La Campagne de Russie

Le sous-lieutenant filandais qui était venu dans cette taverne pour oublié le front mais il y avait des types d'en face qui se querellait avec ses camarades russes dont il dit a ses camarades cosaques qu'il allait revenir.
dont il se leva brusquement en prit la garde de son sabre et s'avancait vers l'officier français et ses deux hommes armé et lui dit:

Bon les français on en a assé de vous et de votre armée sur notre mère-patrie mais la attaqué d'autre de mes compatriotes dans une taverne ne se fait pas.

apres il fit signe a deux cosaques de venir lui prêter main forte pour s'occupé des deux hommes armées et il se mit en garde

Arghentur qui pensait que l'affaire était réglé commençait à rengainez mais un officier russe intervint et appela l'aide de 2 de ses amis. Aussitôt ceux ci dégainèrent.
Léoségur et Léopold les mirent en joue. Léonora dégaina avec Arghentur et ceux ci se mirent devant les français.

-Messieurs cette affaire se règle au sabre !!!
Léoségur Léopold dégainez !

Aussitôt ceux ci dégainèrent ainsi que tout les officiers présents. Arghentur se jeta sur Véralk qui para sa première attaque mais aussitôt Arghentur l'assailla à nouveau avec toute son expérience de sabreur Véralk faiblissait mais tenait encore bon. Léoségur et Léopold se jetèrent sur les cosaques et Léonora se chargea de Neiviv1.
Les lames s'entrechoquèrent encore et encore un cosaque fut blessé à la jambe mais celui ci tenait encore son sabre. Léopold fut touché légèrement au bras gauche ...
Léoségur réussit après maints effort à faire tomber un cosaque grâce à l'aide inopiné d'un tabouret...

Le lieutenant McDonald, accompagné de ses 2 adjudants, vit sortir en courant 2 paysan russe d'une bâtisse. Tout de suite il se mit à leur poursuite. Très vite il les arrêta en se mettant en travers de leurs chemin.

-Hola ! Ou courrez-vous comme ça ? Parlez !

-Une bagarre dans la taverne là bas, sa chauffe entre des officiers russes et français. Il ne vaut mieux pas y rester. Laissez nous passez.

-C'est bon allez-y .
Messieurs, nous y allons. Il ne faut pas risquer de perdre des soldat Français, des officier en plus

Ils dégainèrent leurs sabres, chargèrent leurs pistolets d'arçon et se mirent en route vers la taverne

Lorsque le coup de feu tiré par les russes et visant Matt-matt, Ferrey avait instinctivement sorti son pistolet qu'il portait toujours sur lui, il apostropha les russes.

-Je suis du genre clément, mais je ne pardonne jamais aux lâches qui attaquent dans le dos!

Ensuite Matt-matt et les russes tentèrent de calmer le jeu, tout le mond commençait à rengainer, mais un autre officier russe accompagné de deux cosaques sema la pagaille, Arghentur se jeta sur l'officier en question. Ferrey dégaina sa rapière et engagea le combat avec le deuxième cosaque cosaque, le capitaine parvint à le toucher deux fois au bras gauche mais le russe lui égratigna son bras droit....

Putain mais il est maso celui la, à trois contre je sais pas combien, pensa matt-matt,

-Pas moyen d'avoir la paix, je dois attirer les bastons c'est pas possible!

Et sur ces sages paroles, il dégaina ses 2 sabres et se jeta lui aussi dans la mêlée.[/i]

Louis francois lejeune qui passé par la, vis cette bagarre de taverne, déguéna son sabre, et cria pour l'empereur !

-Vous les russes, vous allez rotir ce soir héhé !
Je vais vous apprendre a tenir tête a l'armée française

Puis il planta des russe, avec son sabre, qu'il avait depuis le camp de boulogne 1804 ...

Le Lieutenant arrivé à proximité de la taverne, il bondit de son cheval et avant même de l'avoir attacher, se précipita vers la bâtisse sabre à la main, ses adjudant arrivèrent à leurs tours et firent de même que leur officier:

-Debriski venez avec moi, vous êtes une fine lame, vous me serrez d'une grande utilité.

Il se tourna ensuite vers son deuxième adjudant qui s'apprêter à rentrer :

-Quant à vous surveillez bien l'entrée et n'hésitez pas à prendre en chasse du russe. Ce n'est pas pour rien qu'on as chargé nos pistolets d'arçon. Et si ça tourne mal, allez chercher des renforts dans votre compagnie.

Ses adjudants lui firent un mouvement de la tête en signe d'accord et ils entrèrent tout deux. Passer la porte, les deux militaires esquivèrent de peu un tonneau lancé par un officier russe. Prit de rage, le Lieutenant sauta sur le russe qui tomba à terre, aidé par son adjudant il se releva en puis constatèrent les officier déjà présent : Parmi eux se trouvé le chef de bataillon Arghentur avec qui il avait déjà fait connaissance. Il s'y trouvé aussi la capitaine Ferrey qui était visiblement blessé au bras droit puisqu'il se le tenait.

