Taverne a l'est de Polotsk près de la mine

[vétéran Adrien Berthier]

Comment je fais pour changer mon patronyme alors colonel s'il vous plaît?

[Lupus]

- Je crois que pour changer l'identifiant sous lequel vous êtes référencé, il vous faut contacter les "A Nîmes Acteurs" [HRP: contactes les animateurs sur le forum, ils peuvent changer tes identifiants], un surnom dérivant sans doute de "acteurs à Nîmes"... Je ne sais pas si c'est un surnom des Services de Recrutement de la Grande Armée, ou si c'est parce que les registres sont placés à Nîmes...mais peu importe.

Lupus, qui était toujours debout, adressa un petit garde-à-vous à Roscanvel, qui s'en allait.
Puis il recentra son attention sur Amiral:

- Pour ce qui est de mon expérience, mon lieutenant...eh, je dois avouer que pour l'heure je n'ai pas vécu le combat de ligne, mais seulement des escarmouches divers, ici et là...j'essaye actuellement de regrouper mes compagnies sur le front de l'Armée du Rhin, mais précédemment je dépendais du 30ème Régiment...donc, il faut que certains de mes hommes arrivent depuis la région du fortin Nord, ce qui fait un sacré bout de chemin.

Quant à l'expérience en temps que telle, eh bien je pense que j'en acquérait une suffisamment bonne auprès des officiers de mon régiment...le combat aux côtés des frères d'armes forme les hommes, je pense...quand il ne les tue pas, bien sûr.

L'officier sourit tristement, ses petits yeux vert émeraude se chargeant quelques secondes de lassitude.

- Mais allons bon ! Pour continuer plus gaiement, que diriez-vous de goûter un petit quelque chose de ma région ? Vous êtes breton, et j'ai eu quelques fois l'occasion de me rendre dans votre pays...j'ai surtout appréciées les falaises côtières...et, bien sûr, les divers mets et boissons. Bien que je sois plus "viande" que "poisson".
Mais...le petit quelque chose dont je vous parle, c'est ceci...

Le sous-lieutenant sortit de nulle part -certainement d'une grande poche cachée dans son noir uniforme- une bouteille pleine jusqu'au goulot d'un liquide transparent, et fermée par un bouchon de liège.

- Une petite liqueur de mirabelle. Je suis de Lorraine, et je dois avouer que je n'ai guère la chance d'être ravitaillé aussi souvent que je l'aimerai de produits de ma région.

Les lèvres du géant dessinaient un grand sourire dans sa barbe. Il tendit la bouteille à Amiral:

- Allez-y, je vous en prie...

[vétéran Adrien Berthier]

Ah oui sa tombe bien j'en ai gouté il y a peu de temps quand j'avais 14 ans très bon goût, voyons voir.
Il prit la bouteille et en but une gorgée...
Exquis,on sent bien que c'est de la bonne liqueur de mirabelle!
Je vous remercie lieutenant Lupus je suis content d'avoir rencontrer un homme d'aussi bonne compagnie que vous,ah cela change des russes que l'on regarde droit dans les yeux,et puis on leur tire dessus...

[vétéran Adrien Berthier]

Et ba voila maintenant mon "patronyme" est plus RP je pense...

[Francois Marie Hobé]

Ah, là je dis "respect" !!...
Tu as maintenant l'étoffe d'un héros !...

[vétéran Adrien Berthier]

Je retiens de bon coeur le compliment colonel,mais entre vous et moi c'est vous le héros,j'ai pris le nom du maréchal Berthier,je trouve que c'était un bon maréchal,bon général.

[vétéran Dojieff]

Dojieff marqua un temps d'arrêt en pénétrant sur le seuil de la gargotte. Il ne s'attendait pas à y voir autant d'officiers Franskis alors qu'ils avaient reflué en désordre de l'autre coté de la rivière.
Mais bon, peut être ils y avaient encore conservé leurs habitudes.

Grommelant un vague salut général, il marcha d'un pas décidé jusqu'à une table libre près d'une fenêtre, s'assit et hurla à l'intention de l'aubergiste

Une théière !

Dojieff étendit ses jambes sur une chaise en grognant de satisfaction. Ses yeux firent le tour de la salle et son front se plissa de rides en examinant les officiers si jeunes. Fallait-il que la France soit exangue pour envoyer de si jeunes conscrits au front.

