La Révolution française: le film

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Andreas Hofer (Mat. 9938)
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Message par Andreas Hofer »

En fait, la République, c'est la chose publique.

La Démocratie est le gouvernement de la masse, c'est le contraire de l'aristocratie, qui est le gouvernement de l'élite (soit par le nom, soit par le mérite...).

Une tyrannie peut aussi bien être démocratique qu'aristocratique. Les deux peuvent se trouver.

Sinon, c'est vrai que je trouve ce film intéressant, de quand date-t-il? Celui qui joue Louis XVI a joué dans Flic ou Voyou. Ca ne rajeunit personne.
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vétéran Arghentur (Mat. 13306)
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Message par vétéran Arghentur »

Je connaissais pas ce sketch des inconnus merci je serais moins con ce soir
rassurez vous je sais la différence entr république démocratie et monarchie tyrannie etc ...
:mrgreen:
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vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)
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Message par vétéran Sainte-Croix »

Sinon, c'est vrai que je trouve ce film intéressant, de quand date-t-il? Celui qui joue Louis XVI a joué dans Flic ou Voyou. Ca ne rajeunit personne.
Le film a été réalisé à l'occasion du bicentenaire de la révolution en 1989.
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vétéran Georges Laloose (Mat. 977)
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Message par vétéran Georges Laloose »

La bataille de Valmy est plutôt poilante dans ce film : avec les fantassins français accroupis en écran devant leur batterie d'artillerie ! Jamais ils n'auraient fait ça, ils se seraient fait écharper par leurs propres canons...

Mais le clou c'est le Maréchal Brunswick qui s'exclame "cheise ! (merde !) c'est à dire 23 ans avant Cambronne mais dans d'autres circonstances...

Pour les passionnés de cette période je vous conseille le chef d'oeuvre d'Abel Gance "Napoléon" où la scène de la Marseillaise est dantesque, bien que le fim était muet ! Le même réalisateur remontera son film quelques années plus tard au moment du cinéma parlant, mais curieusement, le film sera moins intéressant.
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vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)
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Message par vétéran Sainte-Croix »

La bataille de Valmy est plutôt poilante dans ce film : avec les fantassins français accroupis en écran devant leur batterie d'artillerie ! Jamais ils n'auraient fait ça, ils se seraient fait écharper par leurs propres canons...

Mais le clou c'est le Maréchal Brunswick qui s'exclame "cheise ! (merde !) c'est à dire 23 ans avant Cambronne mais dans d'autres circonstances...
C'est vrai que les quelques scènes de batailles ne sont pas superbement réussies... Mais l'intérêt du film n'est pas là.

Pour les passionnés de cette période je vous conseille le chef d'oeuvre d'Abel Gance "Napoléon" où la scène de la Marseillaise est dantesque, bien que le film était muet ! Le même réalisateur remontera son film quelques années plus tard au moment du cinéma parlant, mais curieusement, le film sera moins intéressant.
Je n'ai malheureusement jamais vu ce film... La scène de la Marseillaise se déroulait durant la Révolution ? Car le chant n'était pas utiliser sous l'Empire... Bien que celle-ci aurait été chantée après la bataille d'Austerlitz, et à Waterloo je crois.
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Davout (Mat. 25)
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Message par Davout »

a noter que aujourd'hui en face de la salle du serment c'est un resto japonais, le chateau c'etait pas assez pour eux ^^.


oui pendant la campagne de france en 1814 les marie louise allaient au combat en chantant la marseillaise.
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vétéran Georges Laloose (Mat. 977)
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Message par vétéran Georges Laloose »

La scène de "la Marseillaise" dans le "Napoléon" d'Abel Gance se passe à la convention en effet.
Sinon Napoléon n'aimait pas du tout "la Marseillaise" qu'il trouvait trop révolutionnaire, il préférait "le chant du départ" composé par l'ardennais Méhul (originaire de Givet).
L'empereur a ensuite autorisé les troupes à chanter la Marseillaise durant la campagne de 1815 (Waterloo) histoire de montrer qu'il était revenu pour défendre les acquis de la révolution.
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vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)
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Message par vétéran Sainte-Croix »

Sinon Napoléon n'aimait pas du tout "la Marseillaise" qu'il trouvait trop révolutionnaire...
Dire que Napoléon n'aimait pas la Marseillaise est relativement faux... Il chantonnait en effet souvent la Marseillaise à son lever.

Ce que n'aimait pas Napoléon, c'était en effet le caractère trop "révolutionnaire" de ce chant. Ainsi que l'auteur des paroles du chant, qui aurait été l'amant de Joséphine.

La Marseillaise fut tolérée à partir de 1812 dans la Grande Armée... Outre les Cent-Jours, la Marseillaise fut entonnée à la Moskowa et durant la campagne de France en 1814.
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Andreas Hofer (Mat. 9938)
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Message par Andreas Hofer »

En fait, ils l'ont chantée quand ils se sont fait ratatiner. :mrgreen:
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vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)
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Message par vétéran Sainte-Croix »

Andreas Hofer a écrit :En fait, ils l'ont chantée quand ils se sont fait ratatiner. :mrgreen:
On peut voir ça comme ça...
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vétéran Yousev Cotterley (Mat. 10684)
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Message par vétéran Yousev Cotterley »

Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
On ne distinguait plus les ailes ni le centre.
Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
On voyait des clairons à leur poste gelés,
Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise
Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sous le ciel noir.
La solitude vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul.
Et chacun se sentant mourir, on était seul.
- Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?
Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.
On jetait les canons pour brûler les affûts.
Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,
Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.
On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,
Voir que des régiments s'étaient endormis là.
Ô chutes d'Annibal ! lendemains d'Attila !
Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières,
On s'écrasait aux ponts pour passer les rivières,
On s'endormait dix mille, on se réveillait cent.
Ney, que suivait naguère une armée, à présent
S'évadait, disputant sa montre à trois cosaques.
Toutes les nuits, qui vive ! alerte, assauts ! attaques !
Ces fantômes prenaient leur fusil, et sur eux
Ils voyaient se ruer, effrayants, ténébreux,
Avec des cris pareils aux voix des vautours chauves,
D'horribles escadrons, tourbillons d'hommes fauves.
Toute une armée ainsi dans la nuit se perdait.
L'empereur était là, debout, qui regardait.
Il était comme un arbre en proie à la cognée.
Sur ce géant, grandeur jusqu'alors épargnée,
Le malheur, bûcheron sinistre, était monté ;
Et lui, chêne vivant, par la hache insulté,
Tressaillant sous le spectre aux lugubres revanches,
Il regardait tomber autour de lui ses branches.
Chefs, soldats, tous mouraient. Chacun avait son tour.
Tandis qu'environnant sa tente avec amour,
Voyant son ombre aller et venir sur la toile,
Ceux qui restaient, croyant toujours à son étoile,
Accusaient le destin de lèse-majesté,
Lui se sentit soudain dans l'âme épouvanté.
Stupéfait du désastre et ne sachant que croire,
L'empereur se tourna vers Dieu ; l'homme de gloire
Trembla ; Napoléon comprit qu'il expiait
Quelque chose peut-être, et, livide, inquiet,
Devant ses légions sur la neige semées :
« Est-ce le châtiment, dit-il. Dieu des armées ? »
Alors il s'entendit appeler par son nom
Et quelqu'un qui parlait dans l'ombre lui dit : Non.

Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
D'un côté c'est l'Europe et de l'autre la France.
Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance ;
Tu désertais, victoire, et le sort était las.
O Waterloo ! je pleure et je m'arrête, hélas !
Car ces derniers soldats de la dernière guerre
Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,
Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
Et leur âme chantait dans les clairons d'airain !

Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.
Il avait l'offensive et presque la victoire ;
Il tenait Wellington acculé sur un bois.
Sa lunette à la main, il observait parfois
Le centre du combat, point obscur où tressaille
La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.
Soudain, joyeux, il dit : Grouchy ! - C'était Blücher.
L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme,
La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.
La batterie anglaise écrasa nos carrés.
La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés,
Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,
Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ;
Gouffre où les régiments comme des pans de murs
Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs
Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,
Où l'on entrevoyait des blessures difformes !
Carnage affreux! moment fatal ! L'homme inquiet
Sentit que la bataille entre ses mains pliait.
Derrière un mamelon la garde était massée.
La garde, espoir suprême et suprême pensée !
« Allons ! faites donner la garde ! » cria-t-il.
Et, lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,
Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,
Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,
Portant le noir colback ou le casque poli,
Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,
Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,
Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête.
Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur !
Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,
Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,
La garde impériale entra dans la fournaise.
Hélas ! Napoléon, sur sa garde penché,
Regardait, et, sitôt qu'ils avaient débouché
Sous les sombres canons crachant des jets de soufre,
Voyait, l'un après l'autre, en cet horrible gouffre,
Fondre ces régiments de granit et d'acier
Comme fond une cire au souffle d'un brasier.
Ils allaient, l'arme au bras, front haut, graves, stoïques.
Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques !
Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps
Et regardait mourir la garde. - C'est alors
Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée,
La Déroute, géante à la face effarée
Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons,
Changeant subitement les drapeaux en haillons,
A de certains moments, spectre fait de fumées,
Se lève grandissante au milieu des armées,
La Déroute apparut au soldat qui s'émeut,
Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut !
Sauve qui peut ! - affront ! horreur ! - toutes les bouches
Criaient ; à travers champs, fous, éperdus, farouches,
Comme si quelque souffle avait passé sur eux.
Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux,
Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles,
Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles,
Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil !
Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient ! - En un clin d'œil,
Comme s'envole au vent une paille enflammée,
S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée,
Et cette plaine, hélas, où l'on rêve aujourd'hui,
Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui !
Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre,
Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire,
Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants,
Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants !

Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve ;
Hommes, chevaux, tambours, drapeaux ; - et dans l'épreuve
Sentant confusément revenir son remords,
Levant les mains au ciel, il dit: « Mes soldats morts,
Moi vaincu ! mon empire est brisé comme verre.
Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère ? »
Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon,
Il entendit la voix qui lui répondait : Non !



A la demande générale je précise que c'est du Victor Hogo.



Il falais que je le sorte aussi encore désolé faites pas attention a moi :mrgreen:
Dernière modification par vétéran Yousev Cotterley le mar. févr. 05, 2008 7:10 pm, modifié 2 fois.
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.

Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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Message par vétéran Sainte-Croix »

Source ?

Par contre, je ne vois pas bien le rapport avec le sujet de ce post...
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Message par vétéran Yousev Cotterley »

Victor Hugo ca me paraissait télement évident que je n'ais méma pas mis le nom.

Pour le raport il n'y en a pas vraiment a part Waterloo et la déroute francaise.
Dernière modification par vétéran Yousev Cotterley le mar. févr. 05, 2008 7:09 pm, modifié 1 fois.
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.

Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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Message par vétéran Sainte-Croix »

Je me doutais qu'il s'agissait de Victor Hugo... Son style est facilement reconnaissable. Seulement j'ai pour principe de mettre les sources à la suite des citations...

Merci pour le texte :)
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Message par vétéran Yousev Cotterley »

C'est fait pour la source

Pour en revenir a la révolution elle était tout de méme plutot violente j'ais entendu me massacres au couteau et de coeurs lancées dans la foule ...
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.

Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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