Publié : dim. janv. 16, 2011 6:53 pm
" Pour la première fois depuis bien longtemps maintenant j'ai été rappelé derrière les lignes de front. Une estafette est venue me trouver en première ligne pour me tendre une lettre émanant de l'E-M.
En gros je devais me présenter au plus vite à la tente de l'E-M. Les raisons ? Elles m'étaient encore inconnues à ce moment là.
J'ai donc dispensé mes ordres au mieux, enfourché mon cheval et je suis partit voir les huiles.
Une fois arrivé là-bas j'ai été rapidement mis au parfum. Le major qui me recevait ne semblait effectivement pas trop avoir le temps de bavarder. Il m'a tendu une paire de galon de Chef de Bataillon, m'a fait l'accolade et m'a félicité. Il m'a dit qu'avec ce nouveau grade je recevais également le commandement d'une unité de voltigeurs. Celle-là même que j'avais commandé il y a quelques années lorsque j'avais obtenu le grade de lieutenant.
Mieux encore, pour service rendu à la patrie l'Empereur avait décidé de me retirer le commandement de mon unité de cavalerie légère de lanciers Polonais et de me promouvoir à la tête d'une unité de cavalerie d'élite. Le choix de l'unité d'élite qui devait m'être confiée restait cependant à l'appréciation de l'E-M.
Le major m'expliqua longuement qu'il hésitait à me confier des Cuirassiers ou des Dragons mais que finalement il avait opté pour les Dragons de l'Impératrice. Il me fit cependant savoir que cette affectation n'était nullement définitive vu les pertes monstrueuses que subissait la Grande Armée. Il se pourrait donc que je rejoigne un jour ou l'autre le régiment des Cuirassiers.
Pour moi ce fut une révélation, un véritable honneur que de pouvoir appartenir à la caste des Dragons de l'Impératrice, connus et reconnus par tous comme étant l'élite des gentilshommes de France.
C'est ainsi que fier comme un paon je pris rapidement congé de mon supérieur. De Capitaine je passais maintenant à Chef de Bataillon et de commandant d'une unité de lanciers Polonais je passais maintenant au commandement d'une unité de Dragons. Ceux ci ainsi que les voltigeurs étaient déjà en route et avaient ordre de me rejoindre au front.
Je décida donc de ne pas perdre une minute et de repartir auprès des mes hommes. La guerre n'était pas finie loin de là. "
En gros je devais me présenter au plus vite à la tente de l'E-M. Les raisons ? Elles m'étaient encore inconnues à ce moment là.
J'ai donc dispensé mes ordres au mieux, enfourché mon cheval et je suis partit voir les huiles.
Une fois arrivé là-bas j'ai été rapidement mis au parfum. Le major qui me recevait ne semblait effectivement pas trop avoir le temps de bavarder. Il m'a tendu une paire de galon de Chef de Bataillon, m'a fait l'accolade et m'a félicité. Il m'a dit qu'avec ce nouveau grade je recevais également le commandement d'une unité de voltigeurs. Celle-là même que j'avais commandé il y a quelques années lorsque j'avais obtenu le grade de lieutenant.
Mieux encore, pour service rendu à la patrie l'Empereur avait décidé de me retirer le commandement de mon unité de cavalerie légère de lanciers Polonais et de me promouvoir à la tête d'une unité de cavalerie d'élite. Le choix de l'unité d'élite qui devait m'être confiée restait cependant à l'appréciation de l'E-M.
Le major m'expliqua longuement qu'il hésitait à me confier des Cuirassiers ou des Dragons mais que finalement il avait opté pour les Dragons de l'Impératrice. Il me fit cependant savoir que cette affectation n'était nullement définitive vu les pertes monstrueuses que subissait la Grande Armée. Il se pourrait donc que je rejoigne un jour ou l'autre le régiment des Cuirassiers.
Pour moi ce fut une révélation, un véritable honneur que de pouvoir appartenir à la caste des Dragons de l'Impératrice, connus et reconnus par tous comme étant l'élite des gentilshommes de France.
C'est ainsi que fier comme un paon je pris rapidement congé de mon supérieur. De Capitaine je passais maintenant à Chef de Bataillon et de commandant d'une unité de lanciers Polonais je passais maintenant au commandement d'une unité de Dragons. Ceux ci ainsi que les voltigeurs étaient déjà en route et avaient ordre de me rejoindre au front.
Je décida donc de ne pas perdre une minute et de repartir auprès des mes hommes. La guerre n'était pas finie loin de là. "