Le bataillon "les rats blancs" 3095°,3096°et 11362

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Le bataillon "les rats blancs" 3095°,3096°et 11362

Message par vétéran Timéon Tidus » Dim Nov 11, 2007 8:55 pm

hrp: pour votre plaisir, quelques extraits de rp interne à la GI

05 Novembre 1812


Tidus se tenait au milieu de ses hommes. 189 près au combat. Il faisait nuit et les flocon continuait de tomber. Tidus peu impressionné par le froid se tenait droit, fusil à la main. Ses caporaux et sergents à ses cotés grelotaient et se frottaient les mains ainsi que le reste de sa compagnie. Puis au loin les premiers coups de feu retentirent.

-Messieurs le grand prévôt vient de lancer l'attaque je pense que nous ne devrions pas les laisser tout seul à tuer du russe!

Ses hommes acquièrent et deux trois hommes crièrent Pour la Gendarmerie!

Tidus se retourna en souriant vers ses sous officiers. Messieurs progression comme prévue, Arkios nous rejoint par la gauche. D'ici demain matin Antoine de Foissac nous aura rejoint et vers midi Delacroix aussi, jusqu'à là on est seul. On avance, on prend pied sur la berge et on creuse des abris avec les pelles que Gautier nous à procuré du Génie. Avec toute cette neige y'a de quoi faire des petites palissades pour nous abriter, je veux un QG bien protéger sur la berge les autres tout autour en progression vers l'avant. Bien Messieurs?. La troupes acquiesça et la compagnie se mit en marche.

Dans l'obscurité et en se frayant un chemin à travers la neige qui atteignant presque 1m d'épaisseur à certains endroit ils quittèrent la mine. Puis une fois sur la rivière gelé les éclaireurs repérèrent les zones où la glace était trop fine. En effet la rivière avait gelé pendant les dernières nuits mais la neige l'avait déjà recouvert de plusieurs dizaines de cm. Puis les premières silhouettes ennemis firent leur apparition et les premier coups de feu retentir.



[center]
***[/center]

Il faisait jour maintenant et Tidus était accroupis derrière une sorte de mur de neige. Ses hommes avaient érigé des petits murs de neige avec les pelles pour s'abriter de l'ennemi et du vent et la poche où Tidus se trouvait était le petit QG de campagne de la 3095°. Des aides de camps et messagers était disposé autour de lui ainsi que plusieurs blessés et médecins. Des meurtrières dans la barrières de neige permettait le tir ou l'observation, ce que Tidus faisait avec sa longue vue.

-On va devoir replier les hommes un peu en arrière on à dut subir pas mal de perte. On attends Mathieu qui doit comptabiliser les morts et blessés.

Quelques minutes plus tard un gendarme sauta dans l'abri.

-Monsieur au rapport.

-Bien alors, on en est où?

- 15 morts et 39 blessés, monsieur, on à dut leur rendre la pareil.

-Quel sont les nouvelles à coté?

-Les russes ont été sacrément surpris, deux compagnies ont déjà été anéanti par nos troupes mais les hommes de Delange...

-Que leur est-il arrivé il devrait déjà être là.

-La glace n'était pas assez épaisse là où ils ont traversé. Presque aucun à survécu. Mais l'officier Delange à eu de la chance, i lest en vie, il devrait arriver d'ici peu pour vous supporter à pied avec les survivant.

-Et Etienne où en est-il?

-La 3096° est complète et est entrain de se ravitailler en munition et aliment à la mine ils vont nous rejoindre sous peu.

-Foutre dieu, on à trop de blessés pour tenir ici. On recule un peu pour s'aligner sur les hommes de Antoine et Lasalle. Contactez les postes avancés.

