Devinettes d'histoire
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Des aides amérindiens anglais et français se sont taper dessus au XVIII siècle?
Quel nation était dedans?
Quel nation était dedans?
"par la justice, l'homme coupable quand il bafoue les droits des autres, par l'éthique, il l'est à cette seule pensée"
Emmanuel Kant, philosophe Prussien.
Officier Lambert, ex Chef de l'EMF par intérim, Adjudant-major du XIII corps d'armée
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igor a trouvé
La grande bataille de boules de neige de la Rappahannock Academy
La grande bataille de boules de neige de la Rappahannock Academy
http://laguerredesecession.wordpress.co ... /#commentsDurant l’hiver 1862-1863, une bataille pour le moins épique se déroula dans le nord de la Virginie. Peu après la victoire confédérée de Fredericksburg, les 12 et 13 décembre 1862, l’armée fédérale s’était repliée vers Washington, abandonnant de la sorte le terrain à son adversaire sudiste qui prit ses quartiers d’hiver dans la région.
Cet hiver fut pour le moins rigoureux et à plusieurs reprises la neige recouvrit les plaines de Virginie. Au mois de février 1863, en l’espace de deux jours, près de 40 centimètres de neige tombèrent au sol avant que, quelques jours plus tard, la température ne s’élève permettant à la neige de se ramollir quelque peu.
La réorganisation des divisions de l’Armée de Virginie du Nord, à la suite de la bataille de Fredericksburg, fit naître de petites rancœurs entre certaines unités de l’armée de Lee. Profitant de l’occasion qui leur était ainsi offerte, les soldats confédérés du général Robert Frederick Hoke, originaires de Caroline du Nord, décidèrent, le 25 février, de partir à l’assaut du camp de leur frères d’armes géorgiens du colonel William Henry Stiles. L’originalité de cette attaque, réside la nature des munitions emportées: des boules de neige.
Fidèles à la rigueur et au courage qui leur valut leur série de victoire sur le front de Virginie, les soldats confédérés ne se lancèrent pas dans cette nouvelle bataille n’importe comment. L’assaut fut coordonné, formé de forces d’infanteries et de cavaleries placées en ligne de bataille. De plus, au fur et à mesure de l’engagement, des renforts des autres unités vinrent se joindre aux belligérants et même les cuisiniers participèrent aux réjouissances.
La résistance des géorgiens leur permirent de repousser les assaillants qui se replièrent sur leurs positions initiales. Profitant du répit ainsi obtenu, Stiles décida de réunir ses officiers dans un « conseil de guerre » afin de préparer une contre-attaque dans le but de prendre possession du camp des caroliniens de Hoke.
Mais ceux-ci n’étaient pas restés à rien faire. Se doutant de la volonté de revanche de leurs ennemis du jour, ils avaient commencés à fortifier leurs positions et à rassembler un grand nombre de munitions. Aussi, lorsque les géorgiens arrivèrent, ils furent accueillis par un feu nourri de boules de neige. Nombre d’entre eux furent ainsi fait prisonniers et « purifiés » avec de la neige avant d’être libéré sur parole.
Au total, se sont près de 10 000 hommes qui participèrent à cet engagement et plusieurs généraux vinrent observer les réjouissances de leurs hommes dont, paraît-il, Stonewall Jackson en personne qui aurait refusé de participer aux combats ou à leur planification. Après la guerre, l’un des acteurs de cette aventure témoigna de cet évènement en ces termes : « One of the most memorable combats of the war ».
Deux autres batailles de boules de neige ayant eu court lors de cette guerre sont connues des historiens: Dalton en Géorgie en mars 1864 et Orange Court House en Virginie le 23 du même mois. Mais la bataille de la Rappahannock Academy fut de loin la plus grande de toutes, de part la taille des effectifs engagés et de l’usage de tactiques et de stratégies militaires.
- Abd al-Wali (Mat. 46634)
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Saturne
Opération soviétique durant la Seconde Guerre Mondiale, en Décembre 1942 il me semble, vise l'encerclement au départ des forces allemandes de Stalingrad mais qui fit bien plus en capturant la totalité de la Sixième Armée de Von Paulus. Le 1er Février je crois, 90 000 allemands et alliés, n'oublions pas, se rendaient.