[vétéran Adrien Berthier]

Ah bienvenue colonel Dojieff je vous ai vus sur le front voulez vous une vodka? c'est ma tournée,ce n'est pas parcequ'ont est en guerre qu'on doit etree malpoli entre nous n'est ce pas?

[rouskoff]

Le major Rouskoff poussa la porte et son regard scruta la salle jussqu'a poser son regard sur un officier russe ..le seul d'ailleurs il se tenaitr au fond de la piéce les pied sur la tabe et semblait discuter avec un jeune officier français.
Il s'avança vers la table "Colonel Dojieff!! on trinque avec l'énnemi !!!,dis donc sa sent la bleusaille ici!!"
Il pris une chaise en criant à l'aubergiste "une vodka!! la bouteille!! puis se retournant vers Dojieff lui dis toujours à l'eau chaude?"

[vétéran Dojieff]

[HRP]réponse à Adrien Berthier avant que rouskoff ne rentre dans l'auberge[/HRP]
Dojieff eut sa grimace coutumière lui découvrant les canines et qui passait pour un sourire, enleva ses pieds de la chaise et la présenta à Adrien Berthier
"Mais bien sûr, tu peux t'assoir sous-lieutenant franski. Mais, je ne bois pas d'alcool ou alors très peu, seulement en de grandes occasions. N'y vois pas d'offense.

Je suis surpris que tu connaisses mon nom Franski, surtout pour quelqu'un d'aussi jeune que toi et membre de l'EMF. Non, c'est flatteur."

Avisant alors Rouskoff rentrant dans l'auberge et lui répondant sur le même volume sonore
"Ah ah, Rouskoff ! ! ! Toujours à la recherche de l'âme soeur ? Ce n'est pourtant pas dans ce genre d'endroit que tu trouveras un tendron à ton goût !
...
Toujours à l'eau chaude. Que veux-tu, j'ai le foie fragile et ne tient pas l'alcool. Faut connaître ses limites."

Se retournant vers Adrien Berthier
"Mais que je te présente, sous-lieutenant ? ..."

[vétéran Adrien Berthier]

Sous-lieutenant Adrien Berthier,du Régiment de l'EMF comme vous avez du le voir je crois,et colonel je vous connais car je fais attention à toutes les compagnies russes
il s'assit à la table et continua de boire sa bouteille de cidre
Dure bataille n'est ce pas...

[Chabert]

chabert poussa la porte de l'auberge et salua l'assemblée .
Il interpella Roscanvel : dîtes donc mon cher , la chouanerie ne sait elle pas opposée à notre révolution ? Chabert ria de bon coeur, car il aimait bien les galettes!

[vétéran Adrien Berthier]

Major Chabert,si vous aimez les galettes le ravitaillement est arrivé il y a trois jours:crèpes,galettes,poisson,cidre...

[vétéran Thork]

Thork qui suivait son compère & supérieur Rouskoff poussa la porte quelques instant après lui..

Rouskoff pas si vite, on dirait que tu as les frenskis au trousse, t'sais bien qu'ils ont..

D'un bon, Thork sursauta fléchit ses jambes tout en dégainant son sabre, quelle horreur, la taverne était bondé de jeunes officier français, il cru un instant à un traquenard avant de comprendre que la guerre ne franchissait pas ces portes en voyant Dojjief et Rouskoff en discutions avec un très jeune officier français.. Il déclara

Et bien soit, je ferai donner la charge plus tard, tavernier apporte nous donc une 'teille, j'ai grand soif

[vétéran Adrien Berthier]

Discutant tranquillement avec les deux russes,il entendit le bruit du sabre et sortit son pistolet se retournant il vit un colonel russe avec un sabre à la main,puis il le rangea
Toutes mes excuses colonel pour cet accueil,voulez vous un verre?une vodka peut-être,très beau sabreai fait,espérons que je ne ferais pas parti des français que vous avez tué avec ah,allons asseyez vous,ici on est pas en guerre,et puis ce n'est parceque l'on est guerre qu'il faut oublier les habitudes,je me présente Sous-lieutenant Adrien Bethier,14 ans depuis peu,je suis jeune oui mais le talent se gagne par l'intelligence,mais aussi par l'expérience,j'irai presque jusqu'à dire que plus on commence la guerre jeune plus on devient expérimenté,mais on la finit rarement vieux...