La Campagne de Russie

Tchekov attrapa son ami De Castillon par l'épaule et lui dit

L'allusion, j'en ai bien une en tête, tu devait trouver une charade il y a bien longtemps et j'attends toujours ta réponse !

Tu paieras donc ce soir !

Et il éclata de rirre

Allons buvons gaiement, demain sera dur ! Ces maudits Franskis nous rendent la vie difficile. Mais quel plaisir de leur trouer l'uniforme.

un plaisir si grand, aussi rare que grand chez vous en ce moment d'ailleurs...

gapowen qui, suite à la phrase "...vermine française..." attendait la premiere occasion pour railler un russe ne put s'empêcher de ne pas rater l'occasion...

voulez vous que vous troue l'uniforme à vous pour voir comment est-ce de près?

sans attendre la réponse du russe gapowen pris un couteau et avec un geste habile et rapide, il pris le couteau qu'il gardait dans sa poche et le plantat dans le manche du russe, il eu fallut d'un seule minimètre de détour et le couteau aurait fais gicler le sang du russe

j'ai bien voulu vou laisser ce poignet pour ne pas vous enlevez ce grand plaisir de troué des uniforme...
à une chose...même si je suis un "franskis" lieutenant, je sais me battre individuelement mieux que n'importe qui qui m'ai déjà affronté

avant la dispute général gapowen s'assit et demanda une vodka, mais une bonne pas comme celle qu'on donne à ces vermine de russes


HEY J'OUBLIAI DE VOUS DIRE MERCI; GRACE A VOUS J'AI ENFIN UNE COULEUR PRÉFÉRÉE: LE VERT TROUÉ!!!!ces dernieres paroles avait retentit dans toute la taverne...

Tchekov pris le couteau planté dans sa manche et le retira tranquillement. Il marcha avec lenteur vers la table ou Gapowen s'était assis et posa le couteau sur la table.

Monsieur, je ne vous connais pas, mais il me semble que vous ayez égaré ceci. Vous en aurez besoin plus tard.

Puis, levant lentemant la main, il porta un soufflet sur la joue du jeune lieutenant.

Ceci, est pour le trou dans mon uniforme. Certain des votres en ont fait d'autres au front et cela je l'accepte. Mais ici jeune homme, on garde son calme. Si vous souhaitez donner suite à notre dispute venez me rejoindre sur le front. Mon bataillon se fera un plaisir de corriger le votre.

Tchekov se retourna et rejoint ses amis et après avoir vidé son verre ajouta.

Je regrette le temps ou les officiers Français avaient du savoir vivre. On n'interompt pas des amis qui boivent. Tavernier, une autre bouteille.

mon ami,

ce s/l qui est en fait un lieutenant, doit avoir soif.

les français ne savent courir que quand ils attaquent et là ils se sauvent.
gardons la vodka, mais offrons leur un verre d'eau.
il a tellement soif, qu'il ne sait ce qu'il dit.

à la tienne gapowen, et bon week-end ! j'aime bien l'anglais.

Le Colonel Miroslav Poniatowski entra en trombe dans la Taverne, accompagné de plusieurs hommes.

Tavernier, servez nous une bonne dizaine de vodka pour moi et mes hommes ici présents, puis préparez en une bonne dizaine de plus pour la seconde tournée !

Un jeune Sous Lieutenant se tourna vers le Colonel

Mon Colonel, si puis je me permettre que fêtez vous ainsi ?

Miroslav regarda cette jeune recrue et se mit à rire

Mon Dieu mon petit, mais aujourd'hui c'est un grand jour pour toute la Russie, le Colonel Alexandre Ivanovitch vient de réapparaitre à l'Etat Major, alors que nous étions sans nouvelle de lui depuis 1 mois.
Son retour était notre dernier espoir pour redresser l'armée en déroute, c'est d'ailleurs ce qui l'a fait revenir visiblement, maintenant tout est possible.

Se tourna vers le tavernier

une vodka de plus pour notre amis !

Puis s'adressa à nouveau au sous lieutenant

Laisse moi donc te raconter les faits de guerres de celui qu'on appelait autre fois "Alexandre le Grand" lorsque soudain une horde d'officier Russe faisait grand bruit dans la rue et s'apprêtaient à rentrer

Le Major Molokov Povitch arriva dans la taverne, ses hommes étaient joyeux. Il aperçu les hommes du Colonel Poniatowski et se dirigea vers eux afin de fêter l'événement ensemble.

Tavernier ! cinq bouteilles de Vodka pour nous !

Ola je crois que les russes reprennent des forces, il n'y a plus seulement les Pavlov qui fréquentent donc les tavernes, allez tavernier faites donc coulez la vodka à flot pour profiter de toutes ces bonnes fréquentations!

Nicolas Dimitriev se leva tout à coup de la table avec de nombreux officiers Russes, ils se rapprochèrent de la table de Gapowen.

hé, l'ami, il parait que tu ne sais pas te tenir comme un gentilhomme...

chez nous, en Russie, les enfants qui ne savent pas se tenir on les éduquent, il arrive parfois qu'un enfant n'arrive pas à se tenir, qu'il devient violent, alors soit on lui raconte une histoire sur les Pavlovs, soit on l'attache et on le baillone à un chaise....
avec les amis ici, on s'est dit que avec ta grande gueule, te raconter une histoire sur les cosaques ne te ferait rien, on a donc opté pour le seconde solution...

gapowen finit par comprendre se que voulait dire le Russe, surtout au moment où il y en a un qui arriva avec une chaise et de la corde.
il tenta de prendre son sabre, mais il n'eut pas le temps, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il se retrouva attaché et bailloné à une chaise...
les Français à coté voulurent réagir, mais les Russes, plus nombreux montrèrent qu'ils étaient prêt à se battre. Les Français se résignèrent à laisser gapowen attaché...
finalement, les Russes emmenèrent le pauvre Français à coté de leurs tables pour éviter que les Français le détache...

il parait que quand j'étais petit, on ne m'a jamais réussi à m'attacher à la chaise...pourtant, ils s'étaient mis à une dizaine, et des gens bien plus costauds que nous... les Français ne valent vraiment pas les Russes...

Tchekov regardait cette effervescence Russe avec plaisir.

Messieurs, profitez en ! C'est ma tournée. Le temps de la reconquète à sonné pour la Russie. Nous allons commencé par vider toute la vodka de cette taverne et après nous viderons les Franskis de ce pays.

Officiers de l'armée du Tsar, heureux de vous revoir de bonne humeur ! C'est mauvais signe pour les hommes du nabot.

Il attrapa un flacon de vodka, le porta à ses lèvres et le vida.

Na zdorovie

gapowen,étonnamment se mit à rire, il avait passé 14 ans de sa vie à barcelonne et savait donc que dans toute taverne et/ou bateau, il fallait toujours garder un as dans sa manche, cette fois-ci se fut un couteau, et oui adorateur de couteau et d'éscrime, presque autant que la lutte rurale, en moins d'un "ouf" il se démêlai et fesait tomber le soldat qui lui avait attaché avec une vieille technique aprise dans le bas-fond de madrid...

hahahahahaha...vous ne punissez vos gosse rien que comme cela??c'est bien peu pour moi qui ai vecu 12 ans dans des rues là où les châtiment ne sont ni des contes ni des "emprisonnement" mais bien une battaille de 20 gaillards en tout où tous les coups sont permis...mieux vaut se faire beaucoup d'amis la-basgapowen avait la larme à l'oeil...car il sont tous fidèles; près à mourir pour un ami...mon meileur ami est mort comme cela et je dus "mourir" pour le "gang" qui m'en voulait...

puis prenant l'air qui le fesait être détesté par tous ceux qui l'observait, un air de supiriorité presque offencente:

vous comprenderez donc messieur que, n'ayant pas les manières d'un gentleman, j'ai les poings d'un défeseur de cordes...maintenant relève-toi officier...il tendit la main vers le sodat russe au sol qui le pris

BATS-TOI COMME LES RUSSES SAVENT SI BIEN LE FAIRE: À MANCHE RELEVÉ!!

le combat qui s'enssuivie fut rude et chaque officier se retrouva au sol au moins 10 fois...au bout d'1heure et demi on décidai d'arrêter le combats sur un match nul; les deux combattants étant bleu comme la mer et blessé comme les morts ne le peuvent être...

-à quel combat...ça fesait longtemps que je ne battai pas, du moins comme cela...allez grâce à vous je vais me payer la tourné générale à ma companie alors 2 ou 3 verres de plus ne changerai pas grand chose à ma perte d'argent; je vous invite:
se tournant vers le tavernier

TAVERNIER!!!!
-heu...je suis juste ici messieur
--à oui excuses-moi 3 choses non... 4: bn primo: ramène moi deux bouteilles de ...
-mes plus vieille vodka?
-exactement une autre bouteille de...
-éclats d'ocre
-je suis venu tellement pour que tu connaisse mes gout comme ça moi??
-et bien dans les 3 derniere semaine vous Êtes venus 33 fois donc...
-okok, bon et la 4º...
-de l'alcohol pur
-non écoute-moi:TUTOIE-MOI À LA FIN!!!
se retournant vers l'officier russe:
que voudrez-vous mon ami je vous offre une bouteille de ce que vous voulez; après un combat comme cela...

davout toujours sonné par ces russes arrogant se rassis


puis d'un ton calme mais distinct et plutot fort il dit


la garde du tzar recul beaucoup et toutes les troupes russes avec, ne vous amusez pas de gagner contre 3 fois moins de français.


surprise dans quelque jour vous verrez de quoi est capable la Grande armée.



davout mis son bicorne sur ses yeux et commença a roupiller

ami gapowen...j'accepte volontier un verre...j'accepte n'importe quel substance...du moment que c'est bon.

avez-vous goûter cet exellent vin qu'est l'éclat d'ocres?
ai ce n'est pas le cas je partagerai bien ma bouteille avec vous...

c'est pas de refus...

gapowen ouvrit la bouteille et servit un verre à Dimitriev qui en bu

oui, il est vraiment excellent...c'est ça que j'aime avec les bagarres de tavernes...le verre que les combattants se partagent après le combat...

vous avez bien raison.... maintenant je vais partir , je déconseille tout russe, aussi bon combattant qu'il soit de rester dans cette taverne pendant plus de 2 heures: même à 30 bons combattants, vos 60 bons poings ne suffiront pas contre 400 poings qui veulent du bon alcohol...ensuite c'est vous qui voyez mais ma companie et à une heure d'ici à pieds donc...

bons mon amis j'y vais sinon mes brave barcelonnais vont me frapper et 400 poings contre 2...bons, on se voit sur le champs de battaille!!!