Journée au bar ..

[vétéran Ferrey]

Ferrey eu un petit rire a ces paroles de la part de Arghentur

-Vous savez quoi mon ami que si vous ètes si sur de sa fidélité faite un essai de ne pas lui écrire est allé la voir au moment opportun. Et si vous étiez si sur de sa fidélité vous ne partirez pas comme un lache.

[vétéran Arghentur]

Arghentur se retourna et rigola au paroles de Ferrey qui lui parurent complétements incensées

-Comment pouvez vous avancer de tels propos sans avoir vous meme de femme ? Ne seriez vous pas un de ces soldats qui viole des femmes en campagne ? J'espère que non car sinon vous pourriez me rayer de votre liste d'amis. Bon il est tard je pars.

Arghentur sortit pour de bon et rejoignit l'estafette qui l'attendait déjà sous la neige. Il enverrai une missive personnelle à sa femme et à Ferrey

[vétéran Ferrey]

Ferrey s'arrêta net de rire devint raide comme un canon de fusil pointé vers Arghentur, il sorti son pistolet et le metta en joue

-Je vous prie et encore je reste poli de retiré immédiatement ce que vous venez de dire si vous voula pas que votre femme deviennt veuve!

[vétéran Arghentur]

Arghentur sortit son sabre et répondit

-Je ne retire rien tant que vous n'aurez pas vous meme retiré ce que vous avez dit ou alors je vous attend pour un duel au sabre.

Il attendit la réponse de Ferrey

[vétéran Charette]

De la table voisine, Charette se leva et intervînt

-Messieurs, du calme ! L'armée française a surement encore besoin de vous !
Je me suis également permis d'écouter votre conversation, et, je trouve que, pour un officier honorable de la Grande Armée, monsieur Ferrey tient des propos plus qu'insultants envers le sous-lieutenant Arghentur...

Charette dégaina son pistolet et son sabre et pointa de ses deux armes, l'officier Ferrey

[vétéran Astore Cavallini]

HRP/ Nous sommes dehors sous la neige, Charette...


Vitali sortit à son tour de la taverne. Il neigeait dru. Il avait suivi avec délectation l'échange des deux franskis sur les bonnes moeurs. Pour le cosaque qui n'avait pas un soupçon de moral, ces deux hommes lui paraissaient complètement loufoques... sauf peut-être le dénommé Ferrey.

Lorsque Vitali fut dans la rue, des passants poussèrent des hurlements, des femmes s'enfuyaient portant leurs enfats dans les bras, les hommes s'esquivaient prudemment et disparaissaient dans une ruelle. Des officiers russes s'amusaient de voir deux franskis prêt à s'affronter en duel, tandis que les bonapartistes voyaient d'un mauvais oeil que deux des leur règlent leurs problèmes aux yeux de tous, russes surtout.


"_ Hola! Hola! Les jouvenceaux...! Point de querelle ici... C'est bien le seul endroit où nous ne devons combattre. Toutefois, s'il y avait plus de franskis à régler ainsi leurs différents, nous serions définitivement débarrassés de cette engeance corse qui souille notre terre... Ha Ha Ha... Permettez..."


Vitali s'interposa entre le fiacre où se tenait Arghentur, et le canon du pistolet de Ferrey. Ses seules mains levées lui servaient de protection.


"_ Pardonnez... Sire machin-chose, fit le cosaque à Arghentur... Mais je ne peux que donner raison à votre ami. C'est folie que de se réserver à une seule et unique femme! Il y en a tant et tant qui ne demande qu'à être contentées... qu'elles le veuillent ou non... Ho Ho Ho... Ne gâchez pas votre vie, et "carpe diem"! Va conter fleurette, butiner dans les foins et te ventrouiller à tire larigot! C'est sain, et il n'y a pas de mal à se faire plaisir. u reste... si ton camarade Ferrey-machin-truc est si catégorique sur ta belle... c'est p't'êt parce qu'il se l'est tapée avant son départ... HA HA HA HA HA....


Vitali aperçut le franski porter la main à sa ceinture pour en dégainer son pistolet. Le cosaque sans demander son reste, courut dans les rues boueuses de la bourgade. Derrière lui, il entendit une déflagration. La balle le manqua, et il s'évanouit dans une venelle.

[vétéran Arghentur]

Arghentur rangea son sabre et demanda au Russe

-Veuillez vous écarter je vous prie cette affaire ne le concerne que lui et moi. De plus vous avez une bien mauvaise opinion des moeurs.
Bon je pars mes hommes m'attendent. Mais je ne retire rien de ce que j'ai dit j'ai une fiancée je lui suis fidèle c'est tout.

Arghentur monta à cheval et s'en alla accompagné de son Adjudant Desaix qui lui donna raison sur sa conduite mais lui reprocha d'avoir sortit son sabre devant tant de personne

[vétéran Yousev Cotterley]

Restez donc vos hommes ne vous atendent plus je m'en suis chargé personellement ils ont eu droit a un allez retour gratuit pour la tente.

[vétéran Charette]

Charette rattrapa le russe avant qu'il ne s'enfuit lachement

Mon cher cosaque des steppes (ou trou à vodka, c'est la même chose! ), sachez que notre conflit nous pouvons le regler seuls, nous n'avons pas besoin d'une "nounou slave" pour ce genre de problème ! Et n'oubliez pas que, malgré ses propos, le sous-lieutenant Ferrey est un ami (on a un peu trop fêté une grande victoire ) et la femme d'Arghentur lui a toujours été fidèle , je le sais
:c'est ma soeur et, s'il vous vient à l'idée de l'insulter, vous taterez de mon sabre...

Charette rit alors que Vitali s'éloignait vers son campement

[vétéran Pierre-Jacques Os]

HRP/ Charette on est en Role play donc pas d'émoticone /HRP

[vétéran Charette]

Cher Cambrone,

Sachez que j'ignore totalement votre reflexion

Cordialement bien sûr

[vétéran Ferrey]

Ferrey rangea son pistolet et s'adressa a Charette

-Mon cher ami se qu'il voulait c'est que mettre des smiles dans une telle conversation est un manque de maturité et d'intelligence.
De plius votre devise qui est "si j'avance suivait moi, si je recule tuez moi, si je meur vengez moi Jem e vois dans l'imposibilité de répondre a vos attentes du fait que nous allons manquer de balles pour vous venger vous mourrez tant de fois.

[vétéran Charette]

Un sourire au coin de la lèvre, Charette rangea lui aussi son arme et répondit à Ferrey

-Mon ami, n'est-ce point vous qui étiez dans les tentes, il y a peu de temps, tandis que moi, je n'y suis pas encore allé, quant à ma maturité, elle ne regarde que moi

Charette alla aux écuries de la taverne, prit sa monture et rejoignit ses troupes sur le front

[vétéran Pierre-Jacques Os]

Cambrone arriva l'air hautain et regarda méprisament yousev cotterly

"Pourquoi on enterre les français sur le ventre, et bien, c'est tout simplement que les russes à force d'attaquer tout le monde de dos attrape des habitudes, disons malsaine"

"Mais je vois que vous représentez à merveille une citation:"Je ne connais que deux choses infinies: l'univers et la bétise humaine. Et encore pour l'univers je ne suis pas sûr."

[Andreas Hofer]

Andreas Hofer flânait dans les rues, s'ennuyant à mourir aussi loin du front, lorsqu'il apperçu ce semblant de querelle entre français, et son Hetman non loin.
Les paroles que Ferrey adressa à Charette n'echappèrent pas aux oreilles du tyrolien adopté chez les cosaques.

_Officier Bidule, euh, machin, euh, le français au chapeau de Napoléon.
La citation que vous venez de sortir ne provient pas de Monsieur de Charette. Il s'agit du jeune Marquis Henri de La Rochejacquelein qui l'a sorti lorsque les paysans sont allés le chercher pour en faire leur chef.
Seriez-vous aussi inculturé malgré vos grands airs?