Que font les cosaques à part galoper? des galipettes?
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davout regarda les cosaque et resta consterné, il avait sorti son sabre, il était pret a toute éventualité mais restait bouchebé devant t'en de barbarie.
vous voyez messieurs ,(français) la différence entre un cosaque et un cavalier français est vite trouvé, en effet le cavalier cosaque bois et ne sais plus ce qu'il dit, le cosaque a besoin de l'alcool pour dire ce qu'il pense.
davout bu le verre de lait avec beaucoup de satisfaction
je préfère gardé mon esprit clair car un français n'a pas besoin de boire pour dire et agir.
vous voyez messieurs ,(français) la différence entre un cosaque et un cavalier français est vite trouvé, en effet le cavalier cosaque bois et ne sais plus ce qu'il dit, le cosaque a besoin de l'alcool pour dire ce qu'il pense.
davout bu le verre de lait avec beaucoup de satisfaction
je préfère gardé mon esprit clair car un français n'a pas besoin de boire pour dire et agir.
- vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)
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"_ Oublie tes croyances, Andreï, et prend le plaisir qui t'est offert lorsqu'il se présente. Demain tu seras peut-être mort aux portes du fortin ennemi. A moins que ce soit ce soir, dans l'incendie de cette taverne... HO HO HO...."
Vitali observa Davout boire son verre de lait en signe de défi. Le cosaque parti dans un grand éclat de rire. Il se leva brusquement, manquant de faire tomber la putain rousse qui roucoulait grassement sur ses genoux. Il la maintenait par la taille, surprise, et de sa main libre, lui arracha son décolleté, libérant deux énormes tétasses fripées. Avec un sourire carnassier, il les palpa généreusement, les rudoyant, et cracha à Davout...
"_ Si tu ne te contentes que de lait soldat "cul-blanc"... Prend-le là où c'est le meilleur. Cela te fera connaitre une jouissance comme tu n'as surement jamais connu! HA HA HA..."
Tout en riant, le cosaque chauve roula des épaules, et se dirigea dans un recoin, entre l'âtre et le comptoir. Il baissa son pantalon ample de cavalier et souleva son caftan. Il offrait aux yeux de tous son derrière dodu et velu, sans pudeur, puis, se soulagea contre le mur, l'urine dégoulinant entre les lattes du plancher sale....
"_ Ha que ça fait du bien! Par le cul du diable! Il me vient une méchante envie en voyant ces seins danser sous mes yeux! Vient par là femelle, je vais te montrer, ainsi qu'à ces coincés du cul, comment monte un vrai cavalier cosaque!"
Vitali sans prendre la peine de se rhabiller, saisit la rouquine, s'approcha d'une table, en chassa les civils qui assistaient à la scène sans mot dire, balaya du revers de la main assiettes et gobelets, et alongea sans ménagement la souillon aux seins nus. Puis, il saisit sa lourde cuisse par la main droite, et posa son autre jambe le long de son poitrail. Son vis était gonflé, et sans ménagement, pénétra la catin.
"_ Vois l'envahisseur. Toi et tes chiens de semblables êtes probablement doués pour conquérir les terres d'autrui. Mais vous ne valez pas un kopek pour conquérir les charmes intimes d'une femelle!"
La grosse russe connaissait son métier. Elle se déhanchait à chaque coup de boutoir du cosaque, poussait des hurlements lorsqu'ils s'accéléraient, ronronnant lorsque le rythme ralentissait, gratifiant son étalon de noms flatteurs, ceux-là qui plaisaient aux clients... Puis ce fut le bouquet final, Vitali transpirant, sans se déparer de son sourire carnassier, acheva la grosse rouquine qui hurlait à en faire trembler les murs de l'auberge.
Les officiers français restèrent interdits, alors que les autres cosaques buvant, encourageaient Vitali. Enfin, le cosaque se retira, se rhabilla, et sortit une bourse cousue de l'aigle impérial français. Il en sortit une pièce d'or, que la pute regarda avec envie.
"_ Tiens ma bonne fille! Prend ça, tu l'as bien mérité. Tu es courageuse et hardie à la tâche."
Puis se tournant vers Davout et ses acolytes...
"_ Quant à toi, Davout-le-bavard... toi et tes nains de cours du "8ème RI", si vous ne consommez ni boissons, ni putains, foutez le camp céant! Et n'oubliez pas un sot de lait en partant. Je me sens d'humeur joyeuse ce soir, c'est moi qui rince!"
