Tournée générale!

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Le Tsar a accepté que , royalistes français, nous battions aux cotés des rmées de la Sainte Russie! Ca se faites!

Tremblez, vils républicaines et autres impéialistes! L'usurpateur era bientot jeter à terre et la trône de France rendu à qui de droit!

[vétéran Marzyaz]

Vive l'amitié entre nous! défenseurs d'une même idéologie, défenseurs du royaume de Dieu!

Je lève mon verre à tous ceux que la révolution n'a pas entraîné dans la follie et je remercie les Russes pour le soutient qu'ils apportent au triomphe de la noblesse pour le bien de tous.

Une amitié éternelle est désormais soldée entre nos deux peuples.

Que le Diable emporte les révolutionnaires!

[vétéran Farkz Azkur]

Farkz Azkur les regardait, il était visiblement perplexe ... Que faisaient ces royalistes Français mais surtout catholique au Tsar !?

Il n'était pas du tout content, et le faisait savoir !

" - Hummff ... Des royalistes Français ? Je parie que ce sont des espions venus d'Occident pour nous tromper ... !

La noblesse Française est la plus mauvaise que je n'ai jamais vu, de plus, leur utilité est quasi inexistante ! Si ce n'est de belles paroles de riches qui n'ont jamais vu du sang, et qui se réfugieront derrière la première ligne !

*se racla la gorge, et esquissa un petit sourire*

La révolution ... vous avez peur des révolutionnaires ? Vous n'êtes que des peureux si tel est le cas !

Dieu reconnaîtra les siens !

Faites l'aumône, priez Dieu chaque jour, mariez vous ... et vous serez de bons Russes orthodoxes du Tsar !"

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Allons, mon ami! Vous verrez que ne menagerons pas ne ménagerons pas notre peine! Vous verrez en première ligne plus quà notre tour! Et quand a être des espoins, plutot mourir que de marchander avec ces monstres régicides.

[vétéran Marzyaz]

Marzyaz redéposa lentement son verre. La vodka avait un goût aigre tout à coup. La colère l'emplissait. Il s'était attendu à des réactions de ce genre. Ils étaient des apatrides chez des gens dont ils ne connaissaient rien. Ils devaient se faire accepter; mais pour cela, pas question de courber l'échine. Il était profondément blessé de se voir traiter de traître. Comment un noble pouvait douter de l'honneur d'un autre? Pour lui, les classes supérieures ne souffraient d'aucune différence de nation. Ils étaient liés par la confiance que Dieu leur portait pour guider les hommes vers le bonheur.

- Dvorianstvo Azkur! cria Marzyaz en se levant.

Aussitôt, Farkz Azkur se retourna avec un sourire moqueur vers le Français. Marzyaz savait qu'il parlait très mal russe: il n'était arrivé que depuis quelques années. Il avait juste appris que dvorianstvo était un terme de noblesse. Peu importait à présent que l'autre se gause de son ignorance, il lui avait montré qu'il s'intéressait à la culture russe et qu'il ferait des efforts. Il continua, en français cependant, car il connaissait trop mal le russe et qu'il savait le français parlé par la haute de tous les pays, étant décrétée langue de la diplomatie.

- Je ne pourrai accepter ces propos calomnieux. Nous tous, Français exilés, sommes heureux que le Tsar nous ait accepté parmi les Russes, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas sombrés dans la follie de la laïcité. Mais il faut évidemment qu'il y ait des ingrats! Nous avons la même cause, vous et nous! Que nous importe d'être catholiques ou orthodoxes? Il n'y a qu'un Dieu! Qu'il nous donne la victoire, ensembles! De plus, comment osez-vous dire que nous aurions peur du combat? Moi-même, je n'ai jamais vu de sang, il est vrai. Mais je me rends au front le plus vite que je peux, avec mes troupes qui rêvent de gloire. Sachez que mes ancêtres ont toujours été soldats! Et ils sont toujours morts dans l'honneur. A travers eux, à travers le sang bouillant qu'ils m'ont légué, je connais la guerre. Au plus profond de mon coeur, je sais me battre et je sais pourquoi me battre. Je me bats pour Dieu. Si vous aussi, nous sommes des alliés. Si vous combattez pour la Russie ou pour votre gloire ou pour tout autre considération mondaine, vous ne m'intéressez même pas!

[vétéran Farkz Azkur]

Farkz Azkur lança un regard noir au soldat des Partisans du Lys.

" - Dieu est avec moi, et personne ne peut le nier. Donc cesser de gaspiller votre salive, elle vous servira plus tard !

En tout cas, je n'ai pas confiance en vous, et je ne ferais jamais confiance à des gens expatriés d'un pays ennemi.

