Il venait d'entendre les quelques paroles de Gallifet
Il est vrai que le IIIe corps ne lâche rien, les combats sont sanglants surtout à l'extrème ouest mais nous grignotons et vous serez bientôt repoussé au delà de la Boni (rivière), très bientôt! Le seul conseil à vous donner, survivre!
Une seule devise pour le Génie du Tzar "Construire et détruire pour mieux conquérir"
Second du Génie
Ex-membre du HEM (2 mandats)
Ex-chef de la Troupe des Partisans (L'Opoltchénie)
Après le repli nécessaire les troupes françaises se ressaisissaient. Sans nul doute l'affrontement allait reprendre mais les Partisans étaient attendus de pied ferme...
L'eau gelée devait engourdir les jambes des russes qui traversaient la rivière. Les combats fesaient rage et beaucoup de poudre et de sang se mêlaient dans ces herbes humides...
La guerre avec son visage le plus cruel se montrait à tous sans fard...
Mais la frroideur de l'eau ne stoppait pas l'avancée des partisans ... bien au contraire, il ne voulait pas rester dans l'eau froide et préfèrait traverser pour remmettre les pieds sur un sol ferme et sans risques...
Gusitchev ce dit que les français devraient savoir quand une bataille est perdue ... Mais quelque part il comprennait qu'ils puissent encore se battre, l'espoir fait toujours vivre, et l'espoir donne du courage malgré tout!
Major au service de l'Opoltchénie!______LE CLIC UTILE
Un peu plus au nord...
"- Cosaques, l'heure est venue!
N'espérez pas revoir un jour le cul d'une donzelle, aujourd'hui nous nous élançons dans les bras des apôtres du cornu!
Puisse le créateur nous faire un accueil chaleureux en haut!"
Les chevaux furent harnachés dans la minute, les derniers rapports de position étaient formels, une brèche dans la défense française avait été ouverte, les artilleurs vivaient leur dernières heures...
La sotnias se mit en marche, elle passa le pont doucement puis prit son élan, le vacarme était immense, les cosaques riaient, chantaient, en galopant vers mort.
Lances abaissées, le choc fut énorme, aucun franski ne survécu. La seule blessure dans les rangs cosaques était du à une chute de cheval...
Un peu plus à l'est...
"- Kavinski! Fils de catin!
Tu achèves le travail des autres puis tu te caches derrière?
Tu veux pas qu'on baisse notre froc non plus?!
On avance, on embroche, on campe!"
Sans attendre d'avantage, le frère Mosiav mit ses hommes en marche.
Arrivé sur les anciennes positions de la compagnie de l'adjudant "mouton", les cosaques marchèrent sur les cadavres, se saisirent du drapeau français et le brulèrent.
Les enfants du Don étaient sur leurs terres et les défendraient jusqu'au bout. Ils se mirent en position défensives et attendirent.
Au loin, on entendait déjà la mort approcher.
Tout à coup un bruit effroyable s'abattit non loin de Gallifet...
Pourtant maintenant habitué à l'artillerie de son régiment, ce boulet ci ne venait pas du bon côté...
Les russes mettaient de lourds moyens pour dérouler ce flanc de la bataille...
Pour les français ils ne restaient que l'honneur et le courage, l'espoir avait presque disparu...
(HRP/ J'avoue être bluffé par la coodination et l'organisation des Partisans, aucun "mauvais" placements sur plus de 4 lignes... )
(HRP/ merci pour ces gentilles paroles, on fait ce qu'on peut )
Gusitchev entendait son adjudant arrivé derrière lui quand le bruit sourd d'un tir de canon se fit entendre! il détourna les yeux dans les compagnies russes pour savoir qui avait morflé ... mais personne ne semblait prendre un boulet dans la figure... Alors il vérifia que le canon français n'avait pas explosé...
Quelle ne fut pas sa surprise en ne voyant plus de canon, mais par contre une compagnie française en désordre après avoir reçu un boulet ...
Il regarda dans les ranges russes à nouveaux et vit un canon ... C'était la première fois qu'il en voyait un d'aussi prêt!
Et bien je me demande ce qu'il fait là, mais encore une fois les français devrait se dépécher de se protéger de l'autre côté de la Boni, car avec un canon en plus de nous ... les pauvres vont souffrir .
Major au service de l'Opoltchénie!______LE CLIC UTILE
Jacques,il me semble que vos hommes viennent de battre en retraite...
Désoler,mes adjudants Alan Schezar,Samir Duran et Tom Kazansky et leurs hommes ce sont acharnés sur les votres.
C'est ce que j'ai vu...
Mais dans un combat franc et direct il faut bien que le plus faible s'incline...
Soyez certains que nous respectons les Partisans autant que nous mettons d'ardeur au combat, ces semaines resteront gravées dans nos mémoires...
Et ce n'est pas fini...
Il est vrais que jusqu'à présent je n'avais encore pas vu de combat aussi acharnés...
Cette rivière est en train de virer rouge et la violence des affrontements de passer dans la légende...
Félicitation à vous messieurs c'est un honneurs de vous combattre dans cette boucherie.
Les combats sont acharnés ... et les hommes sous les ordres de gusitchev commençait à souffrir ... Leur moral desecndait mais était peu négligeable! L'avancée des rusess dernièrement leur donnait espoir! Et les français commençait à enfin vraiement tombé, et à baisser les bras ...
Major au service de l'Opoltchénie!______LE CLIC UTILE
Par le froid et le blizzard
Dans les villes et dans les champs
A l’appel du grand Tzar
Se levaient les Partisans.
Pour reprendre le rivage
Le dernier rempart des francs
Par les monts et par les plaines
S’avançaient les Partisans.
. . .
Venant du cœur des plaines, résonnant, sur les bords rouges de la Boni, ce chant annonçait, l'arrivée de nouvelles troupes, l'offensive des Partisans allait reprendre...
J'ai rencontré ce matin devant la haie de mon champs
Une troupe de marins d'ouvriers de paysans....