Page 51 sur 75
Publié : dim. mars 30, 2008 8:37 pm
par vétéran Kurzlag
Tavernier une bouteille de vodka pour moi!
Les combats ont été dure je suis assoiffée, les français ont fini par avoir raison de mes hommes, nous voila maintenant réduis à marcher comme des vulgaires paysans, nos morts seront vengés soyez en sur!
Publié : lun. mars 31, 2008 5:58 am
par vétéran Becker
Ce n'est pas en buvant de la Vodka que vous vengerez vos morts. Déja que vous ne savez pas tirer en étant sobres, alors en état de saoûlerie totale je me demande ce que ça va donner ! Et vous feriez mieux de prendre de l'eau pour votre estomac fragile de Russe.
Publié : lun. mars 31, 2008 8:11 am
par vétéran Nicolas Dimitriev
ahahahah!!!
un français qui ose dire que nous ne savons pas tirer!!!
ce n'est pas très flatteur pour vous, si on ne sait pas tirer, je me demande comment tire les français???
vous n'arrivez pas à gagner une campagne dans laquelle vos adversaires "ne savent pas tirer"
non seulement vous ne la gagnez pas, mais en plus vous la perdez presque
ahahaha!!!
vous êtes un drole Becker, il y a longtemps que je n'ai pas autant rit...
mais bon! restez dans vos idées un peu bizarre, nous reprendrons cette conversation lorsque vous serez hors de la russie une baionnette dans les fesses.
disant cela, nicolas dimitriev ne pouvait cacher son large sourire, il attendait la réponse de son adversaire, se demandant se qu'il allait pouvoir dire
Publié : lun. mars 31, 2008 6:12 pm
par vétéran Becker
Vous n'êtes pas dans le secteur Centre je pense, voilà pourquoi vous êtes ignorants. Vos fiers Partisans du Lys se battent tellement bien qu'ils reculent devant des compagnies déchirées avec seulement 130 hommes ! De fières compagnies Vertes avec 200 hommes... Bande de couards !
Publié : lun. mars 31, 2008 6:16 pm
par vétéran Imrahyl Roduryl
Vous vous non plus pas au fait des évènement du centre. Il n'y a guère qu'une poignée de Lysiens au centre. Et Ilan Parminski a eu bien du mal àà trouver un compagnie à moins de trois cases de la Rika lorsqu'il a envoyé ses hommes en réperage.
Publié : lun. mars 31, 2008 6:40 pm
par vétéran Kurzlag
Moi ne pas savoir visée? Tout à fait vrai puisque je préfère les charges au corps à corps faisant tournée les talons à tout ces petits uniformes bleu, pour anéantir ma compagnie il a fallut plus d'un français, aux alentours de 5 compagnie françaises sont venu s'attaquer à la mienne avant de pouvoir lui faire tourner les talons, mes morts ont été vengés avant qu'ils ne soient mort, vu le nombres de pertes qu'ils ont infligé avant. Leur repos est bien mérité à mon sens.
Publié : lun. mars 31, 2008 6:42 pm
par vétéran Ferrey
Ferrey qui était en train de manger parla au russe
-mmm.... Je ne sais pas si c'est une preuve d'intelligence d'engager une melé, une charge la pas de problème.
Publié : lun. mars 31, 2008 7:03 pm
par vétéran Roman Récit
Si vous voulez mon avis, il est inutile de se tapper dessus pour savoir qui vise le mieux... A 100 mêtres, les anglais eux-même culminent à 5% de touches au tir, et dans des conditions favorable encore, d'après les expériences qu'ils ont mennés à la tour de Londres...
Publié : lun. mars 31, 2008 11:48 pm
par vétéran Fedor Fes
Fedor Fes entre dans la taverne avec une bande de cosaques et laisse la porte ouverte sur les bourrasques de neige qui balayent le terrain.
D'un oeil, il repère les lieux, échange quelques mots avec des hommes près de lui, fais un signe de la main et se dirige vers une large et longue table.
Publié : mar. avr. 01, 2008 12:50 am
par vétéran Astore Cavallini
Vitali suivit Fedor, laissant également la porte grande ouverte, offrant au vent hivernal le soins de balayer l'antre, à la désapprobation grandissante de la clientèle.
La table choisi par Fedor était proche de l'âtre. Les flammes dansaient et craquaient frénétiquement sous le souffle du dieu Eole. Les quatre "culs-blancs" assis à la table dévisagèrent les cosaques. Ceux-ci muets, avaient entouré les gaillards, et attendaient.
"_ C'est notre table...! fit stoïquement, Fedor."
L'un des français, bien aviné, un sous-lieutenant d'artillerie de l'armée du "petit corse", se leva et vint défié Fedor.
"_ F... Fait froid! Va... Va... fermer la porte... "bouffe merde"!
Le jeune sous-lieutenant était fier de son estocade. Le voilà bavant et ricanant, se contorsionnant en se tenant les côtés, se retournant et plissant les yeux jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans les plis des ridules marquant la fatigue et l'ivresse, et trouvant la complicité de ses camarades tout aussi hilares que lui. Soudain... l'artilleur se retrouva à terre. Vitali venait de l'assommer d'un coup sur la nuque, sous les regards médusés de ses camarades.
"_ C'est notre table...! répéta Fedor d'un ton égal."
Les trois français se regardèrent interloqués. Ils paraissaient avoir déjà oublié leur camarade assommé. L'un d'eux voulut se rebiffer et tenta de se lever. En un bond, Vitali fut sur lui, prit l'assiette de soupe froide qui macérait devant sa proie, et la renversé sur le chef de la viande saoule. Ce dernier, au grade de sergent, retomba sur son tabouret. Lorsqu'il voulut de relever, Vitali l'accueillit de son poing qu'il lui écrasa sur le crâne. Mort ou vif, le français avait son compte. Fedor se retourna ensuite vers les deux derniers bonapartistes.
"_ C'est notre table...!"
Les deux derniers français légèrement dégrisés par ces évènements soudains, bondirent de leurs tabourets. Mais Vitali avait saisi une grande poële en fonte suspendue par la queue, au mur jouxtant la cheminée. Un coup droit eu raison des ardeurs du premier, et le revers qui suivit raisonna pareillement le second.
Les clients de la taverne, russes et français, avaient assisté à la scène sans broncher. La denière fois qu'une bagarre avait éclaté du fait de cosaques, dans une taverne voisine, celle-ci avait tout simplement brûlé. Les cosaques relevèrent les tabouret et s'assirent prêt du feu pour se réchauffer. Au premier franski qui sortait du trou noir et commençait à remuer, Fedor fit...
"_ Il fait froid! Pensez à refermer la porte en repartant... "Bouffes merde"!!!"
Publié : mar. avr. 01, 2008 6:54 am
par vétéran Tchekov
Tchekov était assis dans près de l'escalier avec ses adjudants. Ils mangeaient tranquillement quand Vitali et ses hommes arrivèrent.
Assistant tranquillement au début de bagarre, Tchekov dit à Gogol.
Non ne bouge pas. Ne t'inquiete pas pour tes amis Cosaques. Ils ont l'habitude de régler eux-mêmes ces petits différents.
Voyant la bagarre finie, il intervint.
Bonjour Vitali ! Toujours aussi accueillant avec les Franskis je vois.
Et interpellant le Tavernier.
Tavernier, donnez une bouteille de vodka à nos amis cosaque. C'est moi qui leur offre pour les exploits qu'ils réalisent.
Et il se replongea dans son repas.
Publié : mar. avr. 01, 2008 1:45 pm
par vétéran Roman Récit
Roman se leva et referma la porte que les français avaient volontairement laissé ouverte, en dernier signe de provocation, puis retourna s'assoir à sa table.
Merci messieurs pour ce petit intermède réfrigérant, la Vodka se faisait un peu chaude avec la chaleur du feu...
Il poussa un profond soupir...
Je finirait par croire que Saint-Petersbourg est réellement un paradis...
Tavernier, une autre bouteille de Vodka pour les cosaques, mais celle-ci, ce sont les français qui leur paye. Il rammassa une poignée de pièces qui trainaient par terre, là ou un français les avait abandonnées. Voilà pour vous.
Se retournant vers ses compagnons de tablée. Ou en étions nous ?
Publié : mar. avr. 01, 2008 2:07 pm
par vétéran Arghentur
Arghentur entra dans la taverne et croisa les Français.
-C'est quoi ce bordel on tape mes amis ?
il vit Ferrey assit dans un coin
-Et vous vous faîtes rien. Il se retourna vers Vitali Cosaque ou pas c'est pas une raison pour taper des Français et bourré en plus vous êtes déloyal.
Publié : mar. avr. 01, 2008 2:13 pm
par vétéran Roman Récit
[HRP]

La, tu avoir max mal !!![/HRP]
Euh... J'espère que vôtre cheval est de meilleur qualité que celui de ces cosaques, vous risquez d'en avoir besoin sous peu... Le patron de la taverne est regardant à son bien, à vôtre place, je m'excuserai et viendrait m'assoir ici...
Publié : mar. avr. 01, 2008 2:18 pm
par vétéran Arghentur
-Ne vous inquiétez pas pour mon cheval le patron on lui a rien demander; ah si une vodka elle vient ou pas ?.