Procès de l'officier styr (mat 29416)
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Pensant à ses pauvres fesses (bien que le cuir habitué aux températures extrèmes de la Sibérie était épais), Styr proposa une dernière conciliation :
"Je propose que l’officier Marbot bénéficie des services de l’hopital militaire installé à Letobourg et plus particulièrement du service de chirurgie esthétique et reconstructrice, et ce aux frais de la garde préo. 2 pièces d’or seraient fondues pour réaliser une prothèse de la taille d’un œuf de caille, les 48 autres devant servir aux paiement des chirurgiens".
Ainsi était né une idée extraordinaire : la croix rouge internationale russe, sublimant les conflits entre les nations.
"Je propose que l’officier Marbot bénéficie des services de l’hopital militaire installé à Letobourg et plus particulièrement du service de chirurgie esthétique et reconstructrice, et ce aux frais de la garde préo. 2 pièces d’or seraient fondues pour réaliser une prothèse de la taille d’un œuf de caille, les 48 autres devant servir aux paiement des chirurgiens".
Ainsi était né une idée extraordinaire : la croix rouge internationale russe, sublimant les conflits entre les nations.
- Jean Bailly (Mat. 1169)
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HRP/ Ne pas prendre en compte donc l'exécution RPlayer précédemment (dans mon post). Donc je reprends lorsque nous sortons de la réunion et où les officiers de la Grande Armée sont fait prisonniers face à l'auberge./HRP
~~~~~~
Le Juge de la Grande Armée avait pu voir quelques réactions à l'annonce du jugement. Sa signature avait été apposée sur ce procès d'exception qui suscitait de chaque côté de la guerre de vives réactions. Néanmoins, aucun officier de la Grande Armée n'était présent et ce, depuis que l'officier Leto avait "évacué" ceux-ci de l'auberge.
Enfin Jean Bailly se tourna vers le Ministre et le Juge de Castillon.
Je vous salue.
Je comprends que l'honneur de la Russie fut entachée par de tels actes et par ce jugement l'honneur est rétabli. Vous êtes des adversaires de taille et nombre d'entre nous ont tort de vous prendre de haut ; les barbares subsistent des deux côtés de cette guerre, mais ne sont pas une majorité.
Ministre Tchekov,
Je vous remercie pour votre attention, Jean montra la flasque du précieux médicament qui pouvait soulager l'officier au visage maladif qu'était le Vice Prévôt de la Gendarmerie Impériale.
Je veillerai à vous faire parvenir une caisse de ma réserve personnelle et s'il vous plaît, acceptez la gracieusement.
Ses problèmes de santé étaient trop douloureux pour ne pas remercier à sa juste valeur la personne essayant de l'en soulager.
Juge de Castillon,
C'est un honneur que de vous avoir rencontré. Peut être qu'un jour apprendrons-nous à mieux nous connaître.
Enfin, il revêtit son chapeau et reboutonna son col d'une main preste. Un dernier regard en coin et il comprit au regard des Russes assemblés au sein de l'auberge que quelque chose n'était pas "normal". Mis à part ce procès, quelque chose se tramait.
Il ouvrit la porte et se trouva nez à nez avec des soldats Russes aux sourires carnassiers, pointant leur fusil et l'enjoignant à sortir sans faire d'histoires.
Les officiers de la Grande Armée s'étant déplacés ici même étaient rassemblés, désarmés et prisonniers.
Jean, le visage tout aussi morne qu'à l'accoutumé, soupira.
Je vois... L'honneur Russe mis en péril...
~~~~~~
Le Juge de la Grande Armée avait pu voir quelques réactions à l'annonce du jugement. Sa signature avait été apposée sur ce procès d'exception qui suscitait de chaque côté de la guerre de vives réactions. Néanmoins, aucun officier de la Grande Armée n'était présent et ce, depuis que l'officier Leto avait "évacué" ceux-ci de l'auberge.
Enfin Jean Bailly se tourna vers le Ministre et le Juge de Castillon.
Je vous salue.
Je comprends que l'honneur de la Russie fut entachée par de tels actes et par ce jugement l'honneur est rétabli. Vous êtes des adversaires de taille et nombre d'entre nous ont tort de vous prendre de haut ; les barbares subsistent des deux côtés de cette guerre, mais ne sont pas une majorité.
Ministre Tchekov,
Je vous remercie pour votre attention, Jean montra la flasque du précieux médicament qui pouvait soulager l'officier au visage maladif qu'était le Vice Prévôt de la Gendarmerie Impériale.
Je veillerai à vous faire parvenir une caisse de ma réserve personnelle et s'il vous plaît, acceptez la gracieusement.
Ses problèmes de santé étaient trop douloureux pour ne pas remercier à sa juste valeur la personne essayant de l'en soulager.
Juge de Castillon,
C'est un honneur que de vous avoir rencontré. Peut être qu'un jour apprendrons-nous à mieux nous connaître.
Enfin, il revêtit son chapeau et reboutonna son col d'une main preste. Un dernier regard en coin et il comprit au regard des Russes assemblés au sein de l'auberge que quelque chose n'était pas "normal". Mis à part ce procès, quelque chose se tramait.
Il ouvrit la porte et se trouva nez à nez avec des soldats Russes aux sourires carnassiers, pointant leur fusil et l'enjoignant à sortir sans faire d'histoires.
Les officiers de la Grande Armée s'étant déplacés ici même étaient rassemblés, désarmés et prisonniers.
Jean, le visage tout aussi morne qu'à l'accoutumé, soupira.
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- guila (Mat. 23515)
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Voyant toute une troupe russe en arme s'approcher rapidement du groupe formé par les quelques officiers Français, Guila soupçonneut, fit par de sa remarque a ses camarades qui aussitôt approuvèrent que cette présence aussi importante d'homme en armes ne pouvait signifier que de traitre projet.
Ils furent tous confirmés dans leurs convictions en effet pour chaque officier Français il y avait deux russes qui les tenaient fermement tandis qu'un troisième confisquaient leurs sabres de cérémonie (le port d'arme hormis celles d'honneur, ayant été interdit durant la durée du procès)
ne comprenant pas ni ne parlant pas le russe (ce n'était pas faute d'avoir essayé), l'officier Guila s'adressa poliment en bon Français au troupes qui étaient visiblement en train de les faire prisonniers.
Guila s'exprima d'une voix forte pour bien se faire entendre (tandis qu'il parlait un silence s'installa).
"Messieurs les russes, que signifie donc cette mascarade? pourquoi donc vous faites nous vos prisonniers?"
un silence de mort qui venait de s'installer depuis qu'il avait pris la parole glaça tout ceux qui étaient présents aussi bien russes que Français.
sur un ordre discret d'un gradé russe, l'un des soldats qui tenait l'officier Guila le fit taire en lui donnant un coup de crosse dans le ventre, sous le choc Guila s'affaissa par terre sous le poids de la douleur.
Ils furent tous confirmés dans leurs convictions en effet pour chaque officier Français il y avait deux russes qui les tenaient fermement tandis qu'un troisième confisquaient leurs sabres de cérémonie (le port d'arme hormis celles d'honneur, ayant été interdit durant la durée du procès)
ne comprenant pas ni ne parlant pas le russe (ce n'était pas faute d'avoir essayé), l'officier Guila s'adressa poliment en bon Français au troupes qui étaient visiblement en train de les faire prisonniers.
Guila s'exprima d'une voix forte pour bien se faire entendre (tandis qu'il parlait un silence s'installa).
"Messieurs les russes, que signifie donc cette mascarade? pourquoi donc vous faites nous vos prisonniers?"
un silence de mort qui venait de s'installer depuis qu'il avait pris la parole glaça tout ceux qui étaient présents aussi bien russes que Français.
sur un ordre discret d'un gradé russe, l'un des soldats qui tenait l'officier Guila le fit taire en lui donnant un coup de crosse dans le ventre, sous le choc Guila s'affaissa par terre sous le poids de la douleur.
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freenaute, de retour.
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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le juge de castillon se leva fulminant de colère.
s'adressant à un officier de sa garde personnelle, il fustigea.
officier vladimir,
arrêtez cet officier et ce soldat et mettez les en préventive.
greffier, faites appeler mon médecin qu'il vienne soigner cet officier français.
Messieurs, à compter de maintenant, le premier officier russe qui fera acte de violence envers un officier français, sera mis aux fers.
ce procès est un procès pour l'honneur.
ne venez pas l'entâcher par des actes inconsidérés.
se tournant vers les officiers français, de castillon dit:
Messieurs les officiers, vous êtes sous la protection de ma garde personnelle.
j'y engage mon nom et mon honneur.
vers son ami tchekov, l'interrogeant du regard.
s'adressant à un officier de sa garde personnelle, il fustigea.
officier vladimir,
arrêtez cet officier et ce soldat et mettez les en préventive.
greffier, faites appeler mon médecin qu'il vienne soigner cet officier français.
Messieurs, à compter de maintenant, le premier officier russe qui fera acte de violence envers un officier français, sera mis aux fers.
ce procès est un procès pour l'honneur.
ne venez pas l'entâcher par des actes inconsidérés.
se tournant vers les officiers français, de castillon dit:
Messieurs les officiers, vous êtes sous la protection de ma garde personnelle.
j'y engage mon nom et mon honneur.
vers son ami tchekov, l'interrogeant du regard.
- Jean Bailly (Mat. 1169)
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- vétéran Vladimir Pozniako (Mat. 33953)
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A l'écart, Vladimir observait. Il entendit de castillon lancer ses menaces aux soldats Russes. Mais au fait, lui n'était pas Russe, il était un cosaque.
Il murmura quelques mots à son adjudant qui se leva en riant et en titubant sous l'effet de l'alcool. Andrev après s'être levé, s'approcha de Golradir qui s'était levé pour regarder les officiers Français. Il fit mine de trébucher sous l'effet de l'alcool et il poussa Golradir qui crut que le cosaque s'effondrait d'excès d'alcool. Golradir dans son élan atterrit en plein milieu des Français et malencontreusement, il en cogna un qui se laissa tomber.
De Castillon était sur le point d'hurler pour mettre Golradir aux arrêts. Mais Andrev avait été plus rapide. Il se releva et il commença à insulter Golradir soit disant parce que c'était une honte de se mettre dans le chemin des honnêtes hommes.
Pendant toute cette affaire qui attirait les esprits, Vladimir s'était glissé parmi les Français sans que personne ne le voie. Son objectif était de provoquer une bagarre. L'alcool le rendait complètement fou, comme à son, habitude.
Il avait trouver ce qu'il allait faire. Il s'approcha d'un Français et il l'aida à s'enfuir sans que personne ne le remarque. Le Français commença à courir. Pour échapper aux Russes. Fort heureusement pour lui, les Russes n'osaient lui tirer dessus à cause de la remarque du juge.
Calmement, Vladimir sortit son pistolet après avoir prit soin de s'éloigner des Français, il le chargea et il tira un coup qui atteignit le jeune Français en pleine poitrine qui s'écroula mort.
Tout les visages s'étaient tourné vers lui stupéfait. De Castillon allait hurler un ordre à ses hommes. Mais Pozniakob fut plus rapide.
-Je ne suis pas Russe. dit il simplement.
Il murmura quelques mots à son adjudant qui se leva en riant et en titubant sous l'effet de l'alcool. Andrev après s'être levé, s'approcha de Golradir qui s'était levé pour regarder les officiers Français. Il fit mine de trébucher sous l'effet de l'alcool et il poussa Golradir qui crut que le cosaque s'effondrait d'excès d'alcool. Golradir dans son élan atterrit en plein milieu des Français et malencontreusement, il en cogna un qui se laissa tomber.
De Castillon était sur le point d'hurler pour mettre Golradir aux arrêts. Mais Andrev avait été plus rapide. Il se releva et il commença à insulter Golradir soit disant parce que c'était une honte de se mettre dans le chemin des honnêtes hommes.
Pendant toute cette affaire qui attirait les esprits, Vladimir s'était glissé parmi les Français sans que personne ne le voie. Son objectif était de provoquer une bagarre. L'alcool le rendait complètement fou, comme à son, habitude.
Il avait trouver ce qu'il allait faire. Il s'approcha d'un Français et il l'aida à s'enfuir sans que personne ne le remarque. Le Français commença à courir. Pour échapper aux Russes. Fort heureusement pour lui, les Russes n'osaient lui tirer dessus à cause de la remarque du juge.
Calmement, Vladimir sortit son pistolet après avoir prit soin de s'éloigner des Français, il le chargea et il tira un coup qui atteignit le jeune Français en pleine poitrine qui s'écroula mort.
