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Publié : ven. nov. 02, 2007 2:37 am
par Poniatowsky
Ponia comme à son habitude se plaisait à observer. L'on apprenait plus à voir et comprendre qu'à ne parler pour ne rien dire....
Voyant toute ces nouvelles têtes, il esquissa un sourire mais cela paraissait normal compte-tenu de l'endroit et du temps qu'il faisait à l'extérieur.

Il appella de la main son fils et lui parla à l'oreille......Ce dernier alla donc vers Yvan et lui dit :


Sous-Lieutenant bonsoir,

Le Chef de Bataillon Poniatowsky vous offre cette bouteille en gage de respect envers l'officier que vous êtes, et il déposa la bouteille sur la table..., vous souhaitant une bonne fin de soirée.

Puis, Ponia hocha de la tête en guise de salut et revint auprès de ceux qui partageaient sa table...

Chers amis je pense en effet qu'une escorte s'impose, le temps et la proximité des combats doivent nous ammener à la prudence, sur cette terre qui n'est pas la notre mais où nous combattons.
Capitaine Adjudant-major Aelwyne, si vous le permettez, mon fils repart vers ses lanciers, qui sont non loin de vos troupes, il se fera donc un plaisir de faire le chemin avec vous....
Quant à moi, je repartirait avec Coignet et mes officiers Dabrowski et Uminski sur nos positions, juste après avoir partagé encore quelques verres au chaud avec Davout qui vient d'arriver....
Timéon, il faudra absolument que l'on parle de cette histoire de boisson frelatée qui "mets en cause" la garde impériale, je crois que j'ai le fin mot de l'histoire et il me serait gréée de le faire connaître, tout comme il a été bon que cela soit initialement révélé dans les colonnes de la gazette, qui fleurit depuis quelques temps sur notre front.....

Officiers,dit-il en se levant, zdrowie!

Publié : ven. nov. 02, 2007 4:06 pm
par Coignet
Coignet fit un clin d'oeil à la jeune Capitaine Adjudant-major.

- "Vous voyez, j'aurais aussi mon escorte." Puis se tournant vers son ami le chef de bataillon Poniatowsky qui venait de porter un toast.

- "Officiers! Au Duché de Varsovie, à la France et à l'Empereur!" lança-til d'une voix forte et claire.

Publié : ven. nov. 02, 2007 7:40 pm
par vétéran Asya
Aelwyne était légérement embarassée.

Oui mais bon, a force ce n'est plus une escorte que je vais avoir mais une compagnie pour me ramener.

Elle se tourna vers Davout.

Capitaine, je pense que vous pouvez conserver vos hommes auprès de vous. Avec les cuirassier de Monsieur Coignet et le frère de Monsieur Poniatowsky, je serais en securité. Surtout que mes adjudantes doivent etre inquietes, je devais etre rentrer avant la tombée de la niut et doivent commencer à battre la campagne donc nous tomberons sur une patrouille.

Chefs Coignet et Poniatowsky, Je vous remercie pour vos attentions à mon égard.

Elle se dirigea alors vers la porte. Au passage elle mit un petit mouchoir brodé discretement dans la main de Yvan et lui glissa dans l'oreille.

En souvenir de cette charmante soirée...

Elle sortie alors suivie par les 3 soldats

Publié : ven. nov. 02, 2007 10:16 pm
par vétéran Yvan Makarenko
Yvan saisit le mouchoir avec étonnement. Il fit un petit signe de tête à la capitaine Franzki
Voilà qui lui remontait un peu le moral. Il y avait encore de belle chose possible dans ce bas monde. Il regarda la capitaine sortir d'un air songeur et se promit de lui écrire malgré les convenances dues aux circonstances.

Publié : ven. nov. 02, 2007 10:30 pm
par vétéran Yvan Makarenko
Yvan se leva, remit son ample manteau sa main serrée au fond de sa poche sur un délicat carré d'étoffe dont la présence lui faisait plus de bien qu'il ne l'aurait cru. Il sortit et regagna ses quartiers.

Publié : ven. nov. 02, 2007 10:41 pm
par Davout
davout pensa voilà que les officier femelle de l'armée francaise se fourvoie avec des russes

Publié : dim. nov. 04, 2007 6:52 pm
par Davout
davout revenait d'une remise de medaille coté francais


j'offre un coup a tout ceux qui on une medaille et aussi aux autres, cette tournée ne s'adresse pas aux russes.

Publié : dim. nov. 04, 2007 6:55 pm
par vétéran Boris Kotowski
Bienheureux que cette tournée ne s'adresse pas a nous si c'est pour boire ce vinaigre de raisin que vous appelez vin non merci.

Publié : dim. nov. 04, 2007 7:52 pm
par vétéran Nicolaï Karamazov
Pas de problème capitaine Davout, c'est bien connu que chez les français, c'est aux morts qu'on remet les médailles....

Publié : dim. nov. 04, 2007 8:04 pm
par Coignet
Coignet qui entrait dans la taverne à ce moment là, entendit la déclaration de l'officier russe. Il ne put s'empecher d'y répondre du tac au tac.

"oui, et chez les russes, c'est au lâche qui envoit ses hommes à la mort depuis sa table couverte de victuailles et fait ripaille pendant que ses hommes meurent!"

