Faux-semblant
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- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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Faux-semblant
[hrp] Ne seront autorisées que les interventions RP sur ce topic. Une énigme est à résoudre, à qui veut la résoudre doit le faire de manière RP et cohérente. Tout le topic sera encadré au niveau RP par Ticlem et moi-même. Ainsi nous nous donnnons le droit d'apporter des remarques si des petites erreurs d'interprétations sont commises. Cela arrive à tout le monde nous utiliserons au maximum les MP pour modifier cela. Si vous remarquez d'éventuelles incoherences au niveau du RP: 'Georges entend Jules qui réfléchit dans sa tête' contactez plutôt l'auteur du message pour lui faire remarquer l'impossiblité !
Nous esperons que ce RP satisfera un maximum de personnes et n'oubliez pas qu'il y a quelques réponses à trouver... [hrp]
Rossignol avait quitté son carrosse depuis quelques lieues, le jour n'allait pas tarder a se lever. il fallait que l'officer se repose quand même. ayant déjà fait un passage dans une taverne non loin de là ou de nombreux soldats venaient boire pour oublier les combats, Rossignol décida de s'y arréter
rossignol poussa la porte toujours encapuchonné pour ne pas être reconnu
bonsoir messieurs
Nous esperons que ce RP satisfera un maximum de personnes et n'oubliez pas qu'il y a quelques réponses à trouver... [hrp]
Rossignol avait quitté son carrosse depuis quelques lieues, le jour n'allait pas tarder a se lever. il fallait que l'officer se repose quand même. ayant déjà fait un passage dans une taverne non loin de là ou de nombreux soldats venaient boire pour oublier les combats, Rossignol décida de s'y arréter
rossignol poussa la porte toujours encapuchonné pour ne pas être reconnu
bonsoir messieurs
une rose noire dans sa poche. Une pétale se détache
l'anim vivra jusqu'a la mort précoce du RP "ptit dédicace
"
l'anim vivra jusqu'a la mort précoce du RP "ptit dédicace

Alexander, de son vrai nom Alexander, Wolfgang, Dieter Zimmer était le Tavernier de cette vieille bicoque qu'il tentait tant bien de mal que tenir. Cela faisait près de sept mois que les conflits avaient débuttés et sa petite vie monotone s'était vite transformée lorsque les premiers officiers russes et français s'arrêtèrent dans son établissement, en une ville palpitante où se mêlait un commerce lucratif et des échanges de poings quotidiens.
A cette heure, bien peu de monde trainait dans la taverne, seuls quelques officiers ivres étaient encore là, soit avachis sur des tables soient à patoger au milieu de leur alcool rendu de bien belle façon. Triste sort que celui de l'armée à en voir ces personnages.
Le Teuton, comme l'appelaient certains des officiers accoutumés au lieu, était en train de ranger ses derniers verres lavés et escomptait fermer la taverne lorsque la porte s'ouvrit à nouveau, une triste grimace barra son visage quelques instants. Rien ne l'empêchait d'envoyer paître le nouveau venu mais un sous était un sous, surtout qu'il savait que bien souvent les gens revenaient souvent et amenaient avec eux leurs camarades de front.
Le bonhomme encapuchonné paraissait louche au premier coup d'oeil. Venir à cette heure pour boire n'était pas courant, surtout avec pareil habit sur le dos. S'éclaircissant la voix grâce à une toux rauque, il porta ainsi tout l'attention sur lui, puis prenant un air plutôt désolé déclara à l'adresse du visiteur:
" Excusez-moi mais chez moi il n'est pas courant de voir quelqu'un avec un bout de tissu sur la tête, que ce soit chapeau, tricorne ou bien capuchon. Vous ne risquez pas d'être surpris par la pluie et si vous désirez la discrétion, à en voir les cadavres de la veille qui sont en train de cuver leur alcool, vous n'avez pas trop à vous en faire.
La supersistition dit qu'un homme avec un chapeau n'avait pas vu le lustre lui tomber sur la tête et depuis, il porte malheur d'avoir quelque chose sur la tête dans un lieu couvert et je ne tiens pas à apporter le mauvais oeil ici. "
L'homme bourru semblait gêné, peut-être un peu trop pour paraître naturel, à moins que ce ne fut vraiment une gêne qui le faisait grimacer de la sorte. S'excusant presque d'avoir parlé, il poursuivit.
