LE 18 brumaire la république vengée! L'Empereur a été tué
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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de castillon posa sa main sur l'apaule de chaudard.
oui l'ami, cette guerre a assez durée.
nos troupes, celles du colonel tchekov et les miennes suivent et arriveront d'ici peu.
notre chef rouskoff est au courant de notre accord et nous sommes légitimés dans cette action.
par contre, c'est officieux, je ne sais s'il interviendra en ces moments difficiles qui s'annoncent car il doit aussi veiller au renom de son régiment et notre zone de combats au sud, necessite qu'il y soit présent.
quelles zones de la ville souhaitez vous que nