Blague !
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- vétéran Yousev Cotterley (Mat. 10684)
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bon plus soft celle la militaire en plus:
Deux militaires à l'entraînement:
-Pourquoi t'es tu engagé dans l'armée...
-Parce que je suis célibataire et j'aime la guerre...Et toi...
Moi, je suis marié et je voulais la paix !
Deux militaires à l'entraînement:
-Pourquoi t'es tu engagé dans l'armée...
-Parce que je suis célibataire et j'aime la guerre...Et toi...
Moi, je suis marié et je voulais la paix !
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
- vétéran Laegh (Mat. 12192)
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- vétéran Yousev Cotterley (Mat. 10684)
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bon aller quelques autres avant le rugby:
Quelle est la différence entre un baril de lessive et un commissariat de police ?
- Dans un baril d'Ariel, on trouve toujours au moins deux agents actifs !
Qu'est-ce que deux flics intelligents dans la rue ?
Deux personnes qui vont au bal masqué.
la méilleure pour la fin:
C'est un amiral qui s'adresse à un de ces sergents au garde à vous
- Alors comment trouvez-vous l'armée ?
- L'armée c'est comme les poils, j'en ai plein le cul !
- Et tes permissions c'est comme mes couilles, elles sont suspendues !
Quelle est la différence entre un baril de lessive et un commissariat de police ?
- Dans un baril d'Ariel, on trouve toujours au moins deux agents actifs !
Qu'est-ce que deux flics intelligents dans la rue ?
Deux personnes qui vont au bal masqué.
la méilleure pour la fin:
C'est un amiral qui s'adresse à un de ces sergents au garde à vous
- Alors comment trouvez-vous l'armée ?
- L'armée c'est comme les poils, j'en ai plein le cul !
- Et tes permissions c'est comme mes couilles, elles sont suspendues !
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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- vétéran Aurélien Davignon (Mat. 186)
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Le soldat de 2eme classe Barnabé est en entraiment au stand de tir de la caserne, mais le bougre rate toujours la cible.
Le sergent qui passe demande à Barnabé de sérieuse explications concernant ses raté.
Barnabé aussi intelligent qu'une chenille de char lecler decide alors de boucher le bout du canon de son fusil et tire un coup, naturellement, il se fait pulvériser le doigt devant le sergent qui est de marbre devant la performance de barnabé, ce dernier retorque à son supérieur : C'est ça ! Le problème doit venir de la !!
- vétéran Ivan Vassilev (Mat. 770)
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- Roland de Montrevel (Mat. 31)
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mon premier contact avec un régiment d'artillerie, un sergent nous reçoit... au bout de 10 minutes un adjudant rentre dans la pièce en disant au sergent "t'es plus de garde toi ? " "ho merde !" et le sergent file tel Bip-Bip dans un petit nuage de poussière...
l'adjudant le regarde partir... soupire.. et nous lâche en parlant du sergent "Propulsion réelle... tête inerte !"
l'adjudant le regarde partir... soupire.. et nous lâche en parlant du sergent "Propulsion réelle... tête inerte !"
- vétéran Yousev Cotterley (Mat. 10684)
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Qu'est-ce qui se lève quand tu t'en sers, qui s'abaisse quand tu as fini de t'en servir et qui goutte après usage ?
Réponse : Un parapluie, bande d'obsédés !!!
Réponse : Un parapluie, bande d'obsédés !!!
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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- vétéran Yousev Cotterley (Mat. 10684)
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pour les filles en boite:
L'homme : On ne s'est pas déjà rencontre ?
La fille : Oui, c'est moi la réceptionniste de la clinique spécialisée dans les maladies vénériennes.
L'homme : Je ne vous ai pas déjà vu quelque part ?
La fille : Oui, c'est pour ça que je n'y vais plus.
L'homme : Est ce que ce siège est disponible ?
La flle : Oui, et celui ci le sera aussi si vous vous asseyez.
L'homme : Alors, si on allait chez moi ?
La fille : Je ne sais pas. Il y a deux places dans une poubelle ?
L'homme : On va chez toi ou on va chez moi ?
La fille : Les deux. Tu vas chez toi, et moi je vais chez moi.
L'homme : Je voudrais bien te rappeler. C'est quoi ton numéro ?
La fille: Il est dans l'annuaire.
L'homme : Mais je ne connais même pas ton nom !
La fille : Il est dans l'annuaire aussi.
L'homme : Alors, qu'est ce que tu fais dans la vie ?
La fille : Je suis travesti.
L'homme : Tu es née sous quel signe ?
La fille : Entrée interdite.
L'homme : Comment tu préfères tes oeufs le matin au petit déjeuner ?
La fille : Non fécondés !