Tout les visages s'étaient tourné vers lui stupéfait. De Castillon allait hurler un ordre à ses hommes. Mais Pozniakob fut plus rapide.
-Je ne suis pas Russe. dit il simplement.
N'importe quoi cette justice...


- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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GARDES !!!!!!!
arrêtez cet homme.
officier Pozniakob,
vous n'êtes pas russe ?
soit.
mais vous êtes de notre armée.
vous êtes donc aux arrêts et votre jugement sera étudié après celui de l'offier styr.
gardes, enmenez le.
HRP/ , ce n'est que du "rp", mais j'ai l'impression que plus on cherche et oeuvre à donner une issue logique et honnorable à ce procès, plus les intrigues se trament. HRP/
un des officier s'étant rendu près de l'officier français allongé dans le couloir:
Monsieur le juge, il est vivant !
de castillon, sans attendre:
vite, un médecin.
arrêtez cet homme.
officier Pozniakob,
vous n'êtes pas russe ?
soit.
mais vous êtes de notre armée.
vous êtes donc aux arrêts et votre jugement sera étudié après celui de l'offier styr.
gardes, enmenez le.
HRP/ , ce n'est que du "rp", mais j'ai l'impression que plus on cherche et oeuvre à donner une issue logique et honnorable à ce procès, plus les intrigues se trament. HRP/
un des officier s'étant rendu près de l'officier français allongé dans le couloir:
Monsieur le juge, il est vivant !
de castillon, sans attendre:
vite, un médecin.
Dernière modification par Didier Lacoste le jeu. juil. 09, 2009 6:04 pm, modifié 1 fois.
- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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le calme étant revenu dans sur la place en face de la taverne,Jean Bailly a écrit :Jean regarda la scène, sa main ne tremblait plus du tout.
Juge De Castillon,
Nous, officiers de la Grande Armée ci-présents, est-il autorisé de rejoindre nos régiments respectifs ?
de castillon regarda l'officier jean bailly.
Monsieur,
je m'engage à assurer votre sécurité, pour le reste, c'est du ressort de mon ministre de la justice.
ne m'en demandez pas plus que de raison.
avez-vous besoin d'autre chose qui soit en mon pouvoir ?
de castillon, rassuré, regardait l'officier Pozniakob quitter la place de la taverne pour rejoindre, emmené par ses hommes, les cachots du palais de justice.
Dernière modification par Didier Lacoste le ven. juil. 10, 2009 10:40 am, modifié 2 fois.
- vétéran Vladimir Pozniako (Mat. 33953)
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Juste avant de partir, Vladimir cracha au pied de Didier de Castillon:
-Je suis cosaque, pas Russe, et si je fais partie de l'armée Russe aujourd'hui, se sera pour lutter contre elle demain. Je vous maudit juge, j'aurais ma vengeance. Je n'ai fait que tirer sur un de mes ennemis. Mais sachez que jamais vous ne pourrez me juger moi un cosaque.
De castillon ne le prenait pas au sérieux. Tandis que Pozniakob, était emmené par deux jeunes gardes Russes et un officier. Leur direction était la prison. Seul, Vladimir ne pouvait tenir tête à ces trois hommes. Il chercha des yeux Andrev. Et il le vit, en haut d'un bâtiment, il sautait de toit en toit pour suivre les quatre hommes.
Lorsqu'ils arrivèrent dans une ruelle sombre, Vladimir aperçut Andrev qui pointait son arme et qui visait.
Un coup de feu partit, qui se fit entendre jusqu'à la place où était les Russes et les Français. L'officier tomba raide mort. Un deuxième coup retentit, l'un des gardes tomba blessé.
En même temps, Vladimir arracha l'arme des mains du dernier soldat et il planta la baïonnette dans son crâne.
Vladimir quitta la ville à cheval pour rejoindre son bataillon au nord.
-Je suis cosaque, pas Russe, et si je fais partie de l'armée Russe aujourd'hui, se sera pour lutter contre elle demain. Je vous maudit juge, j'aurais ma vengeance. Je n'ai fait que tirer sur un de mes ennemis. Mais sachez que jamais vous ne pourrez me juger moi un cosaque.
