A la gloire de ma patrie...

[nayo_26p]

Ma patrie la Suisse, donnât beaucoup à la France de Napoléon, le courage de nos soldats fut venté plusieurs fois


"Ce sont de bons soldats et ils ne vous trahiront pas."
- Napoléon Bonaparte

"Les meilleurs soldats, ceux en qui vous pouvez avoir le plus confiance, ce sont les Suisses. Ils sont braves et fidèles ! "
- Napoléon Bonaparte


"Les Français sont plus impétueux à l'attaque, mais ils s'agit d'une retraite, nous pouvons certainement compter sur le sang-froid et la bravoure des Suisses. C'est pour cela qu'aujourd'hui encore je les place en réserve"
- G. Saint-Cyr, lors de la campagne de Russie



Voici l'histoire... le sacrifice des 1300 Suisses à la Bérézina.


Lors de la retraite de Russie, Napoléon, encerclé par trois armées russes, arriva le 21 novembre 1812 devant la Bérézina. La Grande Armée de 500 000 hommes ne comptait plus que 49 000 combattants et 40 000 retardataires. Le deuxième corps de Nicolas-Charles Oudinot comprenait notamment les quatre régiments suisses de la division Merle, dont il restait environ 1300 hommes sur quelque 8000. Les pontonniers du général Jean-Baptiste Eblé construisirent deux ponts, l'un pour les fantassins, l'autre pour les convois et l'artillerie. Le deuxième corps traversa le 27 novembre et prit position sur la rive droite (occidentale) afin de repousser les Russes qui cherchaient à empêcher le passage. Le matin du 28 novembre, les Suisses engagèrent la bataille sur la route de Borisov et dans la forêt de Stachov. Les Russes attaquèrent les avant-postes, puis entamèrent la division suisse que des chasseurs sibériens tentaient de rejeter à la rivière. Faute de munitions, les Suisses chargèrent à la baïonnette et permirent aux divisions Legrand et Maison de reprendre l'avantage. L'après-midi, 40 000 Russes s'acharnèrent sur les troupes de Ney qui avait remplacé Oudinot, blessé. Après huit assauts des Suisses à la baïonnette, les Russes, revenant à chaque fois plus nombreux, semblèrent abandonner la partie; mais leur artillerie poursuivit sa destruction. Le 29, si les morts et les blessés gisaient par centaines, les restes de la Grande Armée avaient été préservés de la destruction complète grâce aux pontonniers et au deuxième corps d'armée. Trois cents Suisses seulement répondirent à l'appel le 29.
-http://209.85.129.104/search?q=cache:fat27lHzsOUJ:www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F8918.php+suisse+bataille+b%C3%A9r%C3%A9zina&hl=fr&gl=fr&ct=clnk&cd=1

Lors du même combat...

...Les pontonniers du général Eble, qui donnèrent leurs vies pour construire les ponts étaient en grande partie constituer de Suisses, des Tessinois...


...enfin à Baylen...
...Un bataillon du 3ème Régiment Suisse combat les Espagnols avant de se rendre avec le général Dupont, un grand nombre de ces hommes périrent aux mains des Espagnols et des Anglais...

[vétéran Nansouty]

No commentaire ....
la Garde Suisse ....

[Vladimir Bibine]

J'aime bien les "canaris" de Berthier...

[vétéran Nansouty]

ARg un royaliste ! au bucher au bucher ... euh non ^^ ... a la guillotine a la guillotine

[nayo_26p]

Tu sais ce qu'étaient les Canaris? c'était les hommes du bataillon Neuchatelois, surnomés les canaris à cause de leurs unifromes orangs.

[Henri Beyle]

Sinon, concernant la bataille de la Bérézina, je vous conseille d'aller voir ceci :
http://gustave.club.fr/berezina.htm

Cela, je pense, va vous octroyer une vision différente de la bataille.

[vétéran Nansouty]

A toi Nayo

Bataillon de Neuchatel:



Régiments Suisse:

[Henri Beyle]

HRP : lol, tu peux pas les mettre en petit viignette qu'on peut agrandir car la tu déformes la page

[vétéran Nansouty]

HRP: si je pouvais je le ferais mais c pas possible et mon sur mon pc la page n'est pas deformé ^^
ca doit etre a cause de ton pc de roumain c'est pour cela

[nayo_26p]

C'est pas mal ça, j'avais déjà les uniformes mais pas en tableau comme ça, tu as trouver où?

[vétéran Nansouty]

c'est secret garcon !
A moins que tu ne me dises la position de tes troupes ^^

[nayo_26p]

Le bataillon de neuchatel:

Le bataillon de Neuchâtel fut créé par décret impérial du 11 mai 1807. En décembre 1808, il présentait un effectif de 25 officiers et 762 sous-officiers et soldats. En 1809 il participa à la campagne contre l'Autriche et se distingua à Wagram avant de regagner la France, en novembre, et d'être dirigé vers l'Espagne. Il y sera d'abord employé à la poursuite des bandes de guérilleros. En 1810, il fit partie du 9e corps de l'armée d'Espagne sous les ordres du général Drouet d'Erlon, division Claparède, et participa au siège de Ciudad-Rodrigo. Le 1er avril 1811, il comptait 21 officiers et 545 sous-officiers et soldats à l'effectif. En mai, il fut affecté à l'armée du nord de l'Espagne sous les ordres du maréchal Bessières et combattit le 27 septembre à Alcoa contre les troupes anglo-portugaises de Wellington. En mars 1812, le bataillon quitta l'Espagne afin de rejoindre, la Pologne où se concentrait l'armée destinée a l'invasion de la Russie. Le 26 juillet, le bataillon était à Leipzig et, le 2 septembre il pénétrait en Russie où il devait être affecté à la garde du grand quartier général. Le 7 octobre, il reçut l'ordre de compléter la garnison de Smolensk, où il resta un mois avant d'être à nouveau affecté à l'état-major général. Il suivit la retraite de l'armée et, le 2 janvier 1813, à Elbing, il ne comptait plus que 23 officiers et soldats. Complété avec des recrues le bataillon participa à la campagne d'Allemagne et se distingua à Dresde. En 1814, il combattra dans l'est et notamment à Vesoul. Il sera licencié à Chartres le 1er juin 1814.
http://perso.orange.fr/l.histoire.en.kit/1er%20empire/galerie%20infanterie/bataillon_neuchatel_1808.htm

[Vladimir Bibine]

Bien sûr que je connais les "canaris" puisque je les ai dans mon armée française en 25mm