a nos brave soldat et medaillé
davout avait reservé les 4 table disposé tout le long de la taverne pour fété cela dignement. Il etait honnoré de preparé cette fète en l'honneur des officier decoré et il attendait avec impatience la majorité des medaillé ainsi que ses confrere de la garde.
TAVERNIER allez chercher mes bouteilles de rhum que j'ai deposer chez vous les trois caisse ce soire vous allez avoir du monde .
puis il se demanda si de dare allait venir, malgres sont coté d'insufisence de lui meme il commencait a comprendre cet hommes meme si il n'avait pas aimer ses agissement, maintenant qu'ils etait a egalité il allait enfin pouvoir entretenir une conversation convenable
TAVERNIER allez chercher mes bouteilles de rhum que j'ai deposer chez vous les trois caisse ce soire vous allez avoir du monde .
puis il se demanda si de dare allait venir, malgres sont coté d'insufisence de lui meme il commencait a comprendre cet hommes meme si il n'avait pas aimer ses agissement, maintenant qu'ils etait a egalité il allait enfin pouvoir entretenir une conversation convenable
- Razout (Mat. 1211)
- Général de brigade
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- Inscription : lun. févr. 05, 2007 4:59 pm
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Bien que razout ne faisait pas parie de la Gendarmerie Impériale ni de l'Etat Major , il avait été invité par Davout à venir trinquer à la taverne en l'honneur de la belle décoration qu'il arbhorait fièrement sur son habit veste.
Cette médaille du mérite qu'il avait obtenu sur le front représentait en vérité tout l'esprit combattif du IIIe Corps, et il en était fier.
C'est donc avec plaisir et une certaine réserve (il n'était pas habitué aux honneurs) qu'il leva son verre, non pas de Vodka mais de vin de Bourgogne (il en avait toujours une bouteille dans ses bagages) et qu'il trinqua à la santé des récipiendaires et de l'Empereur.
Mais il ne pouvait s'attarder, ni même se griser car le Front sud avait besoin de lui, et il devait passer des ordres.
Donc après quelques minutes passées au milieu de tous ces beaux Officiers, il se retira sans oublier de porter un dernier toast à la France, la victoire et l'Empereur. RAZOUT
Cette médaille du mérite qu'il avait obtenu sur le front représentait en vérité tout l'esprit combattif du IIIe Corps, et il en était fier.
C'est donc avec plaisir et une certaine réserve (il n'était pas habitué aux honneurs) qu'il leva son verre, non pas de Vodka mais de vin de Bourgogne (il en avait toujours une bouteille dans ses bagages) et qu'il trinqua à la santé des récipiendaires et de l'Empereur.
Mais il ne pouvait s'attarder, ni même se griser car le Front sud avait besoin de lui, et il devait passer des ordres.
Donc après quelques minutes passées au milieu de tous ces beaux Officiers, il se retira sans oublier de porter un dernier toast à la France, la victoire et l'Empereur. RAZOUT

- vétéran Thomas de Neuilly (Mat. 9987)
- Chef de bataillon
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- Inscription : mar. août 07, 2007 1:53 pm
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L'officier de Neuilly entra dans la taverne, des flocons de neige entrèrent en même temps que lui. Au fond de la salle, il pu apercevoir les officier Razout et Davout. Les caisses de rhum étaient déja prêtes...le bonheur en perspective.
"Bien le bonjour messieurs" fit Thomas à l'adresse de ses compagnons.
"Je pense que nous allons paser une bonne soirée à boire, parler et à nous réchauffer au coin du feu."
Se tournant vers Davout et lui adressant un clin d'oeil : "Je vous remercie monsieur pour ces caisses de rhum que vous offrez, ce serait plutôt à moi d'offrir ma tournée mais je jure que ce moment ne saura plus trop tarder et vous ne pourrez plus retarder l'échéance bien longtemps!"
"Bien le bonjour messieurs" fit Thomas à l'adresse de ses compagnons.
"Je pense que nous allons paser une bonne soirée à boire, parler et à nous réchauffer au coin du feu."