Publié : dim. nov. 04, 2007 8:18 pm
par vétéran Canterbury
Canterbury, arriva couvert de neige en entrant il secoua son dolmen il était acompagné de Rachel de Canterbury son fidéle adjudent et toujours sur ses talons sa louve qui ne le quittait jamais des yeux avec elle il savait que rien ne pouvait lui arrivé, la relation qu'il entretenait avec elle était étrange on ne savait qui ce battait pour l'autre et qui protégeais qui.

Canterbury ne venait jamais a la taverne, il fréquentait peu les autres officiers français, il était une sorte de mercenaire qui se battait pour un idéal que lui seul devait connaitre.

Il s'installa avec Rachel a l'écart a une table isolée pas trop loin de la cheminée, s'adressant a l'aubergiste il lui dit:

S'il vous plait servez nous se que vous avez de meilleur et apportez nous deux verres et une cruche d'eau, et je sais que vous avez des chambres gardez moi la meilleur pour moi et mon Adjudent pour ce soir car nous dormirons ici ,merci.

L'aubergiste répondit que cela etait fort possible et s'en alla a ses préparatif.

Canterbury s'adressant à Rachel lui dit,
ouvrez mon sac et sortez en une de ses bouteilles au fameu breuvage que chez nous nous appellons whisky ou brandy, je ne veux pas a avoir a trinquer avec ce Davoust qui ce prend pour le grand chef de l'armée française, bref passons et aissayons de passer pour une fois une soirée calme et détendu loin du bruit des canons et du hurlement des hommes, enfin pas ceux de la BI car eux sont bien silencieux.

Sur ce il remplit les deux verres et regardant Rachel droit dans ses yeux vert, ils trinquerent.

Certains officiers français ou russes installés a des tables voisines, était un peu surpris de voir cette trés belle femme a la chevelure d'un roux flamboyant habilliée en sous officier de la BI (caractéristique de la BI point de grade ni sur les épaulettes, ni sur les manches) et ils se demandaient si ils étaient marie et femme, en tout cas amants cela oui.

Publié : dim. nov. 04, 2007 8:34 pm
par vétéran Nicolaï Karamazov
Ha Ha Ha !
S'exclaffa Karamazov
Je vois que ma boutade vous a piqué au vif. J'en suis bien content.
Ce Davout me tire dessus dans l'après-midi, et le soir venu vient encore faire ses provocations en terrain neutre.

Eh bien moi j'offre à boire à tous les officiers qui se battent, non pour des médailles, mais pour une vraie cause. La mienne c'est de libérer mon pays de ce napoléon qui n'a de cesse de mettre l'europe à feu et à sang.

Publié : dim. nov. 04, 2007 9:11 pm
par Davout
vous vouliez dire davout et non pas davoust je pense non?

davout rigolait dans sa tete canterbury a toujours ete indomptable c'est ce qu'il aimait chez lui

Publié : lun. nov. 05, 2007 11:07 pm
par vétéran Canterbury
Canterbury ne relevant pas la remarque de Davout ou Davoust, le fran9ais quoiqu'il le parlait tres bien lui semblait quand meme une langue etrange et compliqué, dit a Rachel:

J'ai a vous parler et c'est une des raisons pour laquelle je vous ai demandée de me rejoindre ici, mis a part la joie de vous voir en face de moi et l'amour que je vous porte, il faut que je vous entrtienent d'une chose des plus importante avant que nous nous soyons plus libertins, voila je pense que bientot je vais quitter mon poste de chef de corps de la BI, je pense que d'etre indépendant me corespondra plus, ainsi qu'a vous et a votre frere Pierre, ce Davout a certainement raison la BI est unrégiment mort, aucun officier ne repond a part de Motier, et je suis fatiqué de verser mon sang pour eux, et l'armée fran9aise malgrés nos états de services nous considerent comme des étrangés, il est vrais que nous faisont office de mercenaires, alors qu'en pensez vous ma chere, me suivez vous?

Rachel répondit:
Je vous suiverai la ou vous irez, nous avons deja tellement traversées d'épreuves.

Canterbury répondit:
Trés bien alors je vais prendre mes dispositions pour que la transition ce fasse le mieux possible, j'espere que votre frere Pierre nous accompagnera;

Et en se regardant dans les yeux ils trinquerent.

Publié : mar. nov. 06, 2007 12:07 am
par vétéran Nicolaï Karamazov
Quelques minutes plus tard, un des serveurs qui s'était tenu non loin de la table des Canterbury, vint rapporter ce qu'il avait entendu à Karamazov

"Bien, bien, se dit Karamazov, après le tour du 8ème RIL, c'est au tour de la BI de remplacer son chef de corps. Voilà une bonne nouvelle à transmettre à l'Etat-Major russe, et à l'Armée du Maréchal. C'est une preuve que l'ennemi faiblit.
Peut être qu'avec le temps, ces deux là se rendront compte qu'ils combattent du mauvais coté et rejoindront les partisans du lys. Une jolie rousse, voilà qui ferait jaser dans la taverne de Michel Foster... ".
Karamazov esquissa un sourire, et se resservit un verre.