Taverne de la Gazette

[vétéran Yousev Cotterley]

- Pour tout le monde tu dis ?
Très bien j'arrive il y a bien longtemps que je n'ais plus cassé un nez.

[Carcome Lego]

Dokhturov arriva en courant dans la taverne, essouflé...Refermant la porte en la verrouillant derrière lui, il reprit son souffle et en se tournant dit:

-Aidez moi je sais pas ce que j'ai fais mais il y a la Milice de la cité qui me course depuis tout à l'heure!!Et derrière eux des francais on se demande ce qu'ils font là...Au fait que fait ce francais dans la neige dehors?

Dès qu'il se fut retourner, il vit un champ de bataille dans la taverne et il comprit que c'était pour ca que la milice venait...il voyait plusieurs cosaques très connus des russes en train de se cracher sur leurs mains crasseuses en entendant les sifflets...Il se dit que la chance lui souriait à nouveau...

-Oh non!... Bon ben je vais vous laisser amusez vous bien!

L'officier russe essaya désespérément de rouvrir la porte mais n'y parvint pas...Son attitude frolait le ridicule alors qu'il sautillait sur place pour essayer de retirer ce satané verrou...
Il vit alors l'un de ses camarades, ce cher Yousev, et alla près de lui...

Qu'est ce qu'on fait??

[vétéran Yousev Cotterley]

Aucune idée je viens d'arriver mais n'ais pas peur de rester on est invités.

Ah ! la bonne vieille hospitalité cosaque il n'y a que ca de vrai !

[vétéran Ivan Vassilev]

Dans la grand rue, l'on entendait la bastonnade qui avait lieue dans la Taverne de la Gazette, ainsi que de nombreuses alarmes. Les Grenadiers du 770ème, à cheval pour l'occasion, s'étaient ralliés à leur chef.
Du haut de son cheval portant une lourde cuirasse, Ivan Vassilev aperçut le peloton de Français accourir dans sa direction. Une trentaine d'hommes au bas mot, des gendarmes...

Clément de Dare était un gendarme pensa t-il le sourire aux lèvres
Une trentaine de pas séparaient les deux groupes de soldats. Ceux ci ce toisaient et les Français hésitaient à prendre l'initiative de l'attaque. Ivan ne se fit pas prier.

-Soldats, sabres au clair ! dit il tout en sortant son épée, un chef d'oeuvre qu'il avait acheté une fortune à un maître forgeron de Sibérie Orientale. Pour la Mère patrie ! Pour le 770ème ! Pour l'Armée du Tsar ! Chaaaargeeez ! cria t'il en enfonçant ses épérons dans les flancs de son cheval, un pur sang donné par le Tsar lui même. Cela avait parfois des avantages d'être le premier fils d'une grande famille de Russie.

Les sabots des onze chevaux battaient le pavé de la grand rue depuis un moment déjà lorsque les Français ouvrirent le feu. Quatre Grenadiers désarçonnèrent, mortellement touchés. Mais il en fallait plus pour venir à bout d'hommes qui avaient la foi en leur chef. Les Français commencèrent alors à se mettre à l'abri pour éviter la terrible charge des cuirassés. Les sept cavaliers restants percutèrent les rangs avec une telle violence que les premiers soldats mourrurent sur le coup. D'une torsion de poignet, Ivan décapita l'officier commandant le peloton et ouvrit le ventre à un second soldat.

Le groupe de cavaliers, n'ayant subit aucune perte lors du corps à corps, ressorti des rangs, se regroupa, et se prépara à une seconde charge, tandis que le peloton Français tentaient de rétablir un semblant de cohésion.

[Pokotylo]

Pokotylo et ses hommes, stationné près des chevaux de l'Hetman Vitali, avaient entendu les bruits d'escalades verbales dans la taverne, mais ne s'en étaient pas inquiété. Pokotylo continuait de disucter avec Bogdan, son second.
Poko: Eh bien, y s'emmerde par, not'chef.
Bogdan: ça, c'est toujours les même qui s'amusent.
Poko: Allons, je crois pas qu'il serait contre le fait qu'on s'invite.
A ce moment, retentirent les siflet de la Gendarmerie Impériale et des Miliciens Russes.
Bogdan apperçut le scintillement des fusils de la maréchaussée.
Poko: Cette fois, c'est sérieux. S'il y a une baston, je veux en être! tant pis pour les chevaux.
Bogdan: Je viens également. Les Gendarmes m'ont arrosé de pruneaux sur la Boni, faut que je me farcisse quelques pandorres moi aussi.
Poko: envoies tout de même un gars chercher quelques camarades. Plus on est de fous, plus on rit!