L'homme : Allez, on ne me la fait pas a moi : on est ici tous les deux dans cette boite pour la même raison
La fille : Ouais ! Pour se ramasser des gonzesses !
L'homme : Je suis la pour combler tous tes fantasmes !
La fille: Tu veux dire que tu possèdes un âne et un dogue allemand ?
L'homme : Je veux me donner a toi.
La fille : Désolé, je n'accepte pas les cadeaux de pacotille.
L'homme : Si je pouvais te voir toute nue, je mourrais heureux.
La fille : Peut être, mais si je te voyais tout nu, je mourrais de rire,
L'homme : J'irai au bout du monde pour toi...
La fille: Oui, mais est ce que tu saurais y rester ?
L'homme : Comment fais tu pour être si belle ?
La fille : Je fais le contraire de toi,..
et celle la conue mais trés drole:
Une blague à faire à quelqu'un :
-Tu peux me citer deux monnaies étrangères ? (Il va te donner une monnaie, tu lui réponds)
- Tu peux me citer deux moyens de contraception ? (Normalement il doit savoir aussi, sinon tu lui feras des dessins.)
Tu peux me citer deux fleuves de Rhodésie?
Et la tu lui réponds : Tu ne sais pas? Décidément, il n'y a que l'argent et le cul qui t'intéressent !
L'homme : On ne s'est pas déjà rencontre ?
La fille : Oui, c'est moi la réceptionniste de la clinique spécialisée dans les maladies vénériennes.
L'homme : Je ne vous ai pas déjà vu quelque part ?
La fille : Oui, c'est pour ça que je n'y vais plus.
L'homme : Est ce que ce siège est disponible ?
La flle : Oui, et celui ci le sera aussi si vous vous asseyez.
L'homme : Alors, si on allait chez moi ?
La fille : Je ne sais pas. Il y a deux places dans une poubelle ?
L'homme : On va chez toi ou on va chez moi ?
La fille : Les deux. Tu vas chez toi, et moi je vais chez moi.
L'homme : Je voudrais bien te rappeler. C'est quoi ton numéro ?
La fille: Il est dans l'annuaire.
L'homme : Mais je ne connais même pas ton nom !
La fille : Il est dans l'annuaire aussi.
L'homme : Alors, qu'est ce que tu fais dans la vie ?
La fille : Je suis travesti.
L'homme : Tu es née sous quel signe ?
La fille : Entrée interdite.
L'homme : Comment tu préfères tes oeufs le matin au petit déjeuner ?
La fille : Non fécondés !
L'homme : Allez, on ne me la fait pas a moi : on est ici tous les deux dans cette boite pour la même raison
La fille : Ouais ! Pour se ramasser des gonzesses !
L'homme : Je suis la pour combler tous tes fantasmes !
La fille: Tu veux dire que tu possèdes un âne et un dogue allemand ?
L'homme : Je veux me donner a toi.
La fille : Désolé, je n'accepte pas les cadeaux de pacotille.
L'homme : Si je pouvais te voir toute nue, je mourrais heureux.
La fille : Peut être, mais si je te voyais tout nu, je mourrais de rire,
L'homme : J'irai au bout du monde pour toi...
La fille: Oui, mais est ce que tu saurais y rester ?
L'homme : Comment fais tu pour être si belle ?
La fille : Je fais le contraire de toi,..
et celle la conue mais trés drole:
Une blague à faire à quelqu'un :
-Tu peux me citer deux monnaies étrangères ? (Il va te donner une monnaie, tu lui réponds)
- Tu peux me citer deux moyens de contraception ? (Normalement il doit savoir aussi, sinon tu lui feras des dessins.)
Tu peux me citer deux fleuves de Rhodésie?
Et la tu lui réponds : Tu ne sais pas? Décidément, il n'y a que l'argent et le cul qui t'intéressent !
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
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ba non méme pas mais je conais bien leurs répliques^^
gas séducteur et fier de l'étre
une blaque tient :
Tiens! Figurez-vous que c'est l'histoire d'un type qui veut à tout prix éviter le service militaire. Il ne veut pas, mais alors pas du tout, porter l'uniforme, et il est prêt à tout pour ça! Dingue, non? Il va donc voir un ami à lui qui est médecin:
- Ben, c'est qu'en ce moment, ils prennent tout le monde! Je ne vois qu'une seule chose... C'est de te faire castrer, devenir eunuque quoi!
Alors là, vous allez pas le croire, mais le type n'hésite pas une seule seconde et... Hop! Il se fait châtrer vite fait bien fait et rapplique devant le conseil de révision. Le toubib militaire le regarde rapidement, et fait:
- Vous êtes réformé!... Vous avez les pieds plats!
adjudant francais a l'oeuvre:
Un adjudant est au pied d'un arbre où sont embusqués des soldats :
- Combien êtes vous là-haut ? demande-t-il :
- Trois mon adjudant!