----
HRP/ aux anims... si vous souhaitez censurer certains passages, n'hésitez pas, je comprendrais parfaitement...
Vitali observa Davout boire son verre de lait en signe de défi. Le cosaque parti dans un grand éclat de rire. Il se leva brusquement, manquant de faire tomber la putain rousse qui roucoulait grassement sur ses genoux. Il la maintenait par la taille, surprise, et de sa main libre, lui arracha son décolleté, libérant deux énormes tétasses fripées. Avec un sourire carnassier, il les palpa généreusement, les rudoyant, et cracha à Davout...
"_ Si tu ne te contentes que de lait soldat "cul-blanc"... Prend-le là où c'est le meilleur. Cela te fera connaitre une jouissance comme tu n'as surement jamais connu! HA HA HA..."
Tout en riant, le cosaque chauve roula des épaules, et se dirigea dans un recoin, entre l'âtre et le comptoir. Il baissa son pantalon ample de cavalier et souleva son caftan. Il offrait aux yeux de tous son derrière dodu et velu, sans pudeur, puis, se soulagea contre le mur, l'urine dégoulinant entre les lattes du plancher sale....
"_ Ha que ça fait du bien! Par le cul du diable! Il me vient une méchante envie en voyant ces seins danser sous mes yeux! Vient par là femelle, je vais te montrer, ainsi qu'à ces coincés du cul, comment monte un vrai cavalier cosaque!"
Vitali sans prendre la peine de se rhabiller, saisit la rouquine, s'approcha d'une table, en chassa les civils qui assistaient à la scène sans mot dire, balaya du revers de la main assiettes et gobelets, et alongea sans ménagement la souillon aux seins nus. Puis, il saisit sa lourde cuisse par la main droite, et posa son autre jambe le long de son poitrail. Son vis était gonflé, et sans ménagement, pénétra la catin.
"_ Vois l'envahisseur. Toi et tes chiens de semblables êtes probablement doués pour conquérir les terres d'autrui. Mais vous ne valez pas un kopek pour conquérir les charmes intimes d'une femelle!"
La grosse russe connaissait son métier. Elle se déhanchait à chaque coup de boutoir du cosaque, poussait des hurlements lorsqu'ils s'accéléraient, ronronnant lorsque le rythme ralentissait, gratifiant son étalon de noms flatteurs, ceux-là qui plaisaient aux clients... Puis ce fut le bouquet final, Vitali transpirant, sans se déparer de son sourire carnassier, acheva la grosse rouquine qui hurlait à en faire trembler les murs de l'auberge.
Les officiers français restèrent interdits, alors que les autres cosaques buvant, encourageaient Vitali. Enfin, le cosaque se retira, se rhabilla, et sortit une bourse cousue de l'aigle impérial français. Il en sortit une pièce d'or, que la pute regarda avec envie.
"_ Tiens ma bonne fille! Prend ça, tu l'as bien mérité. Tu es courageuse et hardie à la tâche."
Puis se tournant vers Davout et ses acolytes...
"_ Quant à toi, Davout-le-bavard... toi et tes nains de cours du "8ème RI", si vous ne consommez ni boissons, ni putains, foutez le camp céant! Et n'oubliez pas un sot de lait en partant. Je me sens d'humeur joyeuse ce soir, c'est moi qui rince!"
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HRP/ aux anims... si vous souhaitez censurer certains passages, n'hésitez pas, je comprendrais parfaitement...

Bataillon du "Génie Royal Italien"
Per la rosa spesso la spina si coglie (On n'obtient pas le respect, si l'on n'en témoigne).

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- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
- Major
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- Inscription : lun. janv. 07, 2008 7:45 pm
- Localisation : Normandie
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- vétéran andreï jenkov (Mat. 17081)
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- Localisation : la où la guerre et l'aventure me portent
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andreï regarda davout et lui dit, le sourire a la bouche :
_ boarf tu sais entre une catin et une duchesse, même russe, y'a pas beaucoup de difference, ce sont toutes de petites perverses ! tient ça me rappele la fille d'un comte en visite a kiev quand j'avais 17 ans ...
entre temps andreï continuait de boire et regardait la catin, une petite brunette aux formes genereuse du nom de Marianne et se dit a lui même :
_ non, demain, on rigole pas avec ces choses là .