Plusieurs messagers sortirent du couvert et coursèrent dans les traces laissés par les hommes dans la neige pour rejoindre les différents hommes dispersés et retranché dans la neige.
Dernière édition par vétéran Timéon Tidus le Mar Nov 27, 2007 10:07 pm, édité 3 fois.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Dim Nov 11, 2007 8:57 pm

07 Novembre 1812


Les hommes de Tidus avait placé un tonneau au centre de l'abri glacé qui constituait le QG de campagne de la 3095° et installé un toit en toile pour abriter de la neige. Tidus et ses sous officiers se tenait réunis autour de quatre tonneaux de poudre vide qui servait de table de cartes. La carte montrait l'alignement parfait des troupes de la Gendarmerie face à la ville, les marais et les forêts russe. Arkios Delange qui avait réchappé de peu à la fin tragique de sa compagnie de cavalier se tenait à carreau.

Tidus regarda encore une fois par la sortie arrière et put encore distinguer dans les dernières lueurs les chemins battus, voir creusés par les soldats vers les réserves de poudre et l'hôpital de campagne installé dans la mine. Même à cette heur ci des soldats transitait encore entre front et arrière, amenant blessés en arrière et ramenant poudre et munitions en avant.

Tidus se retourna vers la table de carte et enleva son gant droit pour désigner un endroit de la carte.


-Messieurs, la 1659° russe est encore en place ici décidément motivé à tenir jusqu'au bout, elle devrait tomber d'ici demain.

Tidus pointa du doigt une zone plus au nord.

-Je viens de recevoir une missive du Lieutenant Bailly, son incursion à portée ses fruits et la compagnie engagé à reculé, nous laissant la 6619° et la 1551° russe qui nous dispute la berge. L'attaque de ce soir et demain devrait les repousser et nous pourrons prendre cette foutus berge. D'après nos éclaireur une compagnie de voltigeur se cache dans la forêt, elle devra être débusqué. Par le sud arrive plusieurs compagnies russes, on compte sur la Ière Division, qui viens de se mettre en marche, pour s'en occuper...

Tidus se retourna vers Mathieu second au 3095° et lui demanda

-Et où est Delacroix, il aurait dut nous rejoindre hier à 12h!

-Monsieur, la compagnie de M.Delacroix a été retardé. La logistique n'avait pas prévue son arrivé au front aussi tôt. Il vous fait dire qu'à son plus grand mécontentement il ne pourra nous rejoindre que dans la soirée ou demain.

Tidus fronça les sourcilles, agacé par le retard mais en même temps heureux de revoir son ami Delacroix, se gros bourru était devenu un frère pour Tidus.

-Bien la séance est levé, messieurs, retournez à vos postes, faites passer le message au troupes que leur commandant est fière d'eux.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Dim Nov 11, 2007 8:58 pm

08 Novembre 1812


Nous voilà le soir du 3ème jours de l'assaut. Tidus avait replié sa compagnie sur le haut de la berge française et venait de recevoir des renforts en hommes, dès que suffisamment de munitions et de nourriture serait acheminé à leur position ils repartirait au combat, les blessés restant en arrière.

Tidus sous sa tente observait la carte qu'il venait de recevoir d'un messager de Clément. La GI avait enfin pris la berge, les marins du bataillon du Ltn Fisdohit en premier et les combats faisaient désormais rage près de glar' elle même. Peu de pertes à signaler sauf une compagnie indépendante anéanti par la mitraille russe et une autre en difficulté, comme si les russes avaient peur de la GI, mais certains rapport de pertes Gendarme était tout de même répertorié, notamment dans les dernières heures dans la compagnie même du Cpt De Dare.

Tidus pris la dernière missive, une lettre de Delacroix. Les deux amis c'était rapidement parlé lorsque les hommes de Delacroix vinrent prendre les positions de ceux de Tidus pour leur permettre le retrait.