De castillon ne le prenait pas au sérieux. Tandis que Pozniakob, était emmené par deux jeunes gardes Russes et un officier. Leur direction était la prison. Seul, Vladimir ne pouvait tenir tête à ces trois hommes. Il chercha des yeux Andrev. Et il le vit, en haut d'un bâtiment, il sautait de toit en toit pour suivre les quatre hommes.
Lorsqu'ils arrivèrent dans une ruelle sombre, Vladimir aperçut Andrev qui pointait son arme et qui visait.
Un coup de feu partit, qui se fit entendre jusqu'à la place où était les Russes et les Français. L'officier tomba raide mort. Un deuxième coup retentit, l'un des gardes tomba blessé.
En même temps, Vladimir arracha l'arme des mains du dernier soldat et il planta la baïonnette dans son crâne.
Vladimir quitta la ville à cheval pour rejoindre son bataillon au nord.
N'importe quoi cette justice...


- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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vladimir vint parler à voix basse à l'officier de castillon:
Monsieur,
l'officier Pozniakob s'est enfuit.
2 de nos hommes sont morts et un est bléssé.
que dois faire ?
de castillon regardant son adjudant.
rien mon ami, cette affaire prend une toute autre dimension.
tu peux disposer, mais veilles aux dépouilles de nos frères d'armes, et aux soins de notre ami encore vivant.
je passerai ce soir leur rendre hommages.
se tournant vers son ami tchekov,
il est temps de trancher, cette affaire prend une dimension imprévue, mais je veux que ce cosaque paie pour la perte de mes hommes.
nul n'est au dessus de la loi.
les français ont fait montre d'honneur, soyons en à la hauteur.
ce cosaque doit être jugé et condamné et que la mort de mes hommes au travers de ce jugement soit reçue par le reste de mes troupes comme acceptable.
après toutes nos campagnes, je ne peux prévaloir d'une action disciplinaire.
avec tout mon respect et toute mon amitié,
que la justice soit rendue en son nom et place.
Monsieur,
l'officier Pozniakob s'est enfuit.
2 de nos hommes sont morts et un est bléssé.
que dois faire ?
de castillon regardant son adjudant.
rien mon ami, cette affaire prend une toute autre dimension.
tu peux disposer, mais veilles aux dépouilles de nos frères d'armes, et aux soins de notre ami encore vivant.
je passerai ce soir leur rendre hommages.
se tournant vers son ami tchekov,
il est temps de trancher, cette affaire prend une dimension imprévue, mais je veux que ce cosaque paie pour la perte de mes hommes.
nul n'est au dessus de la loi.
les français ont fait montre d'honneur, soyons en à la hauteur.
ce cosaque doit être jugé et condamné et que la mort de mes hommes au travers de ce jugement soit reçue par le reste de mes troupes comme acceptable.
après toutes nos campagnes, je ne peux prévaloir d'une action disciplinaire.
avec tout mon respect et toute mon amitié,
que la justice soit rendue en son nom et place.
Dernière modification par Didier Lacoste le ven. juil. 10, 2009 10:41 am, modifié 1 fois.
- Jean Bailly (Mat. 1169)
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Jean restait impassible et dégoûté de ce qu'il voyait : une armée divisée qui n'obéissait que partiellement et qui faisait montre d'une hypocrisie presque similaire à cette mascarade de procès.
Pourtant sa voix était celle de toujours, calme, mais froide, stricte, mais mielleuse.
Juge De Castillon,
Oui, vous le pouvez. Veuillez éviter de faire référence au précepte de l'honneur dés lors que nous sommes traités comme des officiers espions.
J'ai répondu à l'appel du Ministre Tchekov afin de l'épauler, j'ai de même aidé l'armée Russe à recouvrer ce qu'elle considérait comme perdu. Je pense qu'il est temps de laisser les officiers de la Grande Armée rejoindre le front.
Si cela ne s'avère possible, je pense que ma seule personne sera suffisante et bien moins encombrante que cette troupe de prisonniers.
Veuillez s'il vous plaît continuer à tenir votre parole concernant notre sécurité et ce, jusqu'au bout de cette sournoiserie. En vous remerciant pour votre politesse.
Pourtant sa voix était celle de toujours, calme, mais froide, stricte, mais mielleuse.
Juge De Castillon,
Oui, vous le pouvez. Veuillez éviter de faire référence au précepte de l'honneur dés lors que nous sommes traités comme des officiers espions.
