Rencontre[RP] Russes/Francais

[vétéran Viesse De 1]

je ne manques de respect à personne, vous vous battez avec honneur et courage, vous etes digne d'etre nos ennemis ...

Bonne chance pour me trouver ...

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Regardez moi les petits coqs du nain. Ils sont pitoyable. Ils contraint de toujours ressasser les mêmes veilles victoires pour parvenir à se donner de la constances. Admettez le monseir, l'époque de votre gloire militaire est passé et bientot passera avec elle celle de votre empire bien aimée. Et enfin de ses cendres Renaitre la grande et belle monarchie française.

[vétéran Viesse De 1]

Pour parler de destruction de l''empire francais, ne faudrait-il pas que vous soyez en France, pour pouvoir au moins nous menacer ?

Dois-je vous rapeller où nous sommes, à quelques kilométres de Moscou il me semble, alors d'abord, sauvez votre bon tsar qui se cache, et ensuite vous pourrez parlez de notre destruction

[vétéran Ivan Vassilev]

HRP/ On sait pas ou on se situe, enfin pas que je sache, donc ton argument est quelque peut érroné. Si sa se trouve on se bat juste à la frontiere, donc Moscou est a perpet d'ici. Voila c'est tout / HRP

[vétéran Antonio Corelli]

Revenant du front le Sous-lieutenant Erwin Von Botryche et son Adjudant décidèrent d'allé ce restaurer dans un taverne digne de deux Prussiens. Ils firent le tour de la ville, jusqu'au moment ou il trouvèrent en fin une taverne qu'ils leur donnaient l'envie d'aller boire un bon petit verre. Erwin rentra le premier, et vit qu'il avait du monde a l'intérieur.

"Bien le bonjour Monsieur!!! Le temps n'ai pas très beau à cette période. Venait Gunter, nous allons Boire un verre a cette table"

L'officier et son Adjudant se dirigèrent vers une table dans un coin de la Taverne.

"Tavernier deux verres de vins et deux verres de Vodka s'il vous plaît!" dit Gunter Bourne en passant devant le Bar.

[vétéran Davoust]

(HRP/ Nous sommes en Russie sans doute près de Borodino selon moi et la frontière entre la France et la Russie est aussi existente que celle entre la Chine et le Pérou /HRP)

Davoust lança en direction du Royaliste

Monsieur le Duc du Trou du Fond de l'Univers, la monarchie telle que vous la voyez, c'est la Monarchie du plaisir, plaisir pour les êtres qui se croient supérieurs "aux brigands qui passent leurs journées à retourner des Ares de terre". Mais vu par le brigand qui souffre pour donner toutes sa maigre subsitance à n'importe quel abruti qui se dit "noble de sang". Monsieur l'Abbé, avez-vous dormi sur les bords d'une rue, parce que soi-disant votre maison gênait la vue du Palais du Marquis de la Raclure du Fond de mon Entrefesse ?

Jamais, vous êtes né avec la cuillèe d'argent dans la bouche et n'aait jamais fait la moindre chose pour la conserver alors que le peuple souffrait. Aussi monsieur le Royaliste, veulliez avec mon respectueux salut, vous faire foutre.

Puis à l'adresse de ceux qui se moquait du repli de son régiment,
Quant aux Russes blafards,

Pour arriver jusque là, il me semble que nous vous avons forcément rejété au loin.
Et nous recommencerons, la mort est désormais notre métier à tous autant que nous sommes. Tachons de l'effectuer avec la plus grande perfection.

[Alexandre Ivanovitch]

Pavlovitch qui écoutait la conversation depuis maintenant un moment réagit sur cette phrase du Francais:

Pour arriver jusque là, il me semble que nous vous avons forcément rejété au loin.

Cela dépend de ce que vous entendez par " vous " si c'est au sens général Russe, d'accord. Si vous parlez de l'Armée du Tsar c'est faut, car nous étions au nord à cette époque entrain de faire fuir vos frères.

Se resservit à boire.

[vétéran Antonio Corelli]

Erwin était assied à une table avec son adjudant, il buvait un bon petit verre de vin tous en écoutant la conversation que disaient les personnes qui était dans l'habitation.

Cela dépend de ce que vous entendez par " vous " si c'est au sens général Russe, d'accord. Si vous parlez de l'Armée du Tsar c'est faut, car nous étions au nord à cette époque entrain de faire fuir vos frères.

Bien parlait Major!!!

[Alexandre Ivanovitch]

Pavlovitch et Tchernitchev levèrent leurs verres ensemble et rirent de bon coeur.

Chez nous c'est: Avance et ne recule jamais, choisis la mort plutot que la honte !

L'Armée du Tsar n'a jamais reculé contre sa volonté, c'est pas demain la veille que ca va commencer !
Les deux officiers semblaient quelque peu animé par l'alcool, Alexandre hésita à les calmer mais il n'en fit rien, après tout c'était leur jour de repos.

[vétéran Davoust]

Mais vu que l'on peut mourrir de honte, vos pertes seront bientôt élevés.

Puis ce levant,


Vive la France ! Vive l'Empereur ! Vive le IIIe corps !

Pour la Gloire et la Patrie !

[vétéran Yvan Makarenko]

Yvan était entré dans la taverne et écoutait les conversations depuis un certain temps, le sourire et le dégoût aux lèvres.

Il finit par dire : Messieurs les grands donneurs de leçons tricolores, je pense que depuis votre révolution jusqu'à aujourd'hui votre pays peut se targuer de donner au monde un seule leçon : celle de l'art de faire acclamer ses dirigeants pour répandre le sang et les larmes de son peuple et des nations d'Europe : guillotines, ventres crevés et larmes des familles voilà en effet en quoi vous êtes experts. Vous avez rejeté Dieu pour vous jeter dans les bras du Diable et bien que votre peuple reste en enfer puisqu'il s'y sent si bien au côté des démons qui le dirige !

Vous étiez un grand pays dirigé pas des hommes bénis de Dieu, vous êtes maintenant la masure de Satan !

Je ne vous salue pas.

Yvan se leva et quitta la taverne en lançant son verre contre le mur.

[vétéran Molokov Popovitch]

Molokov Popovitch rentra tout seul... Il alla s'asseoir à une table non loin du L'Adjudant Pavlovitch Romanov au cas ou il aurait un problème.

-Ahhh, ca fait du bien de s'asseoir....

Commenda un verre de vodka pomme et le bu d'un coup sec.
Il regardait attentivement avec qui Pavlovitch parler... Se dit dans sa tête:

-Pourquoi parle t-il avec un français?

[vétéran Viesse De 1]

De Marmont entra, avec son aide camp, et alla s'assoir à la table du ss-lt Davoust puis cria à Yvan, comme ci il était encore là.
Mon chére Yvan, vous dites que nos anciens tyrans etaient bénnient de Dieu ?
Si vous apellez bennit des Dieu, un gros paresseux qui affame le peuple, qui ne lui laisse aucune libérté, alors oui, ils étaient bennit de Dieu.

Au moins maintenant, nous avons des lois égales envers tous, nous sommes tous libres, nous sommes fort .
La France vit son apogée, le peuple francais vit son apogée .

Puis, levant son verre.

Vive la France, vive le Peule, vive l'Empereur

[vétéran Boris Kotowski]

Olek ricana, le francais ne s'était pas apercu que Yvan était partit, il parlait a une ombre

[Davout]

vou fesiez moins les malin quand nous campions a la porte de votre "ville du tzar".