Journée au bar ..

[vétéran Kurzlag]

Allez c'est repartit pour une tournée!

[vétéran Ferrey]

Ferrey qui était en train de manger regarda les russes

-Vous me décevez Roman, etre en train de boire sans limite et de plus joué.....je ne sauverais pas la taverne tout le temp lors de vos exitation.

[vétéran Roman Récit]

Je suis russe Ferey, je peut boire tant que je veut, je ne perd ma sobriété qu'à partir de quatre bouteilles de Vodka entières, et je m'arrête généralement à 3...

Quand à jouer, c'est bien la première fois... Et moi il se tournat vers les cosaques, je n'ai jamais mit le feu à aucune taverne... J'ai joué une petite somme par rapport à mes finances, et je ne ferais probablement faillite que lorsque j'aurais perdut un bon millier de parties similaires...

[vétéran Molokov Popovitch]

Molokov grattait le nom de l'adjudant d'Antoine de Froissac sur le sabre de sa femme. " Théophile Malhorme (mat 879) "
Tellement concentré par son travail, il n'avait entendu la question de celui-ci.

[vétéran Nicolaïe III]

Nicolaïe pénétra alors à son tour dans la taverne, il n'y était pas revenu depuis son arrivée.
Apercevant son capitaine il le salua puis s'assit à sa table.

Bien le bonjour capitaine comment vous portez-vous?

Puis apercevant un gendarme il haussa la voix

Alors il paraît que la gendarmerie bombe le torse en ces lieux et qu'ils se laissent aller à la vantardise... En tout cas je suis à leur contact direct au front et tout ce qu'ils savent faire c'est reculer sans interruption, ce que je vois le plus des gendarmes c'est leur dos quand ils détalent!

[vétéran Molokov Popovitch]

Molokov posa soigneusement le sabre sur la table.

Bonjour camarade Sous-Lieutenant Nicolaïe III, Je vais pas très bien en ce moment. Je dors plus depuis la missive que notre Major a reçu. Puis un nommé De Villeneuve a fait du mal au canon de notre Colonel.

HrP: je suis Chef de Bataillon maintenant

[vétéran Antoine de Froiss]

Voilà donc quel était le scénario. Invité à discuter à une table , il se retrouvait attaqué de part et d'autre. Toujours l'air fier, il ne semblait pas le moins du monde concerné par ce qui était dit alors qu'Anthelme tentait tant bien que mal de se contenir. La devise du Bataillon de Dare n'était-elle pas: " La peur d'un gendarme est le commencement de la sagesse " ? Quoiqu'il en soit, juchant les deux acolytes russes, il leur répondit dans leur langue natale.

" La Gendarmerie recule en effet, il n'est pas facile de combattre au milieu d'incompétents. "

Son regard se posa non loin de là, sur l'officier Ferrey qui appartenait au 8° Régiment d'Infanterie. Puis revenant à Popovitch.

" Il semblerait que pour que le nom de mon adjudant figure sur votre arme il ait une importance considérable. Cela est un honneur pour nous, et me le montrer me flatte d'autant plus.

Pourquoi m'avoir fait venir en ces lieux ? "

[vétéran Nicolaïe III]

Mille excuse je n'avais pas vu vos nouvelles épaulettes, mes félicitations.

Tavernier, apporte-nous à boire pour cette promotion!

Il ne faut pas que cette affaire vous tourmente ainsi, les français sont bons pour les discours et la provocation, c'est l'apanage des faibles. Bien que n'étant pas là depuis longtemps j'ai bien vite remarqué qu'ils ne font pas preuve du même talent au combat que dans leurs babillages.

De plus cet affaire n'a eu qu'un effet bénéfique, toute l'armée du Tsar s'est sentie insultée et on observe une avancée sur le front comme je n'en avais encore vu. Les soldats français tombent comme les flocons de neige au coeur de l'hiver Sibérien.

Un gros bonhomme apporta alors de la vodka.

A votre santé chef de Bataillon, et à la mort des français!

Puis se tournant vers l'officier français qui était là.

Monsieur bien que vos hommes n'aient apperemment pas entendu parler de la bienséance je vais vous prouver que nous autres Russes ne mangeont pas de ce pain-là, asseyez-vous donc je vous offre à boire!

[vétéran Antoine de Froiss]

Antoine n'avait dit mot. Il préférait laisser le temps faire les choses et peut-être que les échanges avec les russes seraient moins virulents autour d'une vodka. Prenant place autour des deux acolytes de l'Armée du Tsar, il fit signe à l'Adjudant Monté de prendre place à ses côtés. Ce dernier, toujours la main non loin du sabre était plus que jamais sur ses gardes et le mutisme de l'Officier Popovitch commençait à peser lourd.

Le Vice-Prévôt tenta donc d'apaiser son sous-officier:

" Nec pluribus impar. Cesse donc de te tracasser et bois, tu verras qu'il ne nous arrivera rien et à tes hommes sur le terrain non plus. "

[vétéran Nicolaïe III]

Un messager s'approcha du jeune officier et lui tendit une missive, après l'avoir parcouru du regard, il releva les yeux et fixait Froissac.

Ainsi donc pendant que nous étions assis là vos hommes ont attaqué les miens et j'apprends qu'en sortant d'ici c'est à ma tente que je me rendrais. Son regard était mauvais, puis tout à coup il se détendit.
C'est de bonne guerre monsieur et comptez sur moi pour vous rendre la pareille.

Ainsi vous pourrez témoigner de notre courtoisie dit-il en resservant l'officier français ainsi que son compagnon qui ne lâchait pas son sabre et espèrons qu'à l'avenir vos officiers en feront de même, la guerre ne doit pas nous empêcher d'être des gentilhommes, nous ne sommes pas tous des cosaques.

[vétéran Antoine de Froiss]

Antoine arqua un sourcil circonspect à l'attention de son adjudant qui semblait arborer un large sourire puis souligna l'air jovial et en français:

" Si l'sixième bataillon a des couilles au cul; c'est l'deuxième bataillon les lui a foutues !! "

Visiblement, le Vice-Prévôt n'avait pas été mis au courant de l'attaque, sans doute que Pierre-Marie qui avait repris le commandement des hommes en attendant s'était aventuré sur le terrain. Portant de nouveau son intention sur les officiers russes, l'Officier Supérieur sembla presque s'excuser de ceci en russe:

" Il n'est pas dans mes habitudes d'attaquer des hommes qui n'ont pas de commandement mais comme de bien nombreuses devises le rappellent, la Gendarmerie Impériale est à part de tout groupe armé que l'on connaisse dans la Grande Armée.

Voyez-vous, nous sommes perçus par nos pairs comme les cosaques le sont pour vous; bien évidemment, avec le vol et le côté rustique en moins. "

Prenant le verre de vodka apporté par le Teuton, le Chef de Bataillon trempa ses lèvres dans le verre.

" Si je bois aujourd'hui avec vous, ne pensez pas un instant que je pactise avec l'armée russe ou bien même que la Gendarmerie Impériale entend correspondre avec l'Armée du Tsar. Vous avez certes des officiers émérites dans vos rangs, nous restons français, vous restez russes. "

[vétéran reese]

Reese entra dans la taverne

un verre barman s'y ouplait.

Et il s'assit à une tabled'un air morose

[vétéran Nicolaïe III]

Nicolaïe rejetant un oeil à la missive, eut un regard des plus interressé sur la note en bas de page qu'il n'avait vu immédiatement. Puis relevant la tête vers Froissac il dit:

Effectivement il semble que votre Pierre-Marie se soit aventuré un peu trop loin pour défaire mes hommes. Mon adjoint n'a eu de cesse de le traquer dans la fôret et il l'a débusqué, voilà bien là la façon dont j'entends correspondre avec les français, ni plus ni moins!

Il vida son verre d'un trait et le claqua sur la table.

Nous dirons que nous sommes à un partout.

[vétéran Becker]

-Faîtes-nous rire en vous racontant vos "exploits" cher Nicolaïe... Vous verrez que la chasse au Bleu peut très vite tourner à la chasse au Vert, et ce n'est pas un "bleu" comme vous qui va faire la Loi.

[vétéran reese]

Un francais ne doit pas faire le fier comme tu le fait mais il doit avoir honte.