Sur ce, Bogdan et Pokotylo courrurent vers la tavernes et y entrèrent en trombe.
Bogdan glissa sur le liquide d'une bouteille qui s'était fracassées dans la bagarre précédente. Et heureusement pour lui, car en tombant, il évita de recevoir une chaise volante dans la figure.
Pokotylo, voyant que Vitali s'entrainait au lancé de meuble, l'apostropha en ces termes:
Poko: Vitali, par les couilles du diable! V'là que tu essaye de dégommer mes hommes?
Vitali: Mille excuses, Poko, je croyais que c'était un gendarme qui tentait déjà une approche.
Poko: Ben non, nous les avons apperçut en arrivant. Y'en a un beau paquet. Alors on a voulu faire la fête avec vous. C'est qui ces bleus?
Vitali: je te présente Arghentur, il fera le coup de poing avec nous contre les empêcheurs de bagarrer en rond.
Pokotylo, plantant son regard dans celui du français, lui dit:
Poko: Monsieur, heureux de faire ta connaissance. tu m'excuseras si je ne te serre pas la main, je tiens à garder ma dignité de cosaque. Mais que celà ne nous empêche pas de nosu amuser en tappant sur les poulet.
Puis, avisant le curé du 1er Pulk:
Poko: Andréas, fais gaffe avec cette croix, tu vas blesser quelqu'un!
Andreas: T'inquiète pas, Poko. J'ai bu quelques litres de vodka en prévision de la bagarre!
Poko: Ah bon, tu es donc enfin en état de viser juste.
Andreas: Oui mon fils. Mais arrête de parler et chauffe-toi les poings.
A ce moment, on entendit le rassemblement des gendarmes qui approchait de la porte de l'estaminet.
Vitali prévint alors les occupants de la taverne:
Vitali: Les gars, ça va saigner! Quelle que soit la sorte de poulet qui entre par cette porte, je veux qu'ils ressortent tous nus comme des vers et - sauf ton respect, Arghentur - plus couverts de bleus qu'un drapeau français.

[vétéran Yousev Cotterley]

Yousev Cotterley étais seulement acombagné de son adjudent Quick Step et de 8 des ses voltigeurs

- Quick met tes voltigeurs aux fenétres de la taverne.
- Bien Lieutenant !
- Dis leur aussi de viser Léonardo en priorité si il passe par la ... une balle perdue ...
- Vous étes génial Lieutenant !
- Je sais ... Execution !

Deux voltigeurs se placérent a chaque fenétre en visant sur tout ce qui avait un siflet tout en cherchant l'éventuelle présence de Léonardo pour ramener son corps a leur chef bien aimé.

[Pokotylo]

Un gendarme frappa à la porte de l'estaminet:
Au nom des autorités, ouvrez cette porte et sortez tous les bras en l'air!

Tous les occupant de la tavernes, français, cosaques, russes, prussiens et polonnais, répondirent en choeur:

TA GEULE! VENNEZ NOUS CHERCHER, SI VOUS EN AVEZ LES COUILLES!

[vétéran Yousev Cotterley]

Al l'aproche des gendarmes Yousev cria :

- Feu !

Les voltigeurs visaient juste et les trois francais tombérent raids morts décidément Léonardo n'avait pas interet de s'aventurer par ici ...

[Carcome Lego]

Dokhturov se demandait dans quoi il s'était embarqué mais il ne pouvait plus aller en arrière...Il cria pour Appeler son cousin et l'escorte qui l'avait accompagner et qui l'attendait derrière la taverne...Aux cris de leur officier ils accoururent en trombe, défoncant la porte arrière...Dokhturov s'adressa aux cosaques et aux autres officiers présents:
-TIREZ PAS C'EST DES GARS A MOI!!