J'ai répondu à l'appel du Ministre Tchekov afin de l'épauler, j'ai de même aidé l'armée Russe à recouvrer ce qu'elle considérait comme perdu. Je pense qu'il est temps de laisser les officiers de la Grande Armée rejoindre le front.
Si cela ne s'avère possible, je pense que ma seule personne sera suffisante et bien moins encombrante que cette troupe de prisonniers.
Veuillez s'il vous plaît continuer à tenir votre parole concernant notre sécurité et ce, jusqu'au bout de cette sournoiserie. En vous remerciant pour votre politesse.
- guila (Mat. 23515)
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Guila s'avança, il pouvait de nouveau marcher la douleur qu'il avait au ventre suite au coup
de crosse qu'il avait reçu était partit, grâce a la pommade qu'un médecin russe lui avait
administré, (il lui avait confié secrètement que l'ingrédient principal était de la graisse d'ours).
Il s'approcha de l'officier De Castillon et lui adressa la parole.
"Monsieur le juge, vous nous avez dit que si vous pouviez nous rendre service, que nous vous le demandions, je vous prie donc de remettre cette lettre auprès des services postaux impériaux qui la fera parvenir jusqu'a ma famille."
l'officier De Castillon, saisi la lettre que lui tendait le soldat Français, et dans la crainte quelle ne contienne des renseignements compromettants pour les russes, l'ouvrit et la lut.
de crosse qu'il avait reçu était partit, grâce a la pommade qu'un médecin russe lui avait
administré, (il lui avait confié secrètement que l'ingrédient principal était de la graisse d'ours).
Il s'approcha de l'officier De Castillon et lui adressa la parole.
"Monsieur le juge, vous nous avez dit que si vous pouviez nous rendre service, que nous vous le demandions, je vous prie donc de remettre cette lettre auprès des services postaux impériaux qui la fera parvenir jusqu'a ma famille."
l'officier De Castillon, saisi la lettre que lui tendait le soldat Français, et dans la crainte quelle ne contienne des renseignements compromettants pour les russes, l'ouvrit et la lut.
l'officier Guila rentra dans les rangs la tête haute, pour attendre bien sagement la suite des évènements, mais certains de ses camarades remarquèrent une larme qui coulait sur sa joue.Ma chère petite Maman, mon cher petit papa.
Voila maintenant 6 années que je suis partit, loin de notre petit village au bord de la Méditerranée, sachez que j'accomplis mon devoir avec honneur, car telle est la tradition dans notre famille de servir sous les ordres du "petit caporal".
Voila maintenant plus d'un ans que je ne vous ait pas écrit, en effet cette guerre loin de notre chère patrie, nous coupe de tout moyen de communication.
Si je vous écrit, c'est pour vous expliquer la situation.
Suite a un contention entre deux hauts gradés adverses par rapport a la dénomination d'une ville, il s'en ait suivit un duel qui a mal tourné, j'ai assisté au procès des deux officiers russes incriminés, ce procès a été riche en rebondissement.
Hélas je me doit de vous faire part d'une triste nouvelle.
En effet nous les officier Français présents, venons d'êtres arrêtés par surprise (et traitrise) par des troupes russes en armes, ils sont d'ailleurs en train de nous emprisonner dans une église. Cela me rappelle, l'histoire d'un de nos cousins qui s'est fait tué, enfermé dans une église, je crois que c'était le village d'Oradur/triste.
J'ai vus bien des horreurs, et j'ai bien souvent risqué ma peau autant pour sauver des compagnons que pour monter a l'assaut, je vous l'avoue maintenant chers parents, j'ai peur qu'il ne m'arrive la même chose car qui sait ce qui peut nous arriver lorsque l'on est au mains des russes? Mais je préférerait cents fois la mort au combat plutôt que la torture ou une exécution pure et simple qui serait pour moi signe de déshonneur.
A l'instant même ou je vous écrit, une bagarre provoqué par un des russes ivres vient d'éclater, et le soldat russe incriminé c'est enfui tuant trois de ces camarades.
Vous ne pouvez vous imaginer la scène, car la réalité est pire que ce que l'on peut penser.
Je n'ai plus le temps d'en dire plus, et de toute façon même si je vous écrirait deux fois plus de choses, cela serait toujours trop court.