" Vous désirez boire quelque chose, peut-être ? "
A cette heure, bien peu de monde trainait dans la taverne, seuls quelques officiers ivres étaient encore là, soit avachis sur des tables soient à patoger au milieu de leur alcool rendu de bien belle façon. Triste sort que celui de l'armée à en voir ces personnages.
Le Teuton, comme l'appelaient certains des officiers accoutumés au lieu, était en train de ranger ses derniers verres lavés et escomptait fermer la taverne lorsque la porte s'ouvrit à nouveau, une triste grimace barra son visage quelques instants. Rien ne l'empêchait d'envoyer paître le nouveau venu mais un sous était un sous, surtout qu'il savait que bien souvent les gens revenaient souvent et amenaient avec eux leurs camarades de front.
Le bonhomme encapuchonné paraissait louche au premier coup d'oeil. Venir à cette heure pour boire n'était pas courant, surtout avec pareil habit sur le dos. S'éclaircissant la voix grâce à une toux rauque, il porta ainsi tout l'attention sur lui, puis prenant un air plutôt désolé déclara à l'adresse du visiteur:
" Excusez-moi mais chez moi il n'est pas courant de voir quelqu'un avec un bout de tissu sur la tête, que ce soit chapeau, tricorne ou bien capuchon. Vous ne risquez pas d'être surpris par la pluie et si vous désirez la discrétion, à en voir les cadavres de la veille qui sont en train de cuver leur alcool, vous n'avez pas trop à vous en faire.
La supersistition dit qu'un homme avec un chapeau n'avait pas vu le lustre lui tomber sur la tête et depuis, il porte malheur d'avoir quelque chose sur la tête dans un lieu couvert et je ne tiens pas à apporter le mauvais oeil ici. "
L'homme bourru semblait gêné, peut-être un peu trop pour paraître naturel, à moins que ce ne fut vraiment une gêne qui le faisait grimacer de la sorte. S'excusant presque d'avoir parlé, il poursuivit.
" Vous désirez boire quelque chose, peut-être ? "
- vétéran Antoine de Froiss (Mat. 878)
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Après la disparition suspecte de l'Officier d'Etat-Major Rossignol, son collègue, le Général Clément de Dare (alors encore Juge Suprême de la Cour Martiale) décide de lancer une cinquantaine de gendarmes sur les routes dans le futile espoir de mettre la main sur lui.
Malgré les doutes sur la possibilité que l'Officier Rossignol ne s'y trouve, cinq gendarmes prennent la route de la taverne du 'Teuton' afin de s'assurer que ce dernier n'est au courant de rien. Cependant, ils croisèrent avec leur monture une cariole arrêtée au bord du chemin à quelques lieues seulement de la taverne, chose peu courante. Prenant les dispositions nécessaires, ils ne remarquèrent rien de suspect, mise à part des bagages, leur mettant ainsi la puce à l'oreille.
L'un d'eux fit donc demi-tour et prit la direction de la Caserne de la Gendarmerie pour demander des effectifs supplémentaires. Les autres décidèrent de poursuivre leur chemin jusqu'à la taverne après avoir vérifié que personne ne se cachait dans les fourrages alentours. Ils n'avaient pas la garantie d'aboutir à quelque chose en allant jusqu'à la vieille taverne, usée par le temps et les bagarres.
S'arrêtant aux abords du bâtiment, ils descendirent des chevaux et regardèrent par les vitres crasseuses ce qu'il se passait à l'intérieur. Comme ils s'y attendaient, Alexander était encore ouvert et servait. La personne qui se tenait à l'intérieur n'était pas identifiable, compte tenu de sa posture, mais ils prirent le pari que ce n'était autre que l'Officier Rossignol.
Gontran Papa, Gendarme d'élite de la 878° Compagnie de Ligne, de la Gendarmerie Impériale menait le petit groupe. L'espace d'un instant il sembla hésiter. Tout semblait si facile, il craignait fort que tout ceci ne soit qu'une supercherie. Etant à tête d'un groupe chargé de recherché un officier dissident pouvant être un traitre à la patrie, il devait prendre les bons choix et en aucun cas laisser le doute s'immiscer en lui. Il décida donc d'entrer à l'intérieur en espérant de tout son coeur que son intuition serait bonne.
Il doutait qu'un décisionnaire de l'Armée, l'un de ses représentants soit assez saut pour s'exposer ainsi, mais après avoir connu une Révolution et vingt-trois ans de bouleversements, il savait que le monde et les gens étaient étranges.
Ainsi donc ils se précipitèrent sur la porte et bondirent à l'intérieur prêts à sortir les armes. Tous regardaient fixement l'inconnu qui tentait de se cacher du reste des officiers voire même d'Alexander lui-même.
" Officier Rossignol, est-ce bien vous ? " La voie de Gontran était légèrement hésitante, comme s'il ne croyait pas que la personne face à lui pouvait être un décisionnaire de la Grande Armée. Il enchaina donc, toujours avec le même doute dans la voix, fortement reconnaissable.
" Si tel est bien le cas, je vous demande de ne pas faire de gestes brusques. Nous sommes de la Gendarme Impériale et nous sommes mandatés par le l'Officier d'Etat-Major, le Général Clément de Dare pour vous mettre aux arrêts. Si... " il semblait presque honteux d'envisager la possibilité, " si vous ne coopérez pas vous nous, nous avons le droit de faire preuve de violence à votre égard. "
Un bref échange de regard entre les gendarmes suffisait pour comprendre que tous étaient craintifs de ce qui allait suivre.
Malgré les doutes sur la possibilité que l'Officier Rossignol ne s'y trouve, cinq gendarmes prennent la route de la taverne du 'Teuton' afin de s'assurer que ce dernier n'est au courant de rien. Cependant, ils croisèrent avec leur monture une cariole arrêtée au bord du chemin à quelques lieues seulement de la taverne, chose peu courante. Prenant les dispositions nécessaires, ils ne remarquèrent rien de suspect, mise à part des bagages, leur mettant ainsi la puce à l'oreille.
L'un d'eux fit donc demi-tour et prit la direction de la Caserne de la Gendarmerie pour demander des effectifs supplémentaires. Les autres décidèrent de poursuivre leur chemin jusqu'à la taverne après avoir vérifié que personne ne se cachait dans les fourrages alentours. Ils n'avaient pas la garantie d'aboutir à quelque chose en allant jusqu'à la vieille taverne, usée par le temps et les bagarres.
S'arrêtant aux abords du bâtiment, ils descendirent des chevaux et regardèrent par les vitres crasseuses ce qu'il se passait à l'intérieur. Comme ils s'y attendaient, Alexander était encore ouvert et servait. La personne qui se tenait à l'intérieur n'était pas identifiable, compte tenu de sa posture, mais ils prirent le pari que ce n'était autre que l'Officier Rossignol.
Gontran Papa, Gendarme d'élite de la 878° Compagnie de Ligne, de la Gendarmerie Impériale menait le petit groupe. L'espace d'un instant il sembla hésiter. Tout semblait si facile, il craignait fort que tout ceci ne soit qu'une supercherie. Etant à tête d'un groupe chargé de recherché un officier dissident pouvant être un traitre à la patrie, il devait prendre les bons choix et en aucun cas laisser le doute s'immiscer en lui. Il décida donc d'entrer à l'intérieur en espérant de tout son coeur que son intuition serait bonne.
Il doutait qu'un décisionnaire de l'Armée, l'un de ses représentants soit assez saut pour s'exposer ainsi, mais après avoir connu une Révolution et vingt-trois ans de bouleversements, il savait que le monde et les gens étaient étranges.
Ainsi donc ils se précipitèrent sur la porte et bondirent à l'intérieur prêts à sortir les armes. Tous regardaient fixement l'inconnu qui tentait de se cacher du reste des officiers voire même d'Alexander lui-même.
" Officier Rossignol, est-ce bien vous ? " La voie de Gontran était légèrement hésitante, comme s'il ne croyait pas que la personne face à lui pouvait être un décisionnaire de la Grande Armée. Il enchaina donc, toujours avec le même doute dans la voix, fortement reconnaissable.
" Si tel est bien le cas, je vous demande de ne pas faire de gestes brusques. Nous sommes de la Gendarme Impériale et nous sommes mandatés par le l'Officier d'Etat-Major, le Général Clément de Dare pour vous mettre aux arrêts. Si... " il semblait presque honteux d'envisager la possibilité, " si vous ne coopérez pas vous nous, nous avons le droit de faire preuve de violence à votre égard. "
Un bref échange de regard entre les gendarmes suffisait pour comprendre que tous étaient craintifs de ce qui allait suivre.

- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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une bonne heure avant l'arrivée des gendarmes
rossignol fut accueillit assez sechement par le barman mais il était tard, cela pouvait se comprendre
excusez moi, tavernier mais je cherche un endroit où me reposer quelques heures. je prendrai un verre une fois mes affaires posées
rossignol fut accueillit assez sechement par le barman mais il était tard, cela pouvait se comprendre
excusez moi, tavernier mais je cherche un endroit où me reposer quelques heures. je prendrai un verre une fois mes affaires posées
Dernière modification par vétéran Rossignol le lun. juil. 16, 2007 8:28 am, modifié 1 fois.
une rose noire dans sa poche. Une pétale se détache
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- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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rossignol suivit du regard la direction indiquée par le tavernier et s'y dirigea. la pièce était vide juste un vieux matelas jonchait le sol.
l'Officier décissionnaire "plus pour longtemps" déposa sa besace dans un coin et l'ouvrit. Il sortit une glace, un petit sachet et des ciseaux. Il dépposa méticuleusement le miroir afin de pouvoir s'observer puis il retourna voir le tavernier
mon brave auriez vous de l'eau et une bassine?
l'Officier décissionnaire "plus pour longtemps" déposa sa besace dans un coin et l'ouvrit. Il sortit une glace, un petit sachet et des ciseaux. Il dépposa méticuleusement le miroir afin de pouvoir s'observer puis il retourna voir le tavernier
mon brave auriez vous de l'eau et une bassine?
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Alexander entendit l'officier francais revenir, il tourna la tête dans sa direction quand l'officier lui demanda une bassine et de l'eau
je dois avoir cela effectivement ,attendez.
Alexander se pencha dans son comtpoir et commença à fouiller ci et là. alexander continuait de faire la conversation avec le seul officier sobre encore debout dans sa taverne
vous voulez vous débarbouillé come on dit chez vous?
lRossignol acquiessa de la tête sans être vraiment affirmatif
Ah, la voila
Alexander se redressa, remplit la bassine et la tendit à l'officier francais
Officier, a voir les galons que vous portez, vous devez etre important ou etre un rude combattant. Avec de tel médaille, vous etes surement à la tête de beaucoup d'hommes..
Alexander enchaina les questions, il était toujours désireux de connaitre qui se trouvait chez lui
je dois avoir cela effectivement ,attendez.
Alexander se pencha dans son comtpoir et commença à fouiller ci et là. alexander continuait de faire la conversation avec le seul officier sobre encore debout dans sa taverne
vous voulez vous débarbouillé come on dit chez vous?
lRossignol acquiessa de la tête sans être vraiment affirmatif
Ah, la voila
Alexander se redressa, remplit la bassine et la tendit à l'officier francais
Officier, a voir les galons que vous portez, vous devez etre important ou etre un rude combattant. Avec de tel médaille, vous etes surement à la tête de beaucoup d'hommes..
Alexander enchaina les questions, il était toujours désireux de connaitre qui se trouvait chez lui
- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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Rossignol attendait de l'eau et un récipient mais le tavernier était plutot du style bavard le bougre
de simple médaille de guerre et d'acte de bravoure....
lorsque le tavernier lui tendit la bassine, rossignol la prit immédiatement et retrouna rapidement dans ce qui lui servirait de chambre
Rossignol s'agenouilla, prit la paire de ciseaux et réajusta l'emplacement du miroir. la transformation commença. les mèches tombait les unes apres les autres jusqu'a former un lit de cheveux autour de l'officier. Il essuya délicatement le ciseaux puis le rangea dans sa besace.
Rossignol respiarait tranquillement, aucune agitation ou tension dans ses mouvements. Il savait que tot ou tard, on le rattraperait mais que dans l'immédiatement il avait de l'avance sur ses poursuivants. Il se revoyait encore dans son bureau face à Ticlem
je suis encore désolé Clément, je devais fuir et je sais que tu ne vas pas tarder a te rendre compte de ma fuite. je suppose même que tu as déjà averti tes meileurs offciers pour partir à ma recherche mais je n'ai pas le choix.
Rossignol arreta son monologue et retourna à sa transformation. IL prit le sachet et versa le contenu dans la bassine. L'officer attendit quelques minutes puis s'appliqua le mélange sur les cheveux. Rossignol passa d'un blond dorée comme les cheveux d'anges à un noir aussi ténébreux que les corbeaux qui viennent dépouiller les cadavres des soldats tombés dans la journée pour les vider de leurs tripes. cela faisait un bonne demi heure que rrossignol était arrivé dans la taverne et il savait qu'il pouvait desormais en sortir et circuler avec plus de sécurité désormais.
de simple médaille de guerre et d'acte de bravoure....
lorsque le tavernier lui tendit la bassine, rossignol la prit immédiatement et retrouna rapidement dans ce qui lui servirait de chambre
Rossignol s'agenouilla, prit la paire de ciseaux et réajusta l'emplacement du miroir. la transformation commença. les mèches tombait les unes apres les autres jusqu'a former un lit de cheveux autour de l'officier. Il essuya délicatement le ciseaux puis le rangea dans sa besace.
Rossignol respiarait tranquillement, aucune agitation ou tension dans ses mouvements. Il savait que tot ou tard, on le rattraperait mais que dans l'immédiatement il avait de l'avance sur ses poursuivants. Il se revoyait encore dans son bureau face à Ticlem
je suis encore désolé Clément, je devais fuir et je sais que tu ne vas pas tarder a te rendre compte de ma fuite. je suppose même que tu as déjà averti tes meileurs offciers pour partir à ma recherche mais je n'ai pas le choix.
Rossignol arreta son monologue et retourna à sa transformation. IL prit le sachet et versa le contenu dans la bassine. L'officer attendit quelques minutes puis s'appliqua le mélange sur les cheveux. Rossignol passa d'un blond dorée comme les cheveux d'anges à un noir aussi ténébreux que les corbeaux qui viennent dépouiller les cadavres des soldats tombés dans la journée pour les vider de leurs tripes. cela faisait un bonne demi heure que rrossignol était arrivé dans la taverne et il savait qu'il pouvait desormais en sortir et circuler avec plus de sécurité désormais.
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Alexander tombait de sommeil mais il tevait attendre que ce mystéireux officier se coucher pour fermer la boutique. l'aube allait se lever et ses derniers temps , il faut dire qu'Alexander s'était coucher relativement tot.
Il entendit l'officier revenir, il se trouna de nouveau vers lui et que fut la surprise. un homme brun au cheveux court apparut devant lui.Alexander avait les yeux ouvert à la hauteur de la surprise
qu'avez vous fait seigneur?
je pense que vous me devez des explications sur ce coup!
vous arrivez à l'aube, vous me demandez un toit et vous en profitez pour vous transformez! qu'avez vous à cacher?
vous savez je suis le confident de milliers de simples soldats et rien n'ai ressorti alors je peux bien écouter les confidences d'un officier.
Il entendit l'officier revenir, il se trouna de nouveau vers lui et que fut la surprise. un homme brun au cheveux court apparut devant lui.Alexander avait les yeux ouvert à la hauteur de la surprise
qu'avez vous fait seigneur?
je pense que vous me devez des explications sur ce coup!
vous arrivez à l'aube, vous me demandez un toit et vous en profitez pour vous transformez! qu'avez vous à cacher?
vous savez je suis le confident de milliers de simples soldats et rien n'ai ressorti alors je peux bien écouter les confidences d'un officier.
- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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- Inscription : dim. janv. 21, 2007 1:20 am
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lorsque rossignol arriva au comptoir, le tavernier se reourna sur lui et fit une tete des plus surprise, signe que sa transformation devait etre des plus reussites.Rossignol s'asseya au bord et la fatrigue et la gentillesse de ce barman aidant. Il commença à se confier
je suis oscar-francois de Jarjaye , enfant du célébre général francais de Jarjaye...
s'en suivit une longue conversation. rossignol fit une pause pour demander l'autorisation de remttre son capuchon. le taevrnier fit un signe d'acceptation de la tête. Rossignol repti la discussion
...vous comprenez, cela commencai à être pesant et risquer.
je suis oscar-francois de Jarjaye , enfant du célébre général francais de Jarjaye...
s'en suivit une longue conversation. rossignol fit une pause pour demander l'autorisation de remttre son capuchon. le taevrnier fit un signe d'acceptation de la tête. Rossignol repti la discussion
...vous comprenez, cela commencai à être pesant et risquer.
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- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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- Inscription : dim. janv. 21, 2007 1:20 am
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la porte s'ouvrit et des gendarmes débarquérent dans la taverne
cette phrase retentit et résonna dans sa tête
" Officier Rossignol, est-ce bien vous ? "
" Si tel est bien le cas, je vous demande de ne pas faire de gestes brusques. Nous sommes de la Gendarme Impériale et nous sommes mandatés par le l'Officier d'Etat-Major, le Général Clément de Dare pour vous mettre aux arrêts. Si... si... si vous ne coopérez pas vous, nous, nous avons le droit de faire preuve de violence à votre égard. "
l'inqietude de Rossignol était la, sa transformation était elle suffisante pour berner ses gendarmes. Il l'esperait. Il se retourna lentement vers eux
Messieurs bonsoir ou plutot bonjour!
qui recherchez vous exactement, rossignol? désolé je ne connais pas!
Rossignol était désormais brun aux cheveux courts. il avait également pris le emps de couvrir son visage de suie et de terre pour paraitre relativement grasseuxet ne faire penser qu'à un vulgaire paysan. La supercherie semblait fonctionner sur les gendarmes.
cette phrase retentit et résonna dans sa tête
" Officier Rossignol, est-ce bien vous ? "
" Si tel est bien le cas, je vous demande de ne pas faire de gestes brusques. Nous sommes de la Gendarme Impériale et nous sommes mandatés par le l'Officier d'Etat-Major, le Général Clément de Dare pour vous mettre aux arrêts. Si... si... si vous ne coopérez pas vous, nous, nous avons le droit de faire preuve de violence à votre égard. "
l'inqietude de Rossignol était la, sa transformation était elle suffisante pour berner ses gendarmes. Il l'esperait. Il se retourna lentement vers eux
Messieurs bonsoir ou plutot bonjour!
qui recherchez vous exactement, rossignol? désolé je ne connais pas!
Rossignol était désormais brun aux cheveux courts. il avait également pris le emps de couvrir son visage de suie et de terre pour paraitre relativement grasseuxet ne faire penser qu'à un vulgaire paysan. La supercherie semblait fonctionner sur les gendarmes.
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- vétéran Antoine de Froiss (Mat. 878)
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- Inscription : sam. janv. 27, 2007 10:19 pm
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Gontran Papa était un homme habile et perspicace et ne se retrouvait donc pas Gendarme d'Elite pour rien. Il avait par le passé soldé de nombreuses affaires et bien que sa chance insolente lui permit de conclure ses enquêtes, son sens aigu de la réflexion et une intuition rare étaient présents.
A première vue, il avait face à lui un paysan de la région, vêtu sobrement, cheveux mal coupés, visage sale. Mais deux choses le frappèrent, alors que ses amis admettaient bêtement la version donnée par l'inconnu; son interlocuteur s'était semble-t-il sali volontairement du fait que son visage tendait plus vers un maquillage que va de la souillure véritable, il avait de surcroît une bien aimable façon de parler la langue française, sans accent et se permit même de rectifier le Gendarme.
Si la personne face à lui n'était pas l'officier Rossignol, il n'en était pas moins étrange. Le regard sévère se posa alors sur le Teuton et se fit plus pressant, à mesure que le Gendarme sentait sa patience fuir.
" Si tel est le cas, paysan, quel est votre nom ? "
Coup de bluff véritable. Si le paysan répondait bien à une appelation étrangère, Gontran n'aurait plus qu'à le cueillir, s'il s'avérait que ce dernier portait un nom français, il n'aurait plus qu'à appeller le Général en personne.
Ayant trouvé seul la faille dans le raisonnement de ses amis, un sourire satisfait apparut aux commissures de ses lèvres et il teint plus fermement la garde de son épée.
[HRP: Passage de la bassine oté et remplacé par une analyse physique. :HRP]
A première vue, il avait face à lui un paysan de la région, vêtu sobrement, cheveux mal coupés, visage sale. Mais deux choses le frappèrent, alors que ses amis admettaient bêtement la version donnée par l'inconnu; son interlocuteur s'était semble-t-il sali volontairement du fait que son visage tendait plus vers un maquillage que va de la souillure véritable, il avait de surcroît une bien aimable façon de parler la langue française, sans accent et se permit même de rectifier le Gendarme.
Si la personne face à lui n'était pas l'officier Rossignol, il n'en était pas moins étrange. Le regard sévère se posa alors sur le Teuton et se fit plus pressant, à mesure que le Gendarme sentait sa patience fuir.
" Si tel est le cas, paysan, quel est votre nom ? "
Coup de bluff véritable. Si le paysan répondait bien à une appelation étrangère, Gontran n'aurait plus qu'à le cueillir, s'il s'avérait que ce dernier portait un nom français, il n'aurait plus qu'à appeller le Général en personne.
Ayant trouvé seul la faille dans le raisonnement de ses amis, un sourire satisfait apparut aux commissures de ses lèvres et il teint plus fermement la garde de son épée.
[HRP: Passage de la bassine oté et remplacé par une analyse physique. :HRP]

- vétéran Rossignol (Mat. 230)
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- vétéran Antoine de Froiss (Mat. 878)
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Gontran, de nature particulièrement calme perdait peu à peu patience. Avec les informations dont il disposait, il se sentait peu enclin à tenir la jambe au premier inconnu venu en lui racontant sa vie. Il regarda rapidement autour de lui et remarqua que les autres gendarmes étaient dans la même posture que lui à savoir, qu'ils avaient l'impression de perdre leur temps.
Le gendarme espérait que Mr de Dare ne tarderait pas à arriver s'il jugeait les informations données par l'éclaireur satisfaisantes. Nonobstant son envie pressante de se voir décharger de l'affaire, personne ne vint et il se trouva donc confronté aux questions de ce paysan. Comment devait-il réagir ? Fallait-il qu'il expose clairement les faits, qu'il mente, qu'il se refuse à tout commentaire ? Et si cet étranger s'avérait être de la partie, ne serait-ce pas lui donner les moyens de contre-carrer les gendarmes lancés à leur poursuite ?
Finalement, il se décida à parler afin de ne pas trop montrer sa gêne:
" En tant que membre de la Gendarmerie Impériale, sollicitée par Mr le Juge Suprême Clément de Dare, Décisionnaire de la Grande Armée, je vous demande de vous présenter face à nous. Je suis sûr qu'Alexander n'y verra aucune objection et peut-être préférez-vous que nous discutions de tout ça dehors, entre nous. "
Avant même que le Teuton ne puisse donner son avis, Gontran le foudroya du regard ce que aurait sitôt fait de le refroidir. Il porta donc ensuite son attention sur l'inconnu.
" Quant-aux faits qui sont reprochés à l'Officier Rossignol, cela ne vous regarde nullement. Tâchez déjà de vous montrer présentable en ôtant votre capuchon et nous pourrons discuter. "
Ce fut à ce moment là que la porte s'ouvrit dans un bruit sourd, et que quelques gendarmes arrivèrent encore, entourant un Juge Suprême affichant son éternel sourire narquois. Les informations qui lui avaient été données l'avaient fortement intriguées et il avait décidé de mener lui-même sa petite enquête en allant voir à la Taverne ce qu'il se tramait.
Après tout, où l'Officier Rossignol, ou du moins, l'Officier de Jarjaye, pourrait-il trouver vivre et repos si ce n'était chez Alexander ? par ailleurs, les autres routes ayant été vérifiées, il n'y avait que sur celle-là que s'était arrêté un carosse laissé à l'abandon mais non sans y avoir encore quelque bagage appartenant après vérification à l'officie Rossignol lui-même qui avait embarqué sa garde-robe peu avant sa fuite.
Ensuite, le temps que mettaient les gendarmes déployés, simplement calculé par rapport au temps qu'avait mis l'éclaireur pour trouver le Général à la Caserne de la Gendarmerie puis leur retour, montrait bel et bien qu'une affaire retenait tout ce beau monde à l'intérieur.
Passant non loin du comptoir ou se tenait pantois le tavernier, Clément lui adressa un salut et quelques mots, sans même prendre la peine de le regarder:
" Je vous expliquerai en temps utiles. "
Puis il passa le groupe formé par Gontran et ses acolytes et se planta face au rodeur encapuchonné dont le visage noircit par quelque chose en rien naturel semblait vaguement lui rappeller quelque chose. Il se contenta de le jucher quelques instants, savourant ce plaisir d'avoir coincé un fuyard. Trop sûr de lui, peut-être, mais son sourire ne cessait de croitre au fur et à mesure qu'il regardait l'inconnu. Puis d'un geste théâtral, il prit de sa besace un objet rectangulaire et le jeta aux pieds de l'étranger, qui semblait-il, ne l'était pas vraiment.
" Serait-ce à vous ? "
Un portrait peint entouré d'un cadre simple se trouvait désormais par-terre. On pouvait y voir un enfant souriant, blond et dont la tenue ne pouvait cacher le sexe, c'était à l'évidence une fille. Laissant au rodeur le temps de regarder ce qu'on lui avait balancé dessus, le Général tourna de trois-quart de ordonna d'une voix mielleuse et pleine d'amusement.
" Messieurs, veuillez m'attendre dehors. "
Ces derniers firent demi-tour bien que Gontran resta campé sur place plus longtemps que les autres, comme s'il attendait un ordre inverse, mais il n'en fut rien. Refermant ainsi la porte derrière lui, il laissait le Général face à celui qu'il avait 'arrêté', ne pouvant croire que c'était l'Officier Rossignol.
Le gendarme espérait que Mr de Dare ne tarderait pas à arriver s'il jugeait les informations données par l'éclaireur satisfaisantes. Nonobstant son envie pressante de se voir décharger de l'affaire, personne ne vint et il se trouva donc confronté aux questions de ce paysan. Comment devait-il réagir ? Fallait-il qu'il expose clairement les faits, qu'il mente, qu'il se refuse à tout commentaire ? Et si cet étranger s'avérait être de la partie, ne serait-ce pas lui donner les moyens de contre-carrer les gendarmes lancés à leur poursuite ?
Finalement, il se décida à parler afin de ne pas trop montrer sa gêne:
" En tant que membre de la Gendarmerie Impériale, sollicitée par Mr le Juge Suprême Clément de Dare, Décisionnaire de la Grande Armée, je vous demande de vous présenter face à nous. Je suis sûr qu'Alexander n'y verra aucune objection et peut-être préférez-vous que nous discutions de tout ça dehors, entre nous. "
Avant même que le Teuton ne puisse donner son avis, Gontran le foudroya du regard ce que aurait sitôt fait de le refroidir. Il porta donc ensuite son attention sur l'inconnu.
" Quant-aux faits qui sont reprochés à l'Officier Rossignol, cela ne vous regarde nullement. Tâchez déjà de vous montrer présentable en ôtant votre capuchon et nous pourrons discuter. "
Ce fut à ce moment là que la porte s'ouvrit dans un bruit sourd, et que quelques gendarmes arrivèrent encore, entourant un Juge Suprême affichant son éternel sourire narquois. Les informations qui lui avaient été données l'avaient fortement intriguées et il avait décidé de mener lui-même sa petite enquête en allant voir à la Taverne ce qu'il se tramait.
Après tout, où l'Officier Rossignol, ou du moins, l'Officier de Jarjaye, pourrait-il trouver vivre et repos si ce n'était chez Alexander ? par ailleurs, les autres routes ayant été vérifiées, il n'y avait que sur celle-là que s'était arrêté un carosse laissé à l'abandon mais non sans y avoir encore quelque bagage appartenant après vérification à l'officie Rossignol lui-même qui avait embarqué sa garde-robe peu avant sa fuite.
Ensuite, le temps que mettaient les gendarmes déployés, simplement calculé par rapport au temps qu'avait mis l'éclaireur pour trouver le Général à la Caserne de la Gendarmerie puis leur retour, montrait bel et bien qu'une affaire retenait tout ce beau monde à l'intérieur.
Passant non loin du comptoir ou se tenait pantois le tavernier, Clément lui adressa un salut et quelques mots, sans même prendre la peine de le regarder:
" Je vous expliquerai en temps utiles. "
Puis il passa le groupe formé par Gontran et ses acolytes et se planta face au rodeur encapuchonné dont le visage noircit par quelque chose en rien naturel semblait vaguement lui rappeller quelque chose. Il se contenta de le jucher quelques instants, savourant ce plaisir d'avoir coincé un fuyard. Trop sûr de lui, peut-être, mais son sourire ne cessait de croitre au fur et à mesure qu'il regardait l'inconnu. Puis d'un geste théâtral, il prit de sa besace un objet rectangulaire et le jeta aux pieds de l'étranger, qui semblait-il, ne l'était pas vraiment.
" Serait-ce à vous ? "
Un portrait peint entouré d'un cadre simple se trouvait désormais par-terre. On pouvait y voir un enfant souriant, blond et dont la tenue ne pouvait cacher le sexe, c'était à l'évidence une fille. Laissant au rodeur le temps de regarder ce qu'on lui avait balancé dessus, le Général tourna de trois-quart de ordonna d'une voix mielleuse et pleine d'amusement.
" Messieurs, veuillez m'attendre dehors. "
Ces derniers firent demi-tour bien que Gontran resta campé sur place plus longtemps que les autres, comme s'il attendait un ordre inverse, mais il n'en fut rien. Refermant ainsi la porte derrière lui, il laissait le Général face à celui qu'il avait 'arrêté', ne pouvant croire que c'était l'Officier Rossignol.