La nuit tombait et le bruit pas si lointain de coups de feu sortirent Tidus de son état pensif. Il devait rejoindre les locaux de l'EM, il y était attendu: ces trois derniers jours il les avaient passés au front, il devait absolument aller à l'EM. Tidus Appela un aide de camps et fit préparer un cheval et une escorte. Mathieu s'occuperais de la compagnie en attendant son retour, la 3095° était entre de bonne main: Mathieu Nalar, sergent chef de la 3095° était un remarquable stratège et un homme d'action, bref un Gendarme de qualité.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Dim Nov 11, 2007 8:59 pm

11 Novembre 1812


Delacroix était assis derrière un arbre à moitié englouti par la neige. Ses 100 hommes disposé par 5 ou 6 enfouis dans des trous de neige partout aux abords du marais gelée. Les cartographes les avaient prévenue de l'arrivée de la 1191° russe par ce chemin et ils Delacroix avait choisi rapidement la moitié de ses hommes pour tendre une embuscades au satanés royalistes des partisans du lys.

Le vent soufflait et on pouvait entendre les pas lourds et le bruit des bottes sur la terre gelée et les corps des soldats russes se frayer un chemin à travers des poches de neige atteignant des fois le mètre de hauteur. Delacroix était originaire de haute montagne et la neige ne lui posait aucun problème et ses soldats, des gendarmes, étaient parmi les meilleurs de tout l'Empire grâce aux critères d'admissions draconiennes à la Gendarmerie. Ils allaient faire payer aux russes leur témérités de s'avancer autant vers les lignes française.

Etienne posa son fusil et sortit de sa poche sa longue vue. Il observa par dessus le rebord de son trou de neige l'avance ennemi. Une longue colonne, d'environ 180 soldats d'après lui, s'étirait sur une bonne centaines de mètres. Aucun signe d'éclaireur ni de reconnaissance russe: ce laxisme fit sourire Delacroix, les russes étaient une proie facile.

Etienne rangea sa longue vue et pris d'une main son fusil, et de l'autre fit signe à son caporal de déclencher l'attaque. A la même seconde les premiers coups de feu tombèrent et avec eux les premiers russes. La colonne fut frapper de plein fouet par les tirs précis délivrés par les gendarmes embusqués. Les russes se dispersèrent tirant les blessés derrières eux et tirant au hasard dans la direction de leur agresseurs. Delacroix épaula son fusil et mis en joue visant le porteur du drapeau. Le tir partie mais un soldats déjà blessés à la tête tituba aveuglé sur la trajectoire de la balle et fut projeté à terre lorsque son torse explosa sous une gerbe de sang qui vint teindre la neige de rouge. Déjà une bonne vingtaine de russes gisaient au sol morts, où hors de combat. Etienne entrain de recharger cria à ses hommes de changer de positions comme prévue. Les russes qui c'étaient remis de la surprise commencèrent à tirer là où il pensaient les français, mais ceux-ci c'étaient déjà mis en marche pour rejoindre d'autre positons de tirs. Les silhouettes courant à travers les sous bois et la neige étaient des cibles misérables pour les russes qui ne firent que gâcher leur munitions.

Etienne sauta derrière un rocher et mis en joue une nouvelle fois. Il avait déjà abattu deux hommes et un troisième ne serait pas de trop. Les russes c'étaient replié vers quelques abris et Etienne dut attendre quelques instants avant d'avoir une bonne cible: visiblement un vétéran voir même un sous officier qui tirait derrière lui un jeunot qui tenait ses entrailles dans les mains. Sans pitié Etienne fit feu et le sous officiers fut projeté à terre lorsque la balle vint se loger dans l'arrière de ça tête, le faisant lâcher le pauvre russe criant sans interruption et s'affaler face à terre dans la neige.

Finalement après quelques cinq minutes de combats Delacroix cria le replis, les russes n'ira pas plus loin aujourd'hui et il n'avait pas la totalité de ses hommes, mais l'embuscade avait valus le coups. Les Gendarmes se replièrent en ordre couvrant efficacement leur retraite mais cela était inutile, les russes étaient trop occupé à ramasser leur blessés.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Jeu Nov 22, 2007 9:39 pm

22 Novembre 1812

Delacroix était abrité un mur de neige érigé rapidement entre montagne et rivière en avant des lignes française. La 3096° compagnie de ligne au grand complet déployé tout atour de sa position dans des tranchées de neige et de quelques planche ou baril de poudre vide. Leur but était simple: tenir et encaisser pour permettre aux compagnies derrières d'aller frapper leur cible.

