouver des types assez fous pour s'lancer dans la guerre sans solde et sans équipement ? Hips ! C'est qu't'es fort, alors ! Moi, si mes hommes sont restés, c'est pasqu'y sont tous malades, hips, d'avoir bu les crasses des Franzkis ! Y s'raient tous partis d'puis longtemps, sinon, et j'aurais pas pu trouver de types assez dingues pour servir dans mon bataillon. Bon, aller, sers-toi tout c'que tu veux d'vodka, y nous reste qu'ça."

*Il vida d'un trait un verre qui traînait sur la table, puis s'effondra, plongeant dans un sommeil somme tout pas très naturel.*

[vétéran Tchekov]

Tchekov se redressa péniblement. Sa tête était pleine de cosaques chargeant à plein galop. Il apperçut Serguï affalé sur une table. L'odeur qu'il dégageait maintenant avec les mélanges étaient insuportable. Quant à cfxnapo, il était assit tranquillement, en train de siroter sa vodaka directement à la bouteille.

Allons cfxnapo, n'abuse pas trop de la vodka. Je ne sais pas d'ou elle vient, mais elle tape fort. J'en ai à peine bu une bouteille et je suis malade comme une babouchka. Quant à Serguï, tu vois ce que cela donne.

Je dois aller au tribunal ! Ces cochons de gardes veulent faire exécuter des cosaques ! Tu parles, c'est toute la garde qu'il faudrait pendre ! Ce sont des voleurs d'or, j'en suis sur.

Tchekov se leva et après avoir donné une tape sur l'épaule de son compagnon, il sorti. Il trouva Igor endormi devant la porte. Il lui donna un coup de pied dans les cotes.

Debout sac à vinasse ! Tu dois surveiller l'entrée ! Pas dormir. Si je te revois comme cela, je t'enverrais comme porte drapeau à la charge du bataillon du major Kristell ! Tu sais ce qu'elle fait aux Russes qu'elle capture ! Elle les écorche vif dit-on.

Igor s'étant levé et ayant repris la garde, Tchekov s'éloigna pour aller au tribunal.

[Bolchoï Medved]

Bolchoi Medved entre dans le mess et se dirige sans hésiter vers le tavernier et lui beugla d'une voix caverneuse:

Apporte moi vite quelque chose a manger ou je te bouffe tout cru !!! Et si t'as rien d'autre que du rat, taches de bien le cuisiner !!! Allez file en cuisine !!!

Le tavernier ne perdit pas une seconde et disparu dans sa cuisine...Medved tapotait des doigts sur le comptoir en fixant le jeune commis qui n'osait faire le moindre mouvement.

Apres quelques minutes, le tavernier reparut avec une grande écuelle de bortsch accompagnée d'un morceau de viande plutot douteux, et d'un quignon de pain.
Il se mis a begayer pour expliquer:

La viande,...c'est de...du...enfin, c'est un morceau...que..

Silence !!! Je ne préfère pas savoir d'ou ça vient, si je le savais je pourrais croire que tu cherches a nous empoisonner...

Apres avoir jeté un coup d'oeil autour de lui, Medved reconnu le capitaine Cfxnapo attablé a coté d'un officier affalé et ronflant de manière sonore...
Medved s'approche, l'écuelle dans une main, le pain dans l'autre et le regard rassuré de trouver quelqu'un qu'il connait, ne fusse que si peu...

Capitaine, mes respects, puis-je me joindre a vous ?

Medved prit place en face du capitaine et a coté du ronfleur...

Le ravitaillement est de plus en plus aléatoire depuis quelques temps, Le dernier charriot n'a apporté pour mes compagnies que trop peu de nourriture. J'ai eu tout juste assez pour faire des demi rations pour mes hommes. Déjà que la vodka devient rare, si cela continue ainsi, les hommes seront intenables !!!

Tout en racontant ses problèmes au capitaine Cfxnapo, Medved mangeait avec appétit son bortsch tant attendu.

Je me suis privé depuis hier soir, pour esseyer de faire des reserves. J'ai une faim d'ogre...

Entre deux bouchées, Medved tourne la tête vers le ronfleur qui s'agitait par moment dans son sommeil

Mais ? tiens ! c'est le major Volkonov ! Eh ben !! Il a trop abusé de cette sale vodka qui tourne dans le camp du régiment. Je me demande bien qui a pu nous fournir une pareille horreur. Même un polonais n'en voudrait pas !
Igor aussi a du en abuser: Il dort debout !! Je suis entré avec un ronflement de bienvenue !!

Medved sort de sa poche un petit flacon, rempli d'un liquide rouge, assez visqueux. Il en mis un peu dans un verre et versa ensuite de la vodka.

N'ayez crainte capitaine, ce n'est pas du sang de franski !!! c'est juste du sirop de fruit rouges pour faire passer cette vodka pour cosaque.
En parlant de cosaque, j'ai croisé Tchekov dehors, il n'avait pas l'air tranquille, sont regard était tres sombre. Il est encore tracassé par cette histoire d'or volé ? Quel malheur !! j'espère que l'on va vite trouver une solution a cette affaire d'or car moi aussi je commence a en avoir assez des retard de paye ! j'en ai aussi assez du mauvais ravitaillement !! et je préfère ne rien dire sur les officiers qui trahissent l'uniforme sinon je vais encore m'énerver !!!

