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Publié : jeu. janv. 17, 2008 11:48 am
par vétéran Habramovitch
ouvre la porte d'un coup de pied que les expert en la matière pourrait qualifié de magnifique, entre...


RRRôôôôôoôôôôhhhhhh

emet un rot de la plus belle façon puis beugle


A boire Tavernier! je tarode a sec, j'ai le gosier déssecher!!!

se tourne vers l'exterieur

Bande de cul terreux! vous venez???

Publié : jeu. janv. 17, 2008 12:08 pm
par Pokotylo
Un tas de bouseux en chiffons et couverts de boue et de neige entra alors, suivant l'imposant Habramovitch. Il s'agissait d'une escouade de cosaques, trempés et enfumés.
Malgré ça, ils sentaient plutôt bon. Une vague odeur de sapin indiquait que certains avaient combattu près d'une forêt dernièrement.

Un des tas de chiffon s'adressa à Habramovitch:

"Habra, jt'avais dis que je voulais plus remettre les pieds ici.
Pourquoi m'as tu entraîné avec toi?
t'as un tuyau?"

Publié : jeu. janv. 17, 2008 1:01 pm
par vétéran Sainte-Croix
Le Sous-Lieutenant attendit de longues minutes lorsque le Sous-Lieutenant russe Dokhturov prit la parole:
Dokhturov fut surpris par les propos du jeune officier franzkis...

Les russes ne pouvant pas combattre sans aides extérieures???

Dites moi blanc bec vous êtes probablement l'un des seuls vrai francais de la "grande armée" du nabot alors excusez moi si je conteste ce que vous dites!
De plus sachez que nos soldats ne sont pas esclaves...
Regarde Yousev...
Si les russes sont esclaves de quelque chose c'est de la vodka ca je veux bien l'admettre...
tiens d'ailleurs santéé
Pardonnez moi mais que veut dire "vrai français" ?

Est français celui qui est prêt à mourir pour la France et pour l'Empereur, et tous les hommes de la Grande Armée le sont.

Quant au fait que vos soldats soient esclaves ou non, assurément ils le sont. Les officiers ne le sont certes pas, ils sont tous nobles, mais avouez tout de même que l'ensemble de vos soldats sont serfs, n'étant soldat que dans le but d'être libre au bout de vingt ans de service.


Le Sous-Lieutenant eu a peine le temps de finir sa phrase que l'officier russe Lepine s'approcha de lui.
Lepine avait écouté le jeune Sous-Lieutenant Sainte-Croix, puis doucement s'était levé puis approché de lui, au passage commanda au tavernier une bouteille et demanda deux verres, il jeta sur le comptoir une bourse pour la régler.

Il s'adressa au jeune lieutenant et en versant d'alcool dans les deux verres qu'il posa devant lui, c'était de la Goldwasser, vodka avec des morceaux d’or dans la bouteille, brillait de mille feux reflétant la lumière du feu de la cheminée.


- Dite moi officier, je crois que vos paroles sont le reflet de votre tempérament fougueux du à votre jeunesse.

Il tend un verre au français et lui dit :

-Connaissez vous cette magnifique boisson ?

-Si nous sommes esclaves de la vodka, en France le vin est au XIXe le grand champion de l’alcool, l’apparition de l’eau-de-vie en Lorraine, en 1690, et en Bourgogne, à précipité l’alcoolisation de la société sous l’Empire. Ses dérivés sont légions : calvados, kirsch et marc coulent à flot dans les gosiers français. Le punch est à la mode dans les soirées mondaines, tandis qu’un verre de rhum de la Jamaïque, pris entre les rôti et les entremets, restaure l’appétit soit disant.

-L'alcoolémie, la France est prête à battre l'Europe sur ce plan là, encore de nombreuses années et cela bien après que nous ayons sabré le champagne sur les terrasses de votre grande et magnifique avenue, les Champs-Élysées... Ce qui ne serait tarder.

- Quand au terme d'esclave, le mot semble bien fort savez vous que chaque famille noble de Russie envoie ses fils dans les armées du Tsar ?
- Quand aux paysans et aux ouvriers qui sont pas encore tous affranchis il se battent comme vous pour un Empereur.

- Il y a pas si longtemps 23 ans à peine les esclaves comme vous dites représentaient avant "votre" Révolution, quatre vingt pour cent de votre société composé de paysans, donc de serfs... Ne sont ils pas encore présent dans les Antilles Françaises, depuis le 20 mai 1802, alors qu'il avait été aboli dans votre pays ?