Ils avaient passés la nuit dans leur abris et 3 gendarmes étaient mort de froid... la plus par de leur compagnons les méprisaient pour cela, les idiots qui meurent de froids non aucune place dans le bataillon des "rats blanc". Etienne pouvait voir ses hommes, abrités derrière leur couvert par 5 ou 6 dans chaque trous de neige, fusil toujours près, lourd paquetage et une pelle par soldat adossés à des planche ou dans des creux dans la neige. Ses hommes étaient très bien équipé et très expérimentés, des gendarmes de qualités.

Le ciel grisâtre faisait supposer Etienne que le jour venait de ce lever et les russes ne tarderais pas à sortir de leur trous. La ligne de trous de neige occupé par la 3096° et flanqué par les positions de la 3095° commandé par Nalar. Soudain des coups de feu retentirent et des cris d'alerte fusèrent: les russes en force a parement tout foutus bataillon, plus de 450 hommes fonçait sur eux. la journée allait être longue.

***


Etienne rechargea rapidement et tira à vue de nez dans la brume. Un cris et un bruit de chute lui répondirent, accompagnés de gémissements, puis des pas de courses et 5 russes apparurent au bord de l'abri de commandement de Etienne. Pris au dépourvus les deux soldats à coté d'Etienne furent touchés respectivement au bras et au flanc et s'écroulèrent. Etienne tira sa baïonnette et manquant de temps pour l'accrocher à son canon la lança directement sur le russe le plus proche. La lame virevolta et alla se figer dans la poitrine du russe. Les 4 autres russes sautèrent dans l'abri et un violent corps à corps éclata. Les 3 hommes restant à Etienne avait eu le temps de mettre baïonnette au canon et rapidement le combat se termina au profit des français.

Etienne se retourna vers un des ses soldats qui finissait d'achever un russe à terre en lui plantant la baïonnette dans le cœur et lui ordonna


Va contacter les autres poches je veux un rapports des pertes et des blessés dans 15 minutes au plus tard. Vite

-Bien Monsieur, Le jeune gendarme exécuta l'ordre prestement sortant tête baissé de l'abri et courant de poste en poste pour chercher les renseignement nécessaire.


Etienne pesta, les maudits russes avaient frappés en force et ses hommes avait peu eu l'occasion de riposter efficacement, mais la ligne tenait c'était le principale, ce soir il se remplirait.

Presque 20 minutes plus tard alors que trois infirmiers emportait les deux gendarmes blessés parmi le groupes de Delacroix le gendarme envoyé sauta dans le trou et fis son rapport.


"Des mauvaises nouvelles monsieur, le nombre d'hommes valides baissent d'attaque en attaque russe. Heureusement nos abris nous protège bien du feu ennemi et peu de blessés sont à déplorer mais un grand nombre de blessés plus ou mois grave. Environ 11 morts et plus du double de blessés.

Etienne fronça les sourcils et acquiesça, la journée était encore longue et ce bilan allait s'alourdir.


***


Le replis était entamé, la mission était accomplis, les russes arrêter un moment mais le prix à payer avait été important. Presque chaque hommes valides portait en plus de son paquetage un gendarme blessés sur le dos ou sur une civières improvisé. Mais le moral était toujours au beau fixe on pouvait entendre des rire et des encouragement alors que la 3096° rejoignait son campement derrière les lignes. La 3095° les avait rejoint après cette journée en première ligne moins dévastatrice pour eux et apportèrent la mauvaise nouvelle que la 11362° de chasseur à cheval était tombé dans une embuscade russe près de la ville. Delange avait été hospitalisé dans l'hôpital à la caserne de la GI.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Mar Nov 27, 2007 10:08 pm