Se tournant vers Davout et lui adressant un clin d'oeil : "Je vous remercie monsieur pour ces caisses de rhum que vous offrez, ce serait plutôt à moi d'offrir ma tournée mais je jure que ce moment ne saura plus trop tarder et vous ne pourrez plus retarder l'échéance bien longtemps!"
Modérateur Français
- Jean Bailly (Mat. 1169)
- Colonel
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- Inscription : sam. févr. 03, 2007 1:44 am
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L'odeur avait assailli ses narines comme le pain chaud de l'enfance dans sa douce campagne ou l'odeur âcre du charbon de Paris. Elle lui avait été épargnée tant de temps et c'est en ce jour qu'il se retrouvait sur le pas de la porte, sans sourire, mais le visage grave et la mine déconfite.
Ses bottes souillées par la neige et la boue, son manteau humide passant du blanc par endroit au bleu foncé, son shako tenu par une main tremblotante et des cheveux plaqués en arrière, crasses et normalement bruns.
La bouche entrouverte, il semblait exécrer d'être ici, pourtant il avait été poussé à s'y rendre comme galvanisé par la nouvelle de ce jour, par ce qu'il appellerait plus tard, "La Reconnaissance à la Française". Il fit un pas à l'intérieur avec un rictus de dégoût, il était trop tard.
Ses bottes souillées par la neige et la boue, son manteau humide passant du blanc par endroit au bleu foncé, son shako tenu par une main tremblotante et des cheveux plaqués en arrière, crasses et normalement bruns.
La bouche entrouverte, il semblait exécrer d'être ici, pourtant il avait été poussé à s'y rendre comme galvanisé par la nouvelle de ce jour, par ce qu'il appellerait plus tard, "La Reconnaissance à la Française". Il fit un pas à l'intérieur avec un rictus de dégoût, il était trop tard.
- vétéran Davoust (Mat. 6369)
- Sous-Lieutenant
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- Inscription : jeu. mai 17, 2007 11:00 am
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Devant la Taverne, Davoust qui avait à la cérémonie de remise des médailles entendu brièvement l'invitation de son homonyme et n'ayant plus d'affection depuis le massacre sanglant de ses troupes lors d'une scarmouche et l'hécatombe provoqué par la neige et le Froid, il se dit qu'il pourrait jeter un coup d'oeil du côté de ces glorieux soldats de l'Empereur. Timidement, il jeta un oeil et se décida à entrer. En lui, il fut écraser sous le poids de la honte sur laquelle était assis une petite jalousie, mais il était trop tard et quoi que très embarrassé, il ss'assit à ue table innocupée. En voyant les prestigieux uniformes des officiers supérieurs, il se mordit intérieurement les doigts d'être rentré : son uniforme était misérable, sa capote et son bicorne troués ...
Il prit tout de même un verre.
Il prit tout de même un verre.
« Les braves mourront ici ; les lâches iront mourir en Sibérie »


- Jean Bailly (Mat. 1169)
- Colonel
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- Inscription : sam. févr. 03, 2007 1:44 am
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Le lieutenant Bailly s'assit donc à la table de cet officier seul qui semblait autant en piteuse état que lui. Il commanda un verre de vin.
Etrange nuit n'est ce pas... Je vois le IIIe cousu sur votre gilet. Un régiment prestigieux que celui-ci.
Je suis navré, je ne me suis pas présenté. Je suis le Lieutenant Jean Bailly.
Etrange nuit n'est ce pas... Je vois le IIIe cousu sur votre gilet. Un régiment prestigieux que celui-ci.
Je suis navré, je ne me suis pas présenté. Je suis le Lieutenant Jean Bailly.
- vétéran Davoust (Mat. 6369)
- Sous-Lieutenant
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- Inscription : jeu. mai 17, 2007 11:00 am
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Voyant l'officier qui s'était assis à ses côtés, il eut d'abord un malaise, puis reconnaissant, un des médaillés, il crut ensuite qu'on allait le faire sortir et qu'il en aurait eu pour son matricule, mais il reconnut cet état d'esprit que lui même avait par le passé ressenti et posa son bicorne troué sur la table, puis dis d'une voix rauque :
Bonjour monsieur, Sous-Lieutenant Davoust du 56e régiment au Troisième Corps. Vous avez raison, étrange nuit. Je n'en n'ai jamais vu de pareille dans l'estuaire de Loire, ni ailleurs ... Le Froid est impitoyable ... L'arrivée du gel et de la neige n'arrange rien, je ne serai pas étonné de ne pas me réveiller demain.
Il reconnut alors, pour l'avoir vu en action, un Gendarme de sa Majesté Impériale.
Seriez-vous gendarmes ?
Bonjour monsieur, Sous-Lieutenant Davoust du 56e régiment au Troisième Corps. Vous avez raison, étrange nuit. Je n'en n'ai jamais vu de pareille dans l'estuaire de Loire, ni ailleurs ... Le Froid est impitoyable ... L'arrivée du gel et de la neige n'arrange rien, je ne serai pas étonné de ne pas me réveiller demain.
Il reconnut alors, pour l'avoir vu en action, un Gendarme de sa Majesté Impériale.
Seriez-vous gendarmes ?
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- Jean Bailly (Mat. 1169)
- Colonel
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- Inscription : sam. févr. 03, 2007 1:44 am
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Bailly hocha la tête alors qu'un type lui apportait un verre d'un vin d'une couleur pourpre. Il fixait le bois de la table, travaillée par les chopes, les bras de fer, les griffures et les gravures, la bière et la vodka.
1169e de Gendarmerie...
Il est clair que les prochains jours vont s'annoncer aussi sournois que ceux de Mars. J'ai toujours trouvé ce froid... détestable et salvateur. L'on peut très bien se retrouver piéger comme y trouver un passage vers l'arrière.
Il leva les yeux puis s'adossa à la chaise comme fatigué par la journée, ou peut être par les mois. Il fronçait des sourcils et levait une acarde comme pour rester éveillé. Il n'avait toujours pas porté le verre à ses lèvres.
J'ai toujours eu confiance en votre régiment. Organisé, discipliné et assez tenace, il n'est pas du tout un régiment prétentieux, ce qui commence à se rarifier de nos jours...
1169e de Gendarmerie...
Il est clair que les prochains jours vont s'annoncer aussi sournois que ceux de Mars. J'ai toujours trouvé ce froid... détestable et salvateur. L'on peut très bien se retrouver piéger comme y trouver un passage vers l'arrière.
Il leva les yeux puis s'adossa à la chaise comme fatigué par la journée, ou peut être par les mois. Il fronçait des sourcils et levait une acarde comme pour rester éveillé. Il n'avait toujours pas porté le verre à ses lèvres.
J'ai toujours eu confiance en votre régiment. Organisé, discipliné et assez tenace, il n'est pas du tout un régiment prétentieux, ce qui commence à se rarifier de nos jours...
davout aperçu davouSt et bailly a une des table il lanca joyeux
allons messieurs venez vous assoir a notre table un bon verre de rhum vous attend, et je suis sur qu'il vous rechauffera vu l'etat dans lequel vous etes.
puis se turnant ver le tavernier
donnez leur une chambre conforetable avec un bain et de l'eau chaude, et passez cela sur ma note de frai.
puis se tournant ver un aide de camp
allez cherchez mes vieux uniforme de sous-leutenant et portez les a ces braves soldats ils en ont bien besoin.
puis se tournant vers les deux sous lieutenant
j'espere que mes uniformes vous plairons si vous me faites l'honneur de les accepter.
allons messieurs venez vous assoir a notre table un bon verre de rhum vous attend, et je suis sur qu'il vous rechauffera vu l'etat dans lequel vous etes.
puis se turnant ver le tavernier
donnez leur une chambre conforetable avec un bain et de l'eau chaude, et passez cela sur ma note de frai.
puis se tournant ver un aide de camp
allez cherchez mes vieux uniforme de sous-leutenant et portez les a ces braves soldats ils en ont bien besoin.
puis se tournant vers les deux sous lieutenant
j'espere que mes uniformes vous plairons si vous me faites l'honneur de les accepter.