- Les causes de la Révolution de 1789 sont à nouveau réunies: injustices criantes et accaparement du pouvoir par une caste de privilégiés. Un roi vous avez éliminé, pour une monarchie vous vous battez.

Pour ce qui est de votre combat mémorable , les nôtres n'ont rien à vous envier ; j'ai vu cette semaine, deux jeunes compagnies se battent en première ligne, la première fut anéanties après 9 et dix attaques, la seconde mettant en ligne 70 hommes formant un carré, à résister avec bravoure aux plus grands gradés de votre camp.

- Buvez jeune homme cet alcool en vous souhaitant que la prochaine fois, que celle-ci à forte dose ne vous serve d' anesthésique sur les champs de bataille.

Lepine bu son verre et le jeta par dessus son épaule dans l'âtre les flammes bleus caressèrent un instant les débris de verres, il laissa le jeune français et la bouteille et sans un mot rejoignit ses compagnons.
Le Sous-Lieutenant paru amusé...

Tiens donc, un russe qui sort de l'ordinaire.

Un aristocrate sans doute... J'oublie trop souvent que dans l'armée russe, les grades n'ont rien avoir avec le mérite de celui qui le porte mais dépendent de l'origine sociale.

Il faudra cependant apprendre la différence entre un paysan et un serf, ce qui est totalement différent. Un serf est loin d'être libre et appartient à son seigneur. Ce qui n'est pas du tout le cas de ce que vous appelez un paysan.

Votre armée n'est composée presque exclusivement que de serfs, à peine nourrit, presque pas payé, et dont l'origine de cette guerre leur est totalement inconnu.

Je ne pense donc pas que votre pays, qui est le dernier à pratiquer le servage en Europe, si l'on admet que la Russie fait parti de l'Europe, puisse donner des leçons de moral à la France, dont la Révolution a eu pour conséquence un grand pas vers la Liberté.

Je me demande enfin comment vous pouvez juger Sa Majesté l'Empereur Napoléon, Empereur des français et Roi d'Italie. Choisi par le peuple français comme souverain légitime, acclamé par les Italiens à Milan, adoré par les polonais pour les avoir libérés de l'occupation russe.

Vous dont le tsar a tué son propre père pour arriver au pouvoir n'avait pas, je pense, de leçon a donner au reste de l'Europe et surtout pas à la France et à l'Italie.

Je me demande comment vous pouvez connaître quoi que ce soit à la société française actuelle.

Ne connaissant point votre propre société, je doute fortement que vous puissiez comprendre une société ou les gens sont libres et égaux en droit, ou les distinctions sociales n'existent plus, ou le Droit est unifié, la Loi respectée, les différentes opinions religieuses tolérées.

Quant aux Antilles françaises, elles sont malheureusement aux mains de vos maîtres britanniques qui ont multipliés le nombre d'esclaves présents sur ces îles.


Puis Sainte-Croix s'arreta, fixant l'officier quelques secondes, puit sorti de la salle...

Publié : jeu. janv. 17, 2008 1:18 pm
par vétéran Ivan Vassilev
Balançant une bouteille vide en direction de la porte, qui alla s'écraser sur le perron, Vladimir nargua l'officier qui se faisait nommer Sainte Croix.

C'est sa casse toi ! Encore un peu plus et s'gugusse va m'faire croir' qu'sa merde pue bien moins qu'la mienne !
R'tourne donc chez les aristos ! 'Spèce de pisseux !

Publié : jeu. janv. 17, 2008 1:30 pm
par vétéran Sainte-Croix
Le Sous-Lieutenant de Sainte-Croix avait prit à malin plaisir à "discuter" avec les officiers russes...

Lorsque la bouteille s'écrasa sur le perron, Sainte-Croix se retourna une dernière fois vers l'officier russe l'ayant lancé.

Je reconnais bien là l'autorité et le courage russe ! Tirant toujours dans le dos de ses adversaires. A coté qui plus est...

Devant le silence du russe, qui s'était probablement endormi, trop fatigué de l'exploit d'avoir réussi à lancer une bouteille, Sainte-Croix quitta définitivement, pensait il, la pièce.

Publié : jeu. janv. 17, 2008 2:06 pm
par vétéran Habramovitch
le français qui voulait sortir stoppa devant la porte ou de nombreux Cosaques bloquaient l'accès vers l'exterieur. IL semblais surpris par leur presence malgrès le bruit. Il en bouscula un

-Regard ou tu marches cul blanc!!

Publié : jeu. janv. 17, 2008 4:21 pm
par vétéran Sainte-Croix
Le Sous-Lieutenant de Sainte-Croix, restant confiant malgré le fait que plusieurs cosaques se tenaient devant lui, s'exclama:

Tiens donc des Cosaques !

Manquait plus que ces énergumènes !

Vous êtes sans doute les seuls cavaliers à pouvoir rivaliser avec le cavalier français... Mais votre vulgarité n'a d'égale que votre manque de courage...

Autant d'hommes pour un simple Sous-Lieutenant !

A présent messieurs, je vous demanderais de me laisser passer !

Publié : jeu. janv. 17, 2008 4:58 pm
par Leto
- et encore vous ne parlez pas de leur odeur.... enfin c'est normal vous la sentirez peut etre si un jour le vent soufflait plus vite qu'ils n'avanceraient a vos trousses, hohoh hHAHA
le Major Leto qui etait en permission venait d'entrer pour entendre la derniere replique d'un officier francais

Publié : jeu. janv. 17, 2008 4:58 pm
par vétéran Habramovitch
Les Cosaques se mirent a rire

AHAHAHAH

Habramovitch s'approcha de l'Homme

le cul blanc pense que nous en avons après lui..

AHAHAHAHAHHA

passe ton chemin la Grenouille, mon âne, seul, suffit pour te corriger!!

les Cosaque passèrent pres du Français le bousculant au passage et allèrent a une table. L'un d'eux lança

-il a pas dit qu'on était des mauviettes?
-non il a dit que ta vulgarité n'a d'égale que ton manque de courage...
-AHAHA c'est un bleu bite alors!
-il viens surment d'arriver dans le secteur

Pendant se temps Habra tapota l'epaule de Poko

-allons, une petite halte n'a jamais tué personne!

Publié : jeu. janv. 17, 2008 5:18 pm
par vétéran Sainte-Croix
Le Sous-Lieutenant de Sainte-Croix était déjà parti, heureux de ce premier contact avec l'ennemi ! Voici enfin des adversaires digne de ce nom pour la Grande Armée.

[HRP]Ces petits RP avec vous m'ont beaucoup amusés, je reviendrais à l'occasion... En espérant que personne n'ait mal prit ce que j'ai dit dans mes RP.[/HRP]

Publié : jeu. janv. 17, 2008 6:53 pm
par vétéran Arghentur
Le sous-Lieutenant entra et vit plusieurs cosaques et un certain nombre d'officiers russes

il commanda a boire de la vodka par ce temps neigeux rien de mieux pour se réchauffer

il but puis reparti étonné par le silence qu'il régnait dans cette pièce

Publié : dim. janv. 27, 2008 3:52 pm
par vétéran andreï jenkov
un jeune sous officier russe entra dans la taverne, il commanda une vodka
et de la polonaise s'il vous plait !

voyant que tout etait tranquille il s'assit a une table pres d'un groupe d'officiers russes

Publié : lun. janv. 28, 2008 10:14 pm
par vétéran Anton Viersky
Anton venait de recevoir l'autorisation de quitter la tente bouch..infirmerie. Il remplaça le tas de loques informes qu'il portait lorsqu'on l'avait ramené à l'arrière par un uniforme neuf et se décida pour un tour en taverne. Cela faisait longtemps ! voilà deux mois qu'il n'avait pas quitté le front. Il a fallu ce coup de sabre, une couture en plus !

Il espérait bien trouver l'une ou l'autre connaissance et pourquoi pas la Capitaine Nathalie, voilà longtemps qu'il ne lui avait plus offert de tisane vodka !

Il entra donc de joyeuse humeur dans la taverne mais déchanta un peu lorsqu'il constata qu'il y avait peu de monde.

Il avisa le jeune sous-lieutenant attablé seul et se présenta à lui. Bonsoir Ss-Lieutenant, permettez-moi de me présenter Anton Viersky du XXIIème Jägers, me permettez vous de partager votre table et de vous offrir à boire par la même occasion ?

Publié : lun. janv. 28, 2008 11:55 pm
par vétéran Fedor Fes
Fedor trinque avec les chefs de guerre

Il a l'air bien ce franski... Il n'a pas peur de nous, c'est mieux.
Je les aime comme ça quand ils sont vivants. J'espère qu'en plus ses bagages sont riches.

Publié : mar. janv. 29, 2008 7:17 am
par vétéran Becker
Becker se retourna, et écouta le monologue du Russe Fes.

Monsieur, comment pouvons-nous avoir peur de vos pouilleux en uniformes ? Si encore nous pouvons appeller ça, il montra du doigt un des Cosaques un uniforme...