Ceci est clair. Mais si nous nous croisons lors d'un procès, alors mon impartialité et mon objectivité prendront le devant.

La Russie n'a pas besoin de gens comme vous ici ! A moins que vous fassiez des miracles ... ce qui est ma foi peu probable !"

[vétéran Marzyaz]

- J'en ai assez entendu! Je quitte ce bar où l'on ne sait pas accueillir les alliés.

Marsyas se leva et s'éloigna sans se retourner, la tête haute. Pourtant, une fois dehors, une grande tristesse l'envahit. Il ne pouvait ni se battre au côté des régicides ni aux côtés des Russes. Que faire? Rentrer chez lui? Humilié une nouvelle fois? Comme son père qui avait dû s'échapper de la Bastille!? Comme un criminel! Encore une fois, la famille souffrait l'infamie sans raison valable. Marzyaz réfléchirait à tout ça le lendemain, la tête froide. Froide comme ce foutu pays. Froide comme un cadavre. Une balle dans la tête. La seule façon pour un homme courageux comme lui d'en finir s'il ne pouvait aller faire ses preuves au front.

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Imrahryl courra à la suite de son ami

"Allons, mon frère! Ne te laisse pas découragez pat l'adversité. Il fallait s'attendre à ce genre de réaction de la part de certains russes à l'esprit étriqué. Mais notre cause est juste. Allez! Reviens à la taverne avec moi fêter avec moi le début du combat de notre vie. Nous leur prouverons notre valeur."

[vétéran Seigneur]

Seigneur qui était, comme d'habitude assis à la taverne, entendit les propos du sieur Farkz.

-Mon cher, sachez que un Lysiens est plus fort qu'un russe car il défend son roi qui est la main de Dieu sur terre ....

[vétéran Le renard blanc]

Le renard blanc, assis seul à une table éloignée, les écoutait, amusé.

Il n'était pas noble mais avait gagné ses galons au combat. Depuis, son seul intérêt était de faire la guerre. Il ne pouvait être, pour des raisons connues de lui seul, du côté français, il s'était rangé avec le camps adverse.

Une compagnie française s'était créée, il s'était précipité pour y être intégré.

Il entendit Imrahil proposer de fêter quelque chose. Il se joignit à la bande de partisans du Lys, prêt au combat si un russe avait le malheur d'être trop agressif.

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Imrahyl revint et aperçut le valeureux combattant dont le seul nom connu était Renard blanc. Il avait toujours refusé de révéle son véritable nom. Imrahyl suppose ,qu'il cherchait à cacher un sombre passé. Cependant Qui qu'il soit, il savait faire la fête et c'est ce dont avait besion Imrahyl à l'heure actuel. il se dirigea donc vers la table du plus mystérieux des Partisans du Lys

Mon ami, vous me voyez ravi de vous trouver ici! Buvons tout notre saoul pour féter ce grand pas vers le retour de la monarchie en France! Je comptait sur Marzyaz pour se joindre à nous, mais il semble qu'il y ai ici des compagnies qu'il ne goutte guère.

[vétéran Antecum]

Antecum qui buvé un verre dans son coin aux paroles de ces maudits royalistes ne pu s'empecher de repondre:
-il ne vous a pas suffit, maudits bourgeois d'affamer notre nation, il vous faut maintenant vous battre au coté de l'ennemi
sachez messieurs que mes hommes et moi n'auront de cesse de vous pourchasser pour vous faire payer votre trahison

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Aux mots du français, Imrahyl ne pu retenir sa colère.

TRAITRES ? TRAITRES ? QUI A LACHEMENT ASSASSINE LE ROY APRES UN PROCES ILLEGITIME? QUI A FOULLE AINSI DU PIED CE QUI FAISAIT LA GRANDEUR DE LA FRANCE ? QUI ?

[vétéran Ivan Vassilev]

Ivan, écoutant la scène de loin, avait honte de ces prétendus Russes venus de France...
Qu'ils retournent chez eux, eux et leurs idées royalistes de mon cul !
Ils n'avaient aucun droit de combattre au côté du Tsar, maître de toute les Russies...
Leur présence dans l'armée Russe était un véritable affront.

Il cracha sa chique et s'en alla, ne préférant plus penser à ces ignobles traîtres, qui ne méritaient que la mort.

[vétéran Seigneur]

Seigneur écoutait tranquillement la conversation. Dans son coeur il pensait à tous ces bourgeois qui avaient tué le Roi le seul l'unique. Seigneur s'attendait tout de même aux réactions de certains Russe mais il ne faisait pas ça pour la gloire mais seulement pour son Roy, le represantant du vrai Dieu.