Il se peut que cette lettre soit ma dernière, maman papa, je ne vous oublierais pas.
votre enfant chéri
ps: pour mon frère, s'il a un autre choix le mieux serait pour lui qu'il trouve un poste dans l'administration militaire ou civile, c'est certes moins glorieux et cela ne vengerait pas l'honneur de notre famille, mais cela vous ferait faire moins de souci, j'espère que la pension qui vous sera versé si je ne doit pas survivre, vous permettra de vivre mieux qu'actuellement.
mes chers parents adieux
votre fils qui vous aime
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Tchekov qui avait suivi la scène en restant en retrait s'approcha de son ami de Castillon et lui glissa quelques mots.
Didier, mon ami, j'ai du obéir aux ordres du Tsar et de ces crapules du haut état-major. Ils ont menacé ma famille si je n'organsais pas cette mascarade pour attirer des officiers Français de haut rang. Excuse moi de t'avoir entrainé dans cette affaire. Notre honneur n'en sortira pas sauf.
Puis, il se retourna vers les officiers Français.
Messieurs, je confirme la situation. Vous êtes nos prisonniers. En tant qu'officiers supérieurs et de qualité, vous serez traités avec tous les honneurs du à votre rang. Mais la situation l'impose ! Votre empereur persiste à vouloir nous réduire au servage ! Qu'il en soit maudit ! Vous ne serez libérés que selon les conditions que notre état-major fixera et communiquera sous peu au votre !
Juge Bailly, sachez que j'ai du accomplir cela à mon coprs défendant et que j'en suis le premier désolé. Je veillerais personnellement à ce qu'aucun mal ne vous soit fait. Tout homme qui dorénavant portera la main sur l'un d'entre vous subira ma vengeance !
Tchekov appela le commandant des compagnies de grenadiers et lui dit
Monsieur, conduisez ces hommes à Letoburg ou ils seront enfermé dans l'église. Veillez à ce qu'il soit nourrit et traité selon leur rang. Abatez tout Russe qui voudra porter la main sur eux.
Cela fait, Tchekov regarda les Français s'éloigner encadrés par les grenadiers. Il avait un air triste et pensa
Je m'en voudrais tout le restant de mes jours. Pourquoi a t'il fallu que ce maudit état-major me confie cette mission ?
Et il s'en alla l'air encore plus fatigué que d'habitude, vidant consécutivement plusieurs de ses flasques.
HRP // Cela clos le procès pour les Français. Sont faits prisonniers le juge Jean Bailly, les officiers Bouchu, Lejeune, Guila, et quelques autres officiers Français (nous cherchons quelques volontaires
, rassurez vous, le gite et le couvert sont assurés ! Les Russes, peuvent encore intervenir, mais ce sujet sera clos bientôt pour passer à un autre....
Les Français prisonniers peuvent ouvrir un sujets sur leurs réflexions de prisonniers
Merci à tous d'avoir participé, notamment à Styr qui a parfaitement joué le jeu de l'accusé. J'ai réellement apprécié.
Didier, mon ami, j'ai du obéir aux ordres du Tsar et de ces crapules du haut état-major. Ils ont menacé ma famille si je n'organsais pas cette mascarade pour attirer des officiers Français de haut rang. Excuse moi de t'avoir entrainé dans cette affaire. Notre honneur n'en sortira pas sauf.
Puis, il se retourna vers les officiers Français.
Messieurs, je confirme la situation. Vous êtes nos prisonniers. En tant qu'officiers supérieurs et de qualité, vous serez traités avec tous les honneurs du à votre rang. Mais la situation l'impose ! Votre empereur persiste à vouloir nous réduire au servage ! Qu'il en soit maudit ! Vous ne serez libérés que selon les conditions que notre état-major fixera et communiquera sous peu au votre !
Juge Bailly, sachez que j'ai du accomplir cela à mon coprs défendant et que j'en suis le premier désolé. Je veillerais personnellement à ce qu'aucun mal ne vous soit fait. Tout homme qui dorénavant portera la main sur l'un d'entre vous subira ma vengeance !
Tchekov appela le commandant des compagnies de grenadiers et lui dit
Monsieur, conduisez ces hommes à Letoburg ou ils seront enfermé dans l'église. Veillez à ce qu'il soit nourrit et traité selon leur rang. Abatez tout Russe qui voudra porter la main sur eux.
