Journée au bar ..
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- vétéran Becker (Mat. 8232)
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- vétéran Nicolas Dimitriev (Mat. 15780)
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ahahahah!!!
un français qui ose dire que nous ne savons pas tirer!!!
ce n'est pas très flatteur pour vous, si on ne sait pas tirer, je me demande comment tire les français???
vous n'arrivez pas à gagner une campagne dans laquelle vos adversaires "ne savent pas tirer"
non seulement vous ne la gagnez pas, mais en plus vous la perdez presque
ahahaha!!!
vous êtes un drole Becker, il y a longtemps que je n'ai pas autant rit...
mais bon! restez dans vos idées un peu bizarre, nous reprendrons cette conversation lorsque vous serez hors de la russie une baionnette dans les fesses.
disant cela, nicolas dimitriev ne pouvait cacher son large sourire, il attendait la réponse de son adversaire, se demandant se qu'il allait pouvoir dire
un français qui ose dire que nous ne savons pas tirer!!!
ce n'est pas très flatteur pour vous, si on ne sait pas tirer, je me demande comment tire les français???
vous n'arrivez pas à gagner une campagne dans laquelle vos adversaires "ne savent pas tirer"
non seulement vous ne la gagnez pas, mais en plus vous la perdez presque
ahahaha!!!
vous êtes un drole Becker, il y a longtemps que je n'ai pas autant rit...
mais bon! restez dans vos idées un peu bizarre, nous reprendrons cette conversation lorsque vous serez hors de la russie une baionnette dans les fesses.
disant cela, nicolas dimitriev ne pouvait cacher son large sourire, il attendait la réponse de son adversaire, se demandant se qu'il allait pouvoir dire
- vétéran Becker (Mat. 8232)
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- Inscription : mar. juin 26, 2007 6:51 am
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Vous n'êtes pas dans le secteur Centre je pense, voilà pourquoi vous êtes ignorants. Vos fiers Partisans du Lys se battent tellement bien qu'ils reculent devant des compagnies déchirées avec seulement 130 hommes ! De fières compagnies Vertes avec 200 hommes... Bande de couards !
"-Où est Murat ?
- Il charge."

- Il charge."

- vétéran Imrahyl Roduryl (Mat. 1505)
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- Inscription : jeu. janv. 31, 2008 10:41 pm
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Moi ne pas savoir visée? Tout à fait vrai puisque je préfère les charges au corps à corps faisant tournée les talons à tout ces petits uniformes bleu, pour anéantir ma compagnie il a fallut plus d'un français, aux alentours de 5 compagnie françaises sont venu s'attaquer à la mienne avant de pouvoir lui faire tourner les talons, mes morts ont été vengés avant qu'ils ne soient mort, vu le nombres de pertes qu'ils ont infligé avant. Leur repos est bien mérité à mon sens.
28ème Bataillons de Jagërs


- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
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- vétéran Roman Récit (Mat. 16660)
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- vétéran Fedor Fes (Mat. 8591)
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Fedor Fes entre dans la taverne avec une bande de cosaques et laisse la porte ouverte sur les bourrasques de neige qui balayent le terrain.
D'un oeil, il repère les lieux, échange quelques mots avec des hommes près de lui, fais un signe de la main et se dirige vers une large et longue table.
D'un oeil, il repère les lieux, échange quelques mots avec des hommes près de lui, fais un signe de la main et se dirige vers une large et longue table.


Libre comme un cosaque.
- vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)
- Général de brigade
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- Inscription : ven. mars 09, 2007 12:58 pm
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Vitali suivit Fedor, laissant également la porte grande ouverte, offrant au vent hivernal le soins de balayer l'antre, à la désapprobation grandissante de la clientèle.
La table choisi par Fedor était proche de l'âtre. Les flammes dansaient et craquaient frénétiquement sous le souffle du dieu Eole. Les quatre "culs-blancs" assis à la table dévisagèrent les cosaques. Ceux-ci muets, avaient entouré les gaillards, et attendaient.
"_ C'est notre table...! fit stoïquement, Fedor."
L'un des français, bien aviné, un sous-lieutenant d'artillerie de l'armée du "petit corse", se leva et vint défié Fedor.
"_ F... Fait froid! Va... Va... fermer la porte... "bouffe merde"!
Le jeune sous-lieutenant était fier de son estocade. Le voilà bavant et ricanant, se contorsionnant en se tenant les côtés, se retournant et plissant les yeux jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans les plis des ridules marquant la fatigue et l'ivresse, et trouvant la complicité de ses camarades tout aussi hilares que lui. Soudain... l'artilleur se retrouva à terre. Vitali venait de l'assommer d'un coup sur la nuque, sous les regards médusés de ses camarades.
"_ C'est notre table...! répéta Fedor d'un ton égal."
Les trois français se regardèrent interloqués. Ils paraissaient avoir déjà oublié leur camarade assommé. L'un d'eux voulut se rebiffer et tenta de se lever. En un bond, Vitali fut sur lui, prit l'assiette de soupe froide qui macérait devant sa proie, et la renversé sur le chef de la viande saoule. Ce dernier, au grade de sergent, retomba sur son tabouret. Lorsqu'il voulut de relever, Vitali l'accueillit de son poing qu'il lui écrasa sur le crâne. Mort ou vif, le français avait son compte. Fedor se retourna ensuite vers les deux derniers bonapartistes.
"_ C'est notre table...!"
Les deux derniers français légèrement dégrisés par ces évènements soudains, bondirent de leurs tabourets. Mais Vitali avait saisi une grande poële en fonte suspendue par la queue, au mur jouxtant la cheminée. Un coup droit eu raison des ardeurs du premier, et le revers qui suivit raisonna pareillement le second.
Les clients de la taverne, russes et français, avaient assisté à la scène sans broncher. La denière fois qu'une bagarre avait éclaté du fait de cosaques, dans une taverne voisine, celle-ci avait tout simplement brûlé. Les cosaques relevèrent les tabouret et s'assirent prêt du feu pour se réchauffer. Au premier franski qui sortait du trou noir et commençait à remuer, Fedor fit...
"_ Il fait froid! Pensez à refermer la porte en repartant... "Bouffes merde"!!!"
La table choisi par Fedor était proche de l'âtre. Les flammes dansaient et craquaient frénétiquement sous le souffle du dieu Eole. Les quatre "culs-blancs" assis à la table dévisagèrent les cosaques. Ceux-ci muets, avaient entouré les gaillards, et attendaient.
"_ C'est notre table...! fit stoïquement, Fedor."
L'un des français, bien aviné, un sous-lieutenant d'artillerie de l'armée du "petit corse", se leva et vint défié Fedor.
"_ F... Fait froid! Va... Va... fermer la porte... "bouffe merde"!
Le jeune sous-lieutenant était fier de son estocade. Le voilà bavant et ricanant, se contorsionnant en se tenant les côtés, se retournant et plissant les yeux jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans les plis des ridules marquant la fatigue et l'ivresse, et trouvant la complicité de ses camarades tout aussi hilares que lui. Soudain... l'artilleur se retrouva à terre. Vitali venait de l'assommer d'un coup sur la nuque, sous les regards médusés de ses camarades.
"_ C'est notre table...! répéta Fedor d'un ton égal."
Les trois français se regardèrent interloqués. Ils paraissaient avoir déjà oublié leur camarade assommé. L'un d'eux voulut se rebiffer et tenta de se lever. En un bond, Vitali fut sur lui, prit l'assiette de soupe froide qui macérait devant sa proie, et la renversé sur le chef de la viande saoule. Ce dernier, au grade de sergent, retomba sur son tabouret. Lorsqu'il voulut de relever, Vitali l'accueillit de son poing qu'il lui écrasa sur le crâne. Mort ou vif, le français avait son compte. Fedor se retourna ensuite vers les deux derniers bonapartistes.
"_ C'est notre table...!"
Les deux derniers français légèrement dégrisés par ces évènements soudains, bondirent de leurs tabourets. Mais Vitali avait saisi une grande poële en fonte suspendue par la queue, au mur jouxtant la cheminée. Un coup droit eu raison des ardeurs du premier, et le revers qui suivit raisonna pareillement le second.
Les clients de la taverne, russes et français, avaient assisté à la scène sans broncher. La denière fois qu'une bagarre avait éclaté du fait de cosaques, dans une taverne voisine, celle-ci avait tout simplement brûlé. Les cosaques relevèrent les tabouret et s'assirent prêt du feu pour se réchauffer. Au premier franski qui sortait du trou noir et commençait à remuer, Fedor fit...
"_ Il fait froid! Pensez à refermer la porte en repartant... "Bouffes merde"!!!"
Bataillon du "Génie Royal Italien"
Per la rosa spesso la spina si coglie (On n'obtient pas le respect, si l'on n'en témoigne).

Per la rosa spesso la spina si coglie (On n'obtient pas le respect, si l'on n'en témoigne).

- vétéran Tchekov (Mat. 10727)
- Colonel
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- Messages : 2754
- Inscription : ven. août 24, 2007 5:22 pm
- Localisation : Linselles (59)
- Contact :
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Tchekov était assis dans près de l'escalier avec ses adjudants. Ils mangeaient tranquillement quand Vitali et ses hommes arrivèrent.
Assistant tranquillement au début de bagarre, Tchekov dit à Gogol.
Non ne bouge pas. Ne t'inquiete pas pour tes amis Cosaques. Ils ont l'habitude de régler eux-mêmes ces petits différents.
Voyant la bagarre finie, il intervint.
Bonjour Vitali ! Toujours aussi accueillant avec les Franskis je vois.
Et interpellant le Tavernier.
Tavernier, donnez une bouteille de vodka à nos amis cosaque. C'est moi qui leur offre pour les exploits qu'ils réalisent.
Et il se replongea dans son repas.
Assistant tranquillement au début de bagarre, Tchekov dit à Gogol.
Non ne bouge pas. Ne t'inquiete pas pour tes amis Cosaques. Ils ont l'habitude de régler eux-mêmes ces petits différents.
Voyant la bagarre finie, il intervint.
Bonjour Vitali ! Toujours aussi accueillant avec les Franskis je vois.
Et interpellant le Tavernier.
Tavernier, donnez une bouteille de vodka à nos amis cosaque. C'est moi qui leur offre pour les exploits qu'ils réalisent.
Et il se replongea dans son repas.
Juge suprême Russe et ministre de la justice à la retraite. Non pensionné !
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
Membre du régiment Baggovout.
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
Membre du régiment Baggovout.
- vétéran Roman Récit (Mat. 16660)
- Capitaine adjudant-major
- Russe
- Messages : 693
- Inscription : ven. janv. 18, 2008 6:27 pm
- Localisation : Quelque part entre Aspern et Essling
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Roman se leva et referma la porte que les français avaient volontairement laissé ouverte, en dernier signe de provocation, puis retourna s'assoir à sa table.
Merci messieurs pour ce petit intermède réfrigérant, la Vodka se faisait un peu chaude avec la chaleur du feu...
Il poussa un profond soupir...
Je finirait par croire que Saint-Petersbourg est réellement un paradis...
Tavernier, une autre bouteille de Vodka pour les cosaques, mais celle-ci, ce sont les français qui leur paye. Il rammassa une poignée de pièces qui trainaient par terre, là ou un français les avait abandonnées. Voilà pour vous.
Se retournant vers ses compagnons de tablée. Ou en étions nous ?
Merci messieurs pour ce petit intermède réfrigérant, la Vodka se faisait un peu chaude avec la chaleur du feu...
Il poussa un profond soupir...
Je finirait par croire que Saint-Petersbourg est réellement un paradis...
Tavernier, une autre bouteille de Vodka pour les cosaques, mais celle-ci, ce sont les français qui leur paye. Il rammassa une poignée de pièces qui trainaient par terre, là ou un français les avait abandonnées. Voilà pour vous.
Se retournant vers ses compagnons de tablée. Ou en étions nous ?

- vétéran Arghentur (Mat. 13306)
- Colonel
- Français
- Messages : 3052
- Inscription : ven. nov. 02, 2007 2:00 pm
- Localisation : Russie
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Arghentur entra dans la taverne et croisa les Français.
-C'est quoi ce bordel on tape mes amis ?
il vit Ferrey assit dans un coin
-Et vous vous faîtes rien. Il se retourna vers Vitali Cosaque ou pas c'est pas une raison pour taper des Français et bourré en plus vous êtes déloyal.
-C'est quoi ce bordel on tape mes amis ?
il vit Ferrey assit dans un coin
-Et vous vous faîtes rien. Il se retourna vers Vitali Cosaque ou pas c'est pas une raison pour taper des Français et bourré en plus vous êtes déloyal.

Colonel Arghentur,
Ancien Lieutenant Général de la Jeune Garde,
Bataillon du Mercantour,
L'honneur se trouve devant !
- vétéran Roman Récit (Mat. 16660)
- Capitaine adjudant-major
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- vétéran Arghentur (Mat. 13306)
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- Inscription : ven. nov. 02, 2007 2:00 pm
- Localisation : Russie
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