Opération soviétique durant la Seconde Guerre Mondiale, en Décembre 1942 il me semble, vise l'encerclement au départ des forces allemandes de Stalingrad mais qui fit bien plus en capturant la totalité de la Sixième Armée de Von Paulus. Le 1er Février je crois, 90 000 allemands et alliés, n'oublions pas, se rendaient.
C'est plus compliqué que ça, il y en avait même pas moins de 4 de programmées (des planètes, qui sont des offensives combinées stratégiques reliées entre elles et plus ou moins interdépendantes). Devant Moscou, dans le saillant de Rjev, Mars échoue, principalement du fait des réserves blindées allemandes, ce qui avorte Jupiter (qui devait reprendre Smolensk dès le printemps 1943), mais ces unités allemandes immobilisées ont permis le succès de Uranus (désolé mais c'est celle-là la plus importante car c'est elle qui permet l'encerclement de Paulus dans Stalingrad) puis de Saturne (nom des opérations jusqu'à la prise de Rostov).
cf Guerre et histoire n°11, l'article "le plan grandiose des Quatre planètes" et tout le dossier pour être complet sur le sujet.
http://www.laboutiquescienceetvie.com/l ... hique.html

cf Guerre et histoire n°11, l'article "le plan grandiose des Quatre planètes" et tout le dossier pour être complet sur le sujet.
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Colonel Youri, juge suprême de l'Armée russe, ex-commandant et ex-commandant en second de l'Armée du Maréchal
, chevalier de l'ordre de Saint-Georges

- Abd al-Wali (Mat. 46634)
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Oh, Saturne, petit Saturne... Disons que Saturne n'a pas aussi bien fonctionné qu'Uranus, avec ses 260.000 allemands encerclés !
Alors, ma devinette : on sait qu'une des principales raisons de la défaite française à Leipzig (18 octobre 1813, 200.000 GA contre 300.000 COA) est l'infériorité en cavalerie, comparativement aux alliés. Pourquoi cette situation ? Ce n'était pas le cas avant...
Alors, ma devinette : on sait qu'une des principales raisons de la défaite française à Leipzig (18 octobre 1813, 200.000 GA contre 300.000 COA) est l'infériorité en cavalerie, comparativement aux alliés. Pourquoi cette situation ? Ce n'était pas le cas avant...
Colonel Youri, juge suprême de l'Armée russe, ex-commandant et ex-commandant en second de l'Armée du Maréchal
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- vétéran Antoine de La Salle (Mat. 47089)
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Déjà nombre d'alliés de l'Empire d'hier étaient des ennemis d'aujourd'hui à commencer par l'Autriche (sans compter pas mal de pays de la Confédération du Rhin qui ont retourné leur veste au court des 3 jours de la bataille.
Pour les dadas, c'est tout simple, il n'y avait plus assez de chevaux pour monter de la cavalerie lourde en nombre et surtout de cavalerie légère, l'Empereur devant se contenter de quelques divisions.
Je pense qu'il y a deux raisons à ces 2 situations :
- Les pepettes !! ben oui le nerf de la guerre, pas de sous pas de remonte en nombre et pas moyen de continuer à graisser la patoune à nos alliés alors que l'Angleterre arrosait copieusement les états continentaux.
- La défaite en Russie, qui a bien affaiblie l'Empire et donc l'a dé-crédibilisé auprès de ses alliés et à perdue 95% de la cavalerie, les chevaux ne résistant pas au froid ou à la faim de leurs cavaliers.
Pour les dadas, c'est tout simple, il n'y avait plus assez de chevaux pour monter de la cavalerie lourde en nombre et surtout de cavalerie légère, l'Empereur devant se contenter de quelques divisions.
Je pense qu'il y a deux raisons à ces 2 situations :
- Les pepettes !! ben oui le nerf de la guerre, pas de sous pas de remonte en nombre et pas moyen de continuer à graisser la patoune à nos alliés alors que l'Angleterre arrosait copieusement les états continentaux.
- La défaite en Russie, qui a bien affaiblie l'Empire et donc l'a dé-crédibilisé auprès de ses alliés et à perdue 95% de la cavalerie, les chevaux ne résistant pas au froid ou à la faim de leurs cavaliers.
Dernière modification par vétéran Antoine de La Salle le dim. déc. 08, 2013 11:59 pm, modifié 1 fois.