26 novembre 1812

Delacroix était confiant, ça 3096° compagnie de ligne avançait à travers la neige et allait bientôt engager l'ennemi. La 3095° commandé par Nalar avait déjà frapper les russes à l'avant et Delacroix comptait bien en profiter pour frapper fort. La cible était la 3965° compagnie russe des partisans du lys du commandant Michel Foster. Les silhouettes grisâtres des hommes d'Etienne étaient à peine décelable car les gendarmes, "les rats blanc", avait enduit leur uniforme de neige et crasse gris blanche et leur nouveau manteau d'hiver dernièrement arrivé de France était blanc comme neige: le tout résultait en un camouflage optimal.

un caporal vient à coté de Delacroix et lui souffla:


"Les russes sont droits devant, beaucoup de blessés, ils ont l'air plutôt mal en point. A une centaine de mètres au sud est.

-Bien, attaquons, pas la peine d'attendre. Vous prenez le flanc droit avec les nouveaux, Sergent vous prenez le flanc droit. Attendez mon signal."

Ils avancèrent menés par les éclaireurs et entrèrent en contact visuel des russes. On pouvait voir des infirmiers soignant des blessés grave et couvrant le sol de rouge, alors que le reste des soldats entassaient les morts ou préparaient manifestement le replis. Delacroix souria et fit le fit à son flanc droit le geste de démarrer l'attaque.

la première salve fut dévastatrice: le flanc droit constituer de vétérans fit feu à l'unisson et soldats, blessés et infirmiers furent fauchés sans distinction. Les cris de douleurs furent rejoint par les cris d'alerte et les russes courraient pour ramasser leur fusil. mais il était déjà trop tard. Le flanc gauche ouvra le feu et faucha encore plus de russes dans leur courses. Rapidement les survivants commencèrent à ce replier laissant leur campement dévasté et parsemé de morts et blessés tout en essayant de riposter mais les flancs français c'étaient déjà repositionnés. L'officier supérieur russe sur son cheval accompagné par son porte drapeau tentait de garder un minimum d'ordre dans le replis mais ses efforts était que maigrement récompensé et ses hommes était sur le bord de la rupture.

"Chiens de royalistes ! On y va! cria Delacroix leva son fusil courant direction des russes reculant avec 70 de ses hommes. les russes manifestement ne répondirent que par de rares tirs qui ne trouvèrent aucune cible plus occupés à sauver leur peau ou tout simplement privé de fusil. Les gendarmes s'arrêtèrent à protée de tir en plein milieu de ce que fut le camps russe et ouvrirent le feu. Les russes tombèrent comme des mouches et prirent leur jambes à leur coups, c'était la débandage, même l'officier ruse dut l'admettre et se replia. Derrière eux les russes laissaient morts, blessés, matériels, armes et nourriture.

Le restes des gendarmes vint rejoindre leur camarades dans le camps russe et les cris de victoire vinrent rejoindre ls cris de douleur et les gémissements des blessés au sol. Delacroix frappa du pied en souriant un tonneau vide et cria:


"Beau combat mes braves! Ces chiens de royalistes se souviendront de la Gendarmerie Impériale!
Ramassez les plus de nourriture et de munitions aucune raisons que les russes viennent le récupérer plus tard, et achevez moi les blessés, mieux vaut mourir de la main de son ennemi que mourir de froid vidé de son sang. Exécution nous partons dans 5 min.

Les gendarmes passèrent rapidement le périmètre au peigne fin ramassant les munitions intacts et les choses mangeables, alors que des vétérans de la compagnies achevait les blessés en leur tranchant la gorge et faisant un bref signe de croix au dessus de chacun.