_ boarf tu sais entre une catin et une duchesse, même russe, y'a pas beaucoup de difference, ce sont toutes de petites perverses ! tient ça me rappele la fille d'un comte en visite a kiev quand j'avais 17 ans ...
entre temps andreï continuait de boire et regardait la catin, une petite brunette aux formes genereuse du nom de Marianne et se dit a lui même :
_ non, demain, on rigole pas avec ces choses là .
kasak voisko
fils du dniepr et d'israel parmis les enfants du don
ביצוע: שמעון ישראל
fils du dniepr et d'israel parmis les enfants du don
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- vétéran Isaac Mosiav (Mat. 731)
- Capitaine
- Russe
- Messages : 448
- Inscription : sam. janv. 27, 2007 11:00 am
- Localisation : A courir après les Franskis
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Isaac et ses amis Cosaque hurlaient après leur Hetman, frappant sur les tables le plus bruyamment possible et à une fréquence de plus en plus rapide à mesure des cris de plus en plus puissant de la rouquine.
Lorsque ce fut fini, ils éclatèrent tous d'un rire gras. Ils commentèrent entre eux:
"- AHAHAHA! En voila une qui se souviendra toute sa vie du passage des cosaques!
Et regardez moi ces culs blancs! On dirait bien que les rapports entre Hommes et Femmes les dégoutent, ils doivent probablement préférer serrer leurs mignons sous leurs tentes! HOHOHOHO!"
Lorsque ce fut fini, ils éclatèrent tous d'un rire gras. Ils commentèrent entre eux:
"- AHAHAHA! En voila une qui se souviendra toute sa vie du passage des cosaques!
Et regardez moi ces culs blancs! On dirait bien que les rapports entre Hommes et Femmes les dégoutent, ils doivent probablement préférer serrer leurs mignons sous leurs tentes! HOHOHOHO!"
COSAQUES ZAPOROGUES...


- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
- Major
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- Messages : 2097
- Inscription : lun. janv. 07, 2008 7:45 pm
- Localisation : Normandie
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Ferrey décida aussi de partir mais lui pour rejoindre l'État Major, avant de partir il ajouta
-Ce que vous venez de faire est a la porté du premier être vivant. Nous les hommes on a évolué, enfin certain semble s'être perdu en chemin......
Il sorti de la Taverne
-Ce que vous venez de faire est a la porté du premier être vivant. Nous les hommes on a évolué, enfin certain semble s'être perdu en chemin......
Il sorti de la Taverne

Major Ferrey,
Officier de la Garde Impériale,
Bataillon Normand.
- vétéran Isaac Mosiav (Mat. 731)
- Capitaine
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- Inscription : sam. janv. 27, 2007 11:00 am
- Localisation : A courir après les Franskis
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Isaac eu le temps de jeter au Franzkis moribond, juste avant qu'il sorte:
"- Effectivement si c'est à la portée du premier être vivant et que vous en êtes incapables, c'est que vous avez sans doute rater une étape!
Les cosaques riaient bruyamment, il était si facile d'impressionner ces "aristocrates révolutionnaires". Alors qu'il essuyait une larme il apostropha les derniers Franzkis qui n'avait pas encore quitter la taverne:
"Heureusement que votre espèce est, dans ce cas, vouée à l'extinction!
La taverne une fois débarrassée de tous ses rats, Isaac se leva et alla se servir directement derrière le comptoir "Si c'est l'Hetman qui rince!" se dit il, il choisit la meilleur bouteille et alla rejoindre ses compagnons.
La fête ne faisait que commencer et Dieu seul sait si ses fils dépravés auront pitié du pauvre Tavernier et de son enseigne.
"- Effectivement si c'est à la portée du premier être vivant et que vous en êtes incapables, c'est que vous avez sans doute rater une étape!
Les cosaques riaient bruyamment, il était si facile d'impressionner ces "aristocrates révolutionnaires". Alors qu'il essuyait une larme il apostropha les derniers Franzkis qui n'avait pas encore quitter la taverne:
"Heureusement que votre espèce est, dans ce cas, vouée à l'extinction!
La taverne une fois débarrassée de tous ses rats, Isaac se leva et alla se servir directement derrière le comptoir "Si c'est l'Hetman qui rince!" se dit il, il choisit la meilleur bouteille et alla rejoindre ses compagnons.