- Jean Bailly (Mat. 1169)
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- Inscription : sam. févr. 03, 2007 1:44 am
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Bailly se regarda et vérifia ses galons en un regard furtif sur son épaule... Il cligna des yeux.
Capitaine...
Je vous remercie, mais je ne souhaite pas rendre la situation confuse en échangeant les grades et en délaissant mon uniforme de la Gendarmerie. Je suis fier de porter celui-ci, assurément.
Je vous remercie néanmoins, l'intention est saisissable.
Je ne souhaite pas être une fois de plus impoli, mais mon passage à l'auberge ne sera pas trop long, je serai de retour à mon campement ce soir. Nous discutions justement de la période propice aux sournoiseries, vous comprendrez qu'avec ce temps...
Capitaine...
Je vous remercie, mais je ne souhaite pas rendre la situation confuse en échangeant les grades et en délaissant mon uniforme de la Gendarmerie. Je suis fier de porter celui-ci, assurément.
Je vous remercie néanmoins, l'intention est saisissable.
Je ne souhaite pas être une fois de plus impoli, mais mon passage à l'auberge ne sera pas trop long, je serai de retour à mon campement ce soir. Nous discutions justement de la période propice aux sournoiseries, vous comprendrez qu'avec ce temps...
- vétéran Davoust (Mat. 6369)
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- Inscription : jeu. mai 17, 2007 11:00 am
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Voyant le ton chaleureux du Commandant, Davoust répondit,
Mon Capitaine, je ne saurais accepter de tels présent, même si je veux bien prendre un nouveau couvre-chef, car le mien st comme vous pouvez le voir en piteux etat, je vous prie de me faire honneur à moi d'accepter mon respectueux salut et cette - Davoust avait sortit de sa veste misérable une petite bouteille en forme de pavé remplie d'une liqueure rousse dorée - bouteille de Cognac tirée directement des vignes de mon défunt oncle.
Mon Capitaine, je ne saurais accepter de tels présent, même si je veux bien prendre un nouveau couvre-chef, car le mien st comme vous pouvez le voir en piteux etat, je vous prie de me faire honneur à moi d'accepter mon respectueux salut et cette - Davoust avait sortit de sa veste misérable une petite bouteille en forme de pavé remplie d'une liqueure rousse dorée - bouteille de Cognac tirée directement des vignes de mon défunt oncle.
« Les braves mourront ici ; les lâches iront mourir en Sibérie »


gardez donc votre bouteille pour les long mois d'hiver qui commence a present.
se tournant ver henri
unj chapeau neuf de sous lieutenant pour ce monsieur je te pris et plus vite que ca.
henri se tourna ver davout
a vos ordre mon capitaine
il revint 30 minutes plus tard avec un couvre chef tout propre tout neuf
il le tendi avec un sourir a davoust et dit:
ca c'est la medaille que je vous offre.
se tournant ver henri
unj chapeau neuf de sous lieutenant pour ce monsieur je te pris et plus vite que ca.
henri se tourna ver davout
a vos ordre mon capitaine
il revint 30 minutes plus tard avec un couvre chef tout propre tout neuf
il le tendi avec un sourir a davoust et dit:
ca c'est la medaille que je vous offre.
- vétéran Davoust (Mat. 6369)
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- Inscription : jeu. mai 17, 2007 11:00 am
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Flatté, Davoust ne su que répondre et prenant un autre verre en versant de sa bouteille,
J'accepte avec joie cette décoration et pour seller notre amitié, buvez et vous verrez que vous passez à côté de quelque chose ! Vive l'Empereur !
J'accepte avec joie cette décoration et pour seller notre amitié, buvez et vous verrez que vous passez à côté de quelque chose ! Vive l'Empereur !
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