5 Minutes plus tard l'ordre fut donné de se replier vers les positons française. et la 3096° des "rats blanc" se mis en formation de marche.
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Message par vétéran Timéon Tidus » Lun Déc 03, 2007 8:46 pm

29 Novembre 1812

Tidus était en première ligne, depuis trop longtemps d'après lui le travail à l'EM et au palais de justice l'avait trop éloigné de ses hommes à son gout et il savourait chaque vie russe qu'il prenait , chaque coups de sabre, chaque tir de pistolet, l'odeur du sang, de l'acier, de la poudre et de la mort le rendait ivre de colère et le faisait retrouver ses accès de colère et de rage d'antan lorsqu'il menait ses hommes dans n'importe quel merdier.

L'assaut des royaliste n'avait que put réussir par un surnombre et la fatigue française mais Tidus comptait bien faire payer les russes pour leu imprudence.

Un violent corps à corps s'engagea à nouveau et les lignes française et russe se fracassèrent et le carnage continua avec dévotions, cependant au corps à corps ces chiens de traitres royalistes étaient largement dominés par des gendarmes expérimentés et assoiffés de combats.

Tidus frappait de son sabre et tranchait bras, tête et doigts en criant toute sa haine. Un coups de crosse de fusil vint frapper son dos mais Tidus tira dans son dos avec son pistolet et le russe tomba la gorge déchiqueté. Nalar, le sergent chef à Tidus dans la 3095° passa à coté de lui en achevant un russe qui tentait sur ramper hors du combat en lui enfonçant le crane de sa croisse. Des coups de feu retentissaient tout autour d'eux et le sol enneigé parsemé de morts et de blessés se couvrait de rouge. Tidus se retourna vers le prochain russe près du lui mais à ce moment même une douleur atroce traversa son système nerveux et un éclair de douleur l'aveugla alors que son visage était jeté sur le coté et que ses jambes le lâchèrent. Tidus se sentit tomber et lâcher son sabre. Il tomba sur le coté droit et resta couché immobilisé par la douleur. Sa vue c'était restreint à un mince gribouillis rouge blanc teinter de nord et son ui avec presque disparus. Il leva sa main droite péniblement et toucha la zone d'impact de la balle. Son visage était couvert de sang et Tidus ne pouvait faire la différence entre peau saine et déchiqueté tellement le sang recouvrait tout. Il entendait son nom être crié au loin mais ne pouvait répondre, tout mouvement lui faisait mal , et même le simple fait de réfléchir lui procurait des douleurs indescriptible. Soudainement des bras l'empoignèrent sous les aisselles et commencèrent à le tirer en arrière.


...il faut le sortir de ... vite...

La voix de Nalar

..put... de mer... vite vite bande de trainard...

La voix de Delacroix son adjudant et une paire de bras virent se rajouter à ceux qui le tirait déjà.

....INFIR....ERRRRRRRRRRR.......INF.....MIERRRRRRRR.....

Tidus croyais entendre la voix du caporal Bertier mort plusieurs mois auparavant, impossible...

Puis tout sombra dans le noir...



***



Tidus se réveilla. Il ne pouvait bouger la douleur le tenait dans es griffes acéré et l'empêcher même d'ouvrir les yeux a parement. Non l'œil droit se laissait ouvrir. Le gauche était recouvert d'un pansement... Tidus tourna la tête et aperçu Delacroix qui se tenait au bord du lit de cmaps ou il reposait.

Que c'est-il passé?

Delacroix grimaça puis expliqua la situation à son supérieur.

Heureux de vous voir en vie Timéon. On a bien crus qu'ils vous avaient eu. Balle en plein visage Cpt-Adjt Major, vous à pulvérisé l'œil gauche, vous avez un crane solide la balle n'a pas réussis à déchiqueter plus qu'un morceau d'os et de chair en plus de l'œil, sinon vous seriez mort. Cependant le toubib pense qu'il y'aura des séquelles, maux de tête, migraine, peut être des petits problèmes nerveux, des trucs comme cela.

-Etienne, prenez de quoi noter, j'ai une missive pour l'EM, j'ai pris une décision, bien qu'elle me soit difficile à prendre, je suis obliger, je ne suis plus en état.
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