La fête ne faisait que commencer et Dieu seul sait si ses fils dépravés auront pitié du pauvre Tavernier et de son enseigne.
COSAQUES ZAPOROGUES...


- vétéran Arghentur (Mat. 13306)
- Colonel
- Français
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- Inscription : ven. nov. 02, 2007 2:00 pm
- Localisation : Russie
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Arghentur suivait Ferrey et rangea sn sabre à la sortie décidemment les cisaques semblaient de plus en plus drôle mais commençait vraiment à le dégouter.
Une estaffette lui apporta un pli à la sortie au moment où il commençait à monter à cheval.Il lut le pli et appela ferrey en criant
-Ferrey !!! Ferrey !!! Vite à l'Etat Major on a un grand probleme.
Arghentur partit suivit de ses hussards et de ferrey
Une estaffette lui apporta un pli à la sortie au moment où il commençait à monter à cheval.Il lut le pli et appela ferrey en criant
-Ferrey !!! Ferrey !!! Vite à l'Etat Major on a un grand probleme.
Arghentur partit suivit de ses hussards et de ferrey

Colonel Arghentur,
Ancien Lieutenant Général de la Jeune Garde,
Bataillon du Mercantour,
L'honneur se trouve devant !
- vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)
- Général de brigade
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- Messages : 3909
- Inscription : ven. mars 09, 2007 12:58 pm
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Les cosaques attablés, buvant à n'en plus soif, riaient des officiers français. Pour deux d'entre eux, le spectacle était insupportable. Et c'est en marmonnant des "marauds", "gueux", "faquins" et autres "barbares" qu'ils quittèrent l'auberge.
"_ Et n'oubliez pas votre sceau de lait, "culs-blancs"!!! HA HA HA..."
"Davout-diarrhée-verbale", abandonné des siens, désespérément seul au milieu de tous ces cosaques imbibés, ne pipait mot... hormis quelques onomatopées, et de rares jets qui se voulaient blessant. Lui, plus accoutumé au jeu du moulin à parole, peinait à avaler sa salive qui restait coincée en travers de sa gorge.
"_ Alors, misérable bonapartiste...! lâcha Vitali à l'intention de l'officier français qui avait perdu de sa superbe. Comme ça, tes grenadiers pourraient bien en vouloir à nos augustes postérieurs? Je crois bien que tu as raison Isaac... les franskis préfèrent davantage la galante compagnie des mignons de la cour, qu'un bon cul grassouillet d'une femme! Mais prend garde à toi qu'on ne te prenne au mot, Davout! D'ailleurs, tu serais presque séduisant avec une robe... Il me vient une idée... Olga! Enlève ta robe... Davout... et si tu commençais par enlever ta veste maintenant?"
"_ Et n'oubliez pas votre sceau de lait, "culs-blancs"!!! HA HA HA..."
"Davout-diarrhée-verbale", abandonné des siens, désespérément seul au milieu de tous ces cosaques imbibés, ne pipait mot... hormis quelques onomatopées, et de rares jets qui se voulaient blessant. Lui, plus accoutumé au jeu du moulin à parole, peinait à avaler sa salive qui restait coincée en travers de sa gorge.
"_ Alors, misérable bonapartiste...! lâcha Vitali à l'intention de l'officier français qui avait perdu de sa superbe. Comme ça, tes grenadiers pourraient bien en vouloir à nos augustes postérieurs? Je crois bien que tu as raison Isaac... les franskis préfèrent davantage la galante compagnie des mignons de la cour, qu'un bon cul grassouillet d'une femme! Mais prend garde à toi qu'on ne te prenne au mot, Davout! D'ailleurs, tu serais presque séduisant avec une robe... Il me vient une idée... Olga! Enlève ta robe... Davout... et si tu commençais par enlever ta veste maintenant?"
Bataillon du "Génie Royal Italien"
Per la rosa spesso la spina si coglie (On n'obtient pas le respect, si l'on n'en témoigne).

Per la rosa spesso la spina si coglie (On n'obtient pas le respect, si l'on n'en témoigne).