Son écuelle vidée, et le quignon de pain avalé, Medved se vida deux verres de vodka aux fruits rouges. Il sorti sa pipe et son tabac et, penché en arrière contre le mur, se mis a tirer de grandes bouffées, le regard quittant peu a peu la réalité pour partir dans les rèveries...

[Sergei Volkonov]

*Le Major Volkonov semblait agité, dans son sommeil. Il grommela quelques mots, dont ceux-ci marquèrent particulièrement la salle "de l'or pour les braves, il faut en trouver". Soudain, il se réveilla, en sueur, et cria :*

"Bon sang, mais c'est bien sûr ! Pourquoi n'y avons-nous pas pensé plus tôt !"

*Et il quitta la taverne en courant, avant de disparaître dans la nuit ...*

[Sergei Volkonov]

*Le lendemain, au matin, le Major Volkonov revint à l'auberge. Après l'habituel coup de pied dans les côtes d'Igor, qui, comme à son habitude, ronflait à la porte, le Major déposa plusieurs plans et cartes sur une petite table, et fit convoquer les officiers de l'Armée du Maréchal. L'idée qui lui était venue soudain à l'esprit venait d'une vieille discussion avec son Commandant et ami, Nicolaï Karamazov, quelques temps auparavant.*

"Tavernier, prépare toi à accueillir nos officiers, prépare de quoi boire et manger, la discussion sera animée. Et nettoye aussi cette grande table, là, dans le fond de la pièce. Je tiens à déployer mes cartes sur une surface qui ne soit pas recouverte de choses douteuses !"

*Puis, s'installant sur un fauteuil pas trop poussiéreux, il se plongea dans ses pensées, un verre de vodka à la main, en attendant ses Frères d'Armes ...*

[vétéran rec9]

Rec9, avec une carte à la main faite par rec8, trouva la taverne. Il vit Igor debout devant la porte, la tête baissée. Ce colosse ronflait !


Allons Igor, réveille toi ! L'homme ne voulant bouger, Rec9 le poussa sur une chaise et passa.

Il découvrit ces camarades de régiment dans le batiment. Je suis revenu ! Il alla au comptoir prendre une vodka. Voyant le Major, il se mit au garde-à-vous devant lui. le tavernier arriva, la bouteille à la main. Merci Tavernier !

Mes respects Major. La dernière fois, c'était rec8 qui était venu, j'étais coincé au lit... foutus medecin... bref ! Rec9 prit une chaise et s'assit à une table, au milieu de la taverne. Il buvait ça vodka tranquillement : il était toujjours en permission, et ece durant encore quelques semaines.

[vétéran Tchekov]

Tchekov approchait du Mess de l'armée du maréchal. Les yeux cernés par plusieurs journées difficiles. Entre le tribunal, le mess et le front, il n'en pouvait plus. Il commençait à regretter les années passées dans sa propriété de Karavoïskolo. Les allées de marroniers, les saules majestueux et son chateau.

Il arriva face à la porte et trouva Igor encore allongé de tout son long en travers de la porte. Tchekov pris son pistolet et le posa contre la tempe de l'homme.

Igor réveille toi fainiant. Tu sens le canon de mon pistolet. La prochaine fois, tu ne te réveilleras pas !

Le soldat se redressa d'un bond.

Excusez moi mon commandant ! Mais je suis épuisé. Voici plus d'une semaine que je suis ici à faire le guet.

Tu préfères peut-être le front ! Cochon ! Le tavernier t'a encore donné de la vodka ! Cela suffit !

Tchekov entra dans la salle. Voyant Serguï et Rec9, il s'approcha d'eux.

Bonjour messieurs, j'ai de mauvaises nouvelles. La moitié d'une de mes compagnies de ligne s'est enfuie hier. Mon adjudant Tolstoï a attrapé un des fuyard que nous avons intérrogé ce matin. Ce pleutre nous dit que c'est à cause des soldes non payées.

Ensuite, la garde se montre toujours plus méprisante. Non content d'avoir volé l'argent de cosaques, ils veulent la mise à mort de certains de leurs officiers.

Tavernier, apporte moi de la vodka. Et pas ta cochonerie prise au Frnaçais. Elle m'a rendue malade.

Il s'assit sur la chaise à coté de Serguï

[vétéran Thork]

Thork se pointa au mess pour voir ce qui se passe mais pour surtout boire un petit coup. Il salua tout ses camarades, prit une bouteille de sa marque faovorite de vodka et alla s'assoir au fond du mess.

[vétéran cfxnapo]

Ce fut au tour de CFxNapo de rejoindre le Mess du régiment.
Il fut très étonné de pouvoir rentrer sans la moindre difficulté

Mais où est donc passé ce diable d'Igor ??

Oulah, il y a foule aujourd'hui dans notre mess, tant mieux, cela met du baume au coeur de vous voir tous réunis ici.

Tchekov, ton soulard de soldat a disparu, je ne l'ai vu nul part à l'entrée, je préfère te prévenir avant que tu ne t'en aperçoives toi même.

Sommes nous au complet messieurs, ou attendons nous encore du monde avant de commencer notre réunion ?
Si c'est le cas, depeche toi d'apporter la boustifaille, je meurt de faim après avoir aidé mes adjudants à recruter du monde.

Croyez moi mes amis, rien ne vaut la bonne vieille méthode de nos ancêtres : un bâton et une carriole pour mettre les hommes dedans.

[/i]CFxNapo prit une chaise en voyant la nourriture arriver, et s'assit à côté de ses amis autour de la table