- Bien, que la moitié descende tout de suite !
Planques:
Sur le front, c'est la nuit. Les déflagrations se succèdent, les cadavres jonchent le sol.
Un obus vient d'atterrir près du soldat Mitchell, envoyant en l'air des tripes et des morceaux de membres sanglants.
Pris de panique, Mitchell s'enfuit. Il court, court, puis soudain, dans l'obscurité la plus totale, il heurte un militaire campé fièrement sur ses deux jambes.
- Pardon, mon lieutenant ! s'exclame Mitchell.
- Je ne suis pas lieutenant, soldat !
- Excusez moi, mon commandant, bafouille Mitchell.
- Je ne suis pas commandant, je suis général !!!
- Ah, dit Mitchell, je suis déjà si loin du front ?
gas séducteur et fier de l'étre
une blaque tient :
Tiens! Figurez-vous que c'est l'histoire d'un type qui veut à tout prix éviter le service militaire. Il ne veut pas, mais alors pas du tout, porter l'uniforme, et il est prêt à tout pour ça! Dingue, non? Il va donc voir un ami à lui qui est médecin:
- Ben, c'est qu'en ce moment, ils prennent tout le monde! Je ne vois qu'une seule chose... C'est de te faire castrer, devenir eunuque quoi!
Alors là, vous allez pas le croire, mais le type n'hésite pas une seule seconde et... Hop! Il se fait châtrer vite fait bien fait et rapplique devant le conseil de révision. Le toubib militaire le regarde rapidement, et fait:
- Vous êtes réformé!... Vous avez les pieds plats!
adjudant francais a l'oeuvre:
Un adjudant est au pied d'un arbre où sont embusqués des soldats :
- Combien êtes vous là-haut ? demande-t-il :
- Trois mon adjudant!
- Bien, que la moitié descende tout de suite !
Planques:
Sur le front, c'est la nuit. Les déflagrations se succèdent, les cadavres jonchent le sol.
Un obus vient d'atterrir près du soldat Mitchell, envoyant en l'air des tripes et des morceaux de membres sanglants.
Pris de panique, Mitchell s'enfuit. Il court, court, puis soudain, dans l'obscurité la plus totale, il heurte un militaire campé fièrement sur ses deux jambes.
- Pardon, mon lieutenant ! s'exclame Mitchell.
- Je ne suis pas lieutenant, soldat !
- Excusez moi, mon commandant, bafouille Mitchell.
- Je ne suis pas commandant, je suis général !!!
- Ah, dit Mitchell, je suis déjà si loin du front ?
Pourquoi enterre-t-on les français sur le ventre? Parce que si on les enterrait sur le dos, il n'y aurait pas assez de terre que pour remplir leurs grandes gueules.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
Le ridicule ne tue pas, Yousev Cotterley, lui, tue le ridicule.
-
- Sous-Lieutenant
- Russe
- Messages : 13
- Inscription : dim. janv. 21, 2007 1:20 am
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je rouvre le sujet pour une histoire véridique hilarant:
San Diego - Au dîner annuel donné par l’Association Américaine pour la Recherche Future (AAFS), le Président, Don Harper Mills étonna son audience avec une histoire à propos de complications légales survenues après une mort quelque peu bizarre.
Le 23 mars 1994, le médecin légiste examina le corps de Ronald Opus et conclut qu’il était mort de plaies par balles à la tête. La victime avait sauté du haut d’un immeuble de 10 étages lors d’une tentative de suicide (il avait préalablement laissé une lettre indiquant ses intentions).
Lors de son saut, il fut tué à hauteur du 9ème étage par un coup de feu tiré par la fenêtre, ce qui l’acheva instantanément. Ni le tireur, ni Opus n’étaient au courant qu’un filet de sécurité avait été posé au 8ème étage pour protéger les laveurs de carreaux, et que de toutes les façons, cette tentative était vouée à l’échec.
« D’ordinaire, continua le Dr Mills, quelqu’un qui prévoit de se suicider finit par y arriver, même si ce n’est pas par le moyen qu’il avait premièrement envisagé. Qu’Opus ait utilisé plusieurs moyens différents pour se suicider n’aurait jamais changé la qualification juridique de la cause de sa mort de suicide en homicide. En revanche, le fait que sa tentative de suicide ait été infructueuse a poussé le légiste à déduire que ce qu’il avait entre les mains était un homicide.