-Debriski, allez l'aidez. Quant à moi je vais me faire ces saletés de cosaque.

Il monta alors sur une table et déclara :

-Messieurs, je propose que les vaincu payent les dégâts, restons honnête parbleu et que le meilleurs gagnent !

Le sous-lieutenant finlandais étais gravement bléssé au bras gauche et a la jambe droite mais il tenait debout et vit ses amis cosaques qui était morts massacré par c'est sales francais et il leur cria:


VOUS LES FRANCAIS VOUS ETES DES LACHES UNE SEULE PERSONNE VOUS ATTAQUE ET VOUS L'ATTAQUEZ TOUS!

après cela il s'effondra sur le sol et perdit conaissance

Vous nous traitez de lâche!!! C'est vous qui nous avez attaqués alors que nous rengainions. Je n'ai rarement vu comportement aussi peu honorable. Mais je suis conciliant, et je vous laisse une dernière chance: baissez les armes, et nous vous laisserons emmener les corps de vos compagnons qui vous ont suivi dans votre démence, afin que vous puissiez leur donner une sépulture. Ceci est mon dernier avertissement. Je parle d'honneur il va de soit que si vous décidez de poursuivre malgré tout, ce sera un duel entre vous et moi !

Sur ce, il renforça sa garde, prêt à un éventuel coup en traitre de son adversaire. il ne devais pas perdre, il n'avait pas de quoi payer pour le bazar monstre qu'ils venaient de semer.

HRP :
ne devrions nous pas changé le titre de ce post

HRP: ferrey et moi en parlions ^^ c'est vrai qu'on a pas mal dérivé et s'est à 45% ma faute ( statistique mis en place par moi et ferrey ^^)

Neiviv1 avait cru voir la situation se calmer, mais voilà maudit Finlandais avait tout envenimé.
Il avait ordonné à Лояльность de fuir la taverne le plus vite possible.
Pendant ce temps, l'adjudant d'Argenthur, Léonora, commença à le charger.
Il ne sortit pas son sabre, et se contenta juste de repousser son adversaire sans le blesser.
L'Ukrainien voyant le nombre de Français arrivé et la situation plus que dégénérer, préféra se retirer dehors le temps que les choses se calment.
Il vit une officier à cheval rentrer avec 2 de ses hommes, mais préféra les laisser faire, plutôt que de leur dire qu'ils étaient déjà à 12 Français environ contre 3 Russes.
Quand il n'entendit plus aucun bruit venant de la bicoque, il rentra à nouveau, lachant sabre à terre, et déclarant en espagnol:

Tout est fini, le Finlandais et ses 2 hommes sont à terre, et je ne souhaite point finir comme ces fous.
Rengainez vos sabres, et faisont comme qui rien ne s'était passé.

\HRP:Dans les statistiques, j'ai aussi une bonne part, mais je pensais absolument pas que ce sous Lieutenant perdrait ainsi la boule, je pensais pas que ça irait si loin.c Désolé /

Arghentur qui avait écouté les palabres de ses camarades sans broncher en faisant toujours face à Neviv1 qui paradait toujours ses attaques avec une expérience qu'Arghentur n'avait jamais vu. Il réussit néanmoins à le désarmer et le combat cessa.
Léopold et Léoségur tenait avec Léonora les 2 russes au sol. Les autres français c'était acharné sur Véralk et ses hommes.
Tout le monde dans la pièce rengaina ...

-Bien je crois que cette fois bien que le combat fut certes inégal que les Russes en on prit un coup.
J'offre un verre à tout le monde et surtout à Neviv1 qui est une fine lame.
Tout le monde sortira de cette taverne en vie après avoir partagé ma tournée !

Arghentur demanda à Léoségur de payer pour lui ...

Le bruit des combats avait attiré un groupe de personnes (cinq), alors qu'il entrèrent, ils aperçurent des hommes morts, d'autres sérieusement blessés, et d'autres qui avaient repris le fil de leurs discussions.
L'un des hommes s'exclama:

_Andreas, je t'avais bien dit que nous n'aurions pas le temps de nous arrêter pour boire une vodka.

_En effet, mais on ne pouvait pas refuser un verre aussi aimablement offert par le patron de la taverne.

Après avoir répondu à Joseph Speckbaker, Andreas se tourna vers la salle:

_Salut la compagnie! Salut les russes et salut les français! Je vois qu'on c'est battu par ici, serait-ce dut à une éventuelle pénurie d'alcool?
Sinon, ce sera un schnapps pour moi et mes compagnons!

-Certes le combat fut inégal, mais c'est ce que l'on appelle chez nous la solidarité. Bon remettons les tabourets et tables à leurs places... et réveillons et pansons ce fougueux Finlandais.

Ferrey salua les tyroliens qui rentrèrent dans la taverne, puis commença à ranger la salle.