La Campagne de Russie

Des alliés ou des étrangers servant dans la Grande Armée?

Non.

C'est la dèche!

Mais j'en conviens c'est dure.

Indice: Qui va aider à trouver sa nationalité et le lieu.

Il à dit ceci avant de dire la première:

Cela n'a jamais été comme cela en Espagne, monsieur"

Autre indice:

Cela se passe dans un carré....

Pour l'endroit, ça peut-étre aux Quatres-bras ou à Waterloo...
Bon, le mec c'est un colonel, capitaine ou chef de bataillon anglais commandant un régiment ou un bataillon en carré...donc face à une charge de cavalerie.
Mias pour le reste, je séche complétement!

Pour l'endroit, ça peut-étre aux Quatres-bras ou à Waterloo...

C'est Waterloo

Bon, le mec c'est un colonel, capitaine ou chef de bataillon anglais commandant un régiment ou un bataillon en carré...

Aucun de ces grades.

donc face à une charge de cavalerie.

On les charge pas vraiment.... Les cavalier reste devant eux ( à bonne distance), mais c'est autre chose qui fait que certain on le réflexe de se baisser.

Réponse ce soir vers 22H00.

-C'est clair que c'est boulets des canons français.
Est ce un soldat parlant à Wellington ?

Est ce un soldat parlant à Wellington ?

Les deux protagonistes son dans le même régiment.

Le 52éme régiment?

52+21.......

lol okok alors l'officier du 73éme était le lt colonel Harris...Mais bon aprés j'a beau chercher je n'ai rien de plus précis...

l'officier du 73éme était le lt colonel Harris...

C'est un grade inférieur. Son grade tien en deux mot. Et donc ce n'est pas la bonne personne.

Aller j'ai pitié:

Cela se passe à Waterloo au niveau de la ligne centrale de Wellington après la chute de la Haie Sainte.

Les canons français avancent crânement face aux anglo-alliés soutenu par des escadrons de cuirassiers et quelques tirailleurs. Les canons vomisses littéralement de la mitraille sur les pauvres carrés.

Le carré du 73e se fait massacrer par les salves de mitraille et les tirs des tirailleurs. Le sergent major Bellam étant dans le carré, il assiste aux premières loge de ce moment dramatique, il parla au chef du régiment "Cela n'a jamais été comme cela en Espagne, monsieur". Mais voyant un des soldats se baisser par intervalle lorsque les balles sifflaient très prêt de lui, il n'en lui en fit pas moins la leçon: "Damnation monsieur, pourquoi vous penchez vous? Vous ne devez pas vous pencher même s'ils vous arrachent la tête!"

L'homme chatouilleux de nature lui en garda rancune. Quelques minutes plus tard, une balle frappa le major en plein visage, le tuant sur le coup, le soldat se pencha sur le cadavre défiguré et s'exclama en contrefaisant son supérieur: "Damnation monsieur, pourquoi êtes vous à terre? Vous ne devez pas être à terre, même si il vous arrache la tête!"

Voila, je suis d'accord c'était très dure!

J'ai plein d'autre anecdote sur ce moment tragique pour les soldats de Wellington.

Je donne la main à Tomaso.

Ferrey a écrit :
J'ai plein d'autre anecdote sur ce moment tragique pour les soldats de Wellington.

tu as vu ça dans un bouquin? pck dans le genre corsé, ça se posait là!

bon en cherchant un peu, vous devriez trouver rapidement:

le général Lejeune (tiens ça faisait longemps) en plus d'avoir peint, fait le récit de batailles, commandé des troupes; il a aussi dessiné les uniformes d'un régiment. Quel est ce régiment?

Ferrey a écrit :J'ai plein d'autre anecdote sur ce moment tragique pour les soldats de Wellington.

Je ne suis pas fan de cette époque et même de l'Histoire si on va plus loin mais j'adore ce genre d'anecdotes.