davout regarda vitali avec dédain
je m'en vais retrouver la comptesse pouchnikova pour une relation humaine.
davout se disait que les cosaques n'avait presque rien fait a cette grosse rousse qui de toute façon était payé pour simuler le plaisir alors que lui il allait se faire une noble russe qu'il allait brutalisé grace a ses parties génitales avec un grand sourire davout regarda les cosaques.
messieurs je vous laisse, j'ai une femme respectable qui m'attend, qu'en a vous, vous etes obligé de tapé dans de la catin que vous payez pour simuler le plaisir qu'elle éprouve. tout le regiment est passé dessus, elle ne sent plus rien!
davout parti sans laissé le temps aux cosaques de répondre tellement il les avait cloué sur leur cul!
je m'en vais retrouver la comptesse pouchnikova pour une relation humaine.
davout se disait que les cosaques n'avait presque rien fait a cette grosse rousse qui de toute façon était payé pour simuler le plaisir alors que lui il allait se faire une noble russe qu'il allait brutalisé grace a ses parties génitales avec un grand sourire davout regarda les cosaques.
messieurs je vous laisse, j'ai une femme respectable qui m'attend, qu'en a vous, vous etes obligé de tapé dans de la catin que vous payez pour simuler le plaisir qu'elle éprouve. tout le regiment est passé dessus, elle ne sent plus rien!
davout parti sans laissé le temps aux cosaques de répondre tellement il les avait cloué sur leur cul!
Dernière modification par Davout le dim. juin 15, 2008 7:55 pm, modifié 1 fois.
- vétéran andreï jenkov (Mat. 17081)
- Sous-Lieutenant
- Russe
- Messages : 141
- Inscription : dim. janv. 27, 2008 12:26 pm
- Localisation : la où la guerre et l'aventure me portent
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- Andreas Hofer (Mat. 9938)
- Colonel
- Russe
- Messages : 358
- Inscription : lun. août 06, 2007 3:56 pm
- Localisation : Avec les Cosaques!!!!
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_"Le Tyrol? Ah, le Tyrol, que dire sur cette région? Elle est très différente des grandes plaines d'Ukraines et des steppes de Russie. Mais les tyroliens peuvent avoir le sang chaud comme les Cosaques."
Andreas se perdi dans les méandres d'un rêve, cela faisait longtemps qu'il n'était pas retourné au Tyrol, et cela risquait de prendre encore du temps.
_"Andreas, tu te souviens de la révolte du Bergisel? Et la fois où nous avons repris Innsbruck, tenue par l'armée française? Ils ont reçus de sacrées râclées là-bas."
_"En effet, Joseph, mais ce n'étaient pas les français à Innsbruck mais plutôt les bavarois, les petits copains des français, adhérents aux idées révolutionnaires.
C'était le 30 Mai 1809, les bavarois ont subi une sacrée défaite, je les voit encore fuyant en abandonnant toutes leurs affaires sur place.
D'ailleurs c'est ce jour-là que tu es devenu le réprésentant de l'empereur au Tyrol."
_Oui, oui, pleins de bons souvenirs, dommages que les défaites de l'empereur aient douché nos espoirs.
Se tournant alors vers Davout, Andreas lui lança:
Nous avons battus les bavarois et les français du Maréchal Lefebvre. Alors, nous pouvons très bien vous battre.
Andreas se perdi dans les méandres d'un rêve, cela faisait longtemps qu'il n'était pas retourné au Tyrol, et cela risquait de prendre encore du temps.
_"Andreas, tu te souviens de la révolte du Bergisel? Et la fois où nous avons repris Innsbruck, tenue par l'armée française? Ils ont reçus de sacrées râclées là-bas."
_"En effet, Joseph, mais ce n'étaient pas les français à Innsbruck mais plutôt les bavarois, les petits copains des français, adhérents aux idées révolutionnaires.
C'était le 30 Mai 1809, les bavarois ont subi une sacrée défaite, je les voit encore fuyant en abandonnant toutes leurs affaires sur place.
D'ailleurs c'est ce jour-là que tu es devenu le réprésentant de l'empereur au Tyrol."
_Oui, oui, pleins de bons souvenirs, dommages que les défaites de l'empereur aient douché nos espoirs.
Se tournant alors vers Davout, Andreas lui lança:
Nous avons battus les bavarois et les français du Maréchal Lefebvre. Alors, nous pouvons très bien vous battre.
"Für Gott, den Kaiser und das Vaterland"
- Jean Bailly (Mat. 1169)
- Colonel
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- Inscription : sam. févr. 03, 2007 1:44 am
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