Cela fait, Tchekov regarda les Français s'éloigner encadrés par les grenadiers. Il avait un air triste et pensa
Je m'en voudrais tout le restant de mes jours. Pourquoi a t'il fallu que ce maudit état-major me confie cette mission ?
Et il s'en alla l'air encore plus fatigué que d'habitude, vidant consécutivement plusieurs de ses flasques.
HRP // Cela clos le procès pour les Français. Sont faits prisonniers le juge Jean Bailly, les officiers Bouchu, Lejeune, Guila, et quelques autres officiers Français (nous cherchons quelques volontaires

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Merci à tous d'avoir participé, notamment à Styr qui a parfaitement joué le jeu de l'accusé. J'ai réellement apprécié.
Juge suprême Russe et ministre de la justice à la retraite. Non pensionné !
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
Membre du régiment Baggovout.
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
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- vétéran Georges Pontmercy (Mat. 12207)
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- Inscription : mer. oct. 03, 2007 7:24 pm
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Rangeant en vitesse son matériel tout en gardant un simple carnet et un crayon dans la main, Georges Pontmercy fit un sourire au garde et agita ses ustensiles, comme si ils lui donnaient un pouvoir particulier, pour demander aux grenadiers Russes un petit instant.
Sans attendre leur réponse il se précipita pour rattraper Tchekov, sachant que si l'un levait un fusil vers lui il serait, théoriquement, abattu par l'un de ses voisins. Quelques grenadiers se lancèrent cependant à sa poursuite.
-Monsieur le juge, monsieur le juge !
Vous dites que c'est à votre corps défendant, qui vous a ordonné de faire cela ?
Ne craignez vous pas pour l'honneur de la Russie toute entière ?
Vous avez demandé -ne me touchez pas messieurs, sinon je fais un article sur les moeurs bizarres des grenadiers du Tsar qui vous fera rentrer chez vous la queue entre les jambes- vous avez demandé à ce que l'on ne nous fasse aucun mal, comment pouvons nous croire cette parole que vous avez donnée alors que vous avez fait venir Bailly et nombre d'autres officiers sur votre même bonne foi ?
Les soldats Russes l'emportèrent de force, mais tandis qu'il s'éloignait il eu encore le temps de dire une dernière chose avant que l'un d'eux ne mette sa main sur sa bouche:
-Si jamais vous voulez témoigner officiellement, demandez moi aux locaux de la gazette je serai ravi de vous humpfffffff...
/HRP MAINTENANT on peut clore: il fallait bien que je fasse mon boulot de journaliste ^^/HRP
Sans attendre leur réponse il se précipita pour rattraper Tchekov, sachant que si l'un levait un fusil vers lui il serait, théoriquement, abattu par l'un de ses voisins. Quelques grenadiers se lancèrent cependant à sa poursuite.
-Monsieur le juge, monsieur le juge !
Vous dites que c'est à votre corps défendant, qui vous a ordonné de faire cela ?
Ne craignez vous pas pour l'honneur de la Russie toute entière ?
Vous avez demandé -ne me touchez pas messieurs, sinon je fais un article sur les moeurs bizarres des grenadiers du Tsar qui vous fera rentrer chez vous la queue entre les jambes- vous avez demandé à ce que l'on ne nous fasse aucun mal, comment pouvons nous croire cette parole que vous avez donnée alors que vous avez fait venir Bailly et nombre d'autres officiers sur votre même bonne foi ?
Les soldats Russes l'emportèrent de force, mais tandis qu'il s'éloignait il eu encore le temps de dire une dernière chose avant que l'un d'eux ne mette sa main sur sa bouche:
-Si jamais vous voulez témoigner officiellement, demandez moi aux locaux de la gazette je serai ravi de vous humpfffffff...
/HRP MAINTENANT on peut clore: il fallait bien que je fasse mon boulot de journaliste ^^/HRP
Dernière modification par vétéran Georges Pontmercy le jeu. juil. 09, 2009 10:23 pm, modifié 2 fois.
"pontmercy ne cherche que le pouvoir. ce personnage n'a aucune limite dans son ambition aucune moralité. je prevois des jours tres sombre a la CDR si il continu a sevir. Avec L*** je les vois bien avoir conclue un pacte pour prendre le pouvoir a CDR"