Puis s'adressant à ses hommes:

-Les gars allez au second étage et arrosez tout ce qui bouge!!Vous deux restez avec moi! Raievski on défend cette salle avec les autres!Ils arrivent!!
Go go go!

Raievski prit son mousquet et son sabre alors que en prenant exemple sur Vitali, Dokhturov saisissait une chaise et prenait son sabre dans l'autre main après avoir vidé une demi bouteille de vodka.

[vétéran Arghentur]

Arghentur se releva avec un mal au dos effroyable le Russe avec une sacrée force il alla rejoindre ses 2 estaffettes et leur dit

-VENEZ LES GARS ON AURA BESOIN D'AIDE CONTRE CES GENDARMES
mais avant ça une tournée pour tout le monde pour etre en forme.

Les 2 estaffette armés de fusil commencèrent à tirer Arghentur sortit son pistolet et tira sur le premier gendarme qui venait d'entrer, il s'écroula mort

-Je vais faire ce que j'ai toujours détesté agir puis réfléchir aprés que diront nos supérieurspensa-t-il

Les Gendarmes malgré leur supériorité numérique et la milice de la cité reculait et commencé a être refoulé vers la sortie

-EN AVANT FRANCAIS ET RUSSES

[vétéran Yousev Cotterley]

HRP/A suprimer plus tard

Si je ne me trompe pas ils ne sont pas rentrés puisque les hommes sont au fenétres et qu'ils ont étés chargés par Ivan Vassilev

[vétéran Arghentur]

HRP/ on dira qu'ils ont réussit puis aprés tout ils vont pas rester que dehors à se faire tirer dessus les pauvres à supprimer aussi dés demain si j'y pense /HRP

[Andreas Hofer]

(HRP:Andreas n'est pas curé, c'est un simple aubergiste, mais c'est Joachim le prêtre capucin. Andreas a eu 4-5 enfants, bien à lui (un garçon et plein de filles). Enfin, il n'y a pas de mal. /HRP)

Andreas observait le combat du haut d'une table, assis sur une chaise, le manche cassé d'un balais en guise de gourdin et une bouteille de vodka dans l'autre.
Il continuait nonchalemment de siroter sa bouteille malgré tout le vacarme qui avait lieu, et ne se privait pas de distribuer quelques coups de manche de balais sur ceux qui s'approchaient un peu trop de lui.

_Comment ça s'est passé? Comment on en est arrivé aux mains? Ils ne faisaient que de se viser quand je suis entré. Je ne comprend plus rien.

Un français l'attaqua, sabre au clair, Andreas lui assèna un coup de son manche, l'immobilisant pour une longue période.

_Pas touche à ma Vodka! Elle est à moi!

Un deuxième homme s'approcha, il reçu aussi son lot de coups.

_Toi non plus tu n'as pas le droit! Oups, un russe, bof tant pis.

Joseph, qui donnait, quant à lui, des coups de chaise à la cantonnade, lança à Andreas:

_On fait quoi ici? Y-a-t'il un intérêt stratégique à se battre ici?

Le père Haspinger lui répondit, entre deux bénédictions musclées:

_Oui, il y en a un: Montrer, à ses àmes perdues dans les ténèbres de l'obscurantisme des Lumières, qu'on va tous les éclater!

[vétéran Arghentur]

[i]Arghentur voyant Andréas en train de se saouler plutot que de les aider à se battre contre la milice et la gendarmerie lui cria ( il parlait le Russe couramment) [/i]

-Saute de ta table les Gendarmes viennent d'entrer on va les renvoyer à leur tente

[i]Un gendarme passa trop prés et Arghentur le sabra déjà un autre s'élançait vers lui il prit son pistolet et tira et se mit dans un coin pour recharger [/i]

[vétéran Yousev Cotterley]

Les gendarmes plus nombreux réeussirent a entrer dans la taverne Yousev sortit son beau sabre il ne voyais plus son adjudant la bataille commencais

Au cours de la bataille un enfant a coté de Yousev lui donais des instructions

- Gardez vous a droite !
- Gardez vous a gauche !

C'est trés destabilisant et puis quesqu'il foutais la ce gamin bouré ??

- Oh casse toi pauvre con !



Apres avoir dégagé ce géneur parmis la foule il repris son combat