« Située au 9ème étage, la chambre d’où est parti le coup de feu était occupée par un couple de retraités. Ils étaient en pleine dispute et il le mari menaçait sa femme avec un pistolet. Il était si énervé qu’il a involontairement appuyé sur la détente, a complètement raté sa femme et les plombs ont traversé la vitre frappant Opus. »
Pendant le procès en réponse aux accusations du procureur, le vieil homme et sa femme ont eu comme seule défense le fait qu’ils ne savaient ni l’un ni l’autre que l’arme était réellement chargée. Le vieil homme indiqua alors qu’il lui arrivait fréquemment de menacer sa femme avec une arme non chargée. Qu’il n’avait aucune intention de l’assassiner, et qu’ainsi, la mort de Opus n’était autre qu’un accident.
Cela dit, l’arme avait quand même été accidentellement chargée… ».
La suite de l’enquête permit de trouver un témoin qui avait vu le fils du couple de vieux charger l’arme environ 6 semaines avant l’accident mortel. Il s’est avéré que la vieille femme avait arrêté de verser une pension alimentaire à son fils et celui-ci, connaissant les tendances de son père à menacer sa mère avec son arme, l’avait chargée en espérant qu’il lui fasse la peau. Le cas devenait alors un meurtre : celui de Ronald Opus par le fils du couple. »
Mais ce qui suit est encore pire : après approfondissement de l’enquête, il s’avérait que le fils n’était autre que Ronald Opus lui-même, qui, fou de rage et de désespoir en voyant que sa tentative contre sa mère ne marchait pas avait décidé de se suicider en sautant du toit de l’immeuble situé au 10ème étage. »
Le médecin légiste a finalement clos le dossier comme étant un suicide…
San Diego - Au dîner annuel donné par l’Association Américaine pour la Recherche Future (AAFS), le Président, Don Harper Mills étonna son audience avec une histoire à propos de complications légales survenues après une mort quelque peu bizarre.
Le 23 mars 1994, le médecin légiste examina le corps de Ronald Opus et conclut qu’il était mort de plaies par balles à la tête. La victime avait sauté du haut d’un immeuble de 10 étages lors d’une tentative de suicide (il avait préalablement laissé une lettre indiquant ses intentions).
Lors de son saut, il fut tué à hauteur du 9ème étage par un coup de feu tiré par la fenêtre, ce qui l’acheva instantanément. Ni le tireur, ni Opus n’étaient au courant qu’un filet de sécurité avait été posé au 8ème étage pour protéger les laveurs de carreaux, et que de toutes les façons, cette tentative était vouée à l’échec.
« D’ordinaire, continua le Dr Mills, quelqu’un qui prévoit de se suicider finit par y arriver, même si ce n’est pas par le moyen qu’il avait premièrement envisagé. Qu’Opus ait utilisé plusieurs moyens différents pour se suicider n’aurait jamais changé la qualification juridique de la cause de sa mort de suicide en homicide. En revanche, le fait que sa tentative de suicide ait été infructueuse a poussé le légiste à déduire que ce qu’il avait entre les mains était un homicide.
« Située au 9ème étage, la chambre d’où est parti le coup de feu était occupée par un couple de retraités. Ils étaient en pleine dispute et il le mari menaçait sa femme avec un pistolet. Il était si énervé qu’il a involontairement appuyé sur la détente, a complètement raté sa femme et les plombs ont traversé la vitre frappant Opus. »
Pendant le procès en réponse aux accusations du procureur, le vieil homme et sa femme ont eu comme seule défense le fait qu’ils ne savaient ni l’un ni l’autre que l’arme était réellement chargée. Le vieil homme indiqua alors qu’il lui arrivait fréquemment de menacer sa femme avec une arme non chargée. Qu’il n’avait aucune intention de l’assassiner, et qu’ainsi, la mort de Opus n’était autre qu’un accident.
Cela dit, l’arme avait quand même été accidentellement chargée… ».
La suite de l’enquête permit de trouver un témoin qui avait vu le fils du couple de vieux charger l’arme environ 6 semaines avant l’accident mortel. Il s’est avéré que la vieille femme avait arrêté de verser une pension alimentaire à son fils et celui-ci, connaissant les tendances de son père à menacer sa mère avec son arme, l’avait chargée en espérant qu’il lui fasse la peau. Le cas devenait alors un meurtre : celui de Ronald Opus par le fils du couple. »
Mais ce qui suit est encore pire : après approfondissement de l’enquête, il s’avérait que le fils n’était autre que Ronald Opus lui-même, qui, fou de rage et de désespoir en voyant que sa tentative contre sa mère ne marchait pas avait décidé de se suicider en sautant du toit de l’immeuble situé au 10ème étage. »
Le médecin légiste a finalement clos le dossier comme étant un suicide…