La Campagne de Russie

Ah la la, c'est vraiment excellent, brillant même, mais les cosaques vont devoir te tuer plein de fois pour te châtier comme il se doit

Briscard a écrit :Ok, d'accord, on profite de mes absences pour se gausser dans mon dos...

Voilà donc sous nos yeux un affreux personnage
Immondice curieux, au difforme visage
Tellement facétieux et jamais vraiment sage
Alcoolique ? Affirmatif ! Et quoi d'autre ? No comment !
Libidineux bien sûr ! Offrez lui donc une chèvre
Il vous surprendra par l'outrage qu'il ira commettre

Vérolé, purulent, écœurant et répugnant
Il suffit d'un regard pour que ce charognard
Atroce et odorant pétrifie vos moutards
Triste sort réservé à vos pauvres enfants
Comment s'en dépêtrer ? Nombreux ont essayé
Hélas, trois fois hélas, sans beaucoup de succès
Et pourtant, sachez le : nous aimerions enfin
Suriner ce faquin, ce pur fruit de catin
L'avez vous reconnu ? L'énigme est très facile
Acrostiche, me dis tu ? En voilà un habile...

C'est fastoche Briscard!
Il s'agit de Gainsbarre!

"No comment"...^^

On ne peut dire qu'une chose, une seule...

Encore !

Mais quel est donc ce bruit ? Quelle est donc est cette rumeur ?
Je suis saisi d'effroi et empli de terreur.
Me voilà ainsi la cible des ces terribles guerriers.
Ris et pérore, Darya, tu m'as tout effrayé.
De grosses gouttes dégoulinent de mes tempes bouillantes
Vos avertissements me hantent et même me tourmentent
Menaces affolantes, horreur, mon sang se glace.
Cosaques ! Vous avez gagné, c'est fini, je me casse.

Vous perdriez votre temps à me donner la chasse.
Ne suis je point qu'un poltron, un petit joueur sans classe ?
Ferez vous l'erreur de me donner de l'importance ?
Jamais au grand jamais je n'oppose résistance.
Peur de mourir, peur de souffrir, peur de périr,
À cela je préfère, sans mentir, encore fuir.
Un vermisseau vous dis-je, se vautrant dans la fange.
GR je ne le suis que pour donner le change.

Elle est excellente Briscard, mais je suis pas sur que les cosaques, bas du front par essence, en perçoivent toute la classe et le panache ! (et pis je sais pô comment qu'ça s'appelle ça)

Oh le con ! il a même des lettres.

c'est vrai qu'il devient insupportable. tout bien réfléchi, amis cosaques, Tuez-le !

Zinix : l'esprit, c'est comme le parachute. Quand on n'en a pas, on s'écrase.

(Ami avec les cosaques ! Non mais ami avec les cosaques quoi !! Et quoi ? Demain il nous dira qu'il converse avec son cheval ?)

Briscard a écrit :Zinix : l'esprit, c'est comme le parachute. Quand on n'en a pas, on s'écrase.

Je croyais que c'était la culture ça. Remarque, on dit aussi que "la culture c'est comme la confiture : moins on en a plus on l'étale"

D'ailleurs savez vous qu'en 1632, en Pologne Ladislas IV est élu roi bla bla bla z'avez qu'à regarder sur wikipedia et pi si vous lisez ça c'est que vous avez de bon oeils

Quel plaisir mon cher Briscard,
D'imaginer ces chers lascars,
Se triturant leurs méninges,
Vociférants tels des singes.

Leur incompréhension,
Devrait être filmée,
Afin de nous donner,
De magnifiques frissons.

Je les vois sourire,
Puis perplexes,
S'arrêter de rire,
Et grogner tel Rex !

Moi, en tous cas,
Je souris et vais,
Une nouvelle fois,
Te dire de continuer !

Merci pour l'hommage

Francois Castle a écrit :Quel plaisir mon cher Briscard,
D'imaginer ces chers lascars,
Se triturant leurs méninges,
Vociférants tels des singes.

...

Je les vois sourire,
Puis perplexes,
S'arrêter de rire,
Et grogner tel Rex !

...

C'est un bel hommage en effet.
Quant à ces strophes, c'est tellement vrai...

Tu peux nous envoyer une vidéo ? Ce doit être marrant, comme des chèvres qui auraient trouvé un couteau.

Bon, certes, mon commentaire n'était pas de la grande poésie, mais le but n'était évidemment pas là. ^^

Et manifestement, de but, il n'en n'est toujours pas question pour les cosaques.

Les GR sont décidément de sacrés chenapans.

Mon petit doigt me l’a dit
Chers Cosaques, chers amis,
Briscard est un petit comique !
Il joue de ses mots tel un mystique.
Semblerait-il même qu’il en jouisse,
Que oui, voire même qu’il en pisse !
Nos vils ennemis sont perdus, alors je vous le dis,
Vieux Cosaques, vive les Grenadiers Réunis !
Amis, profitons de ce bon temps sur notre île !
Cosaques, Cosaques ! Espérons qu’ils
Soient là demain, la main sur leur tignasse,
Toujours à se gratter, tel un chien sa paillasse !
La bouche ouverte, béante d’hébétude et las.
Tête basse, les yeux perdus sur leur vodka…
Dans leur esprit ampli du vide de l’incompréhension,
Le seul réconfort sera leurs choux…
Choux que souvent, sur leurs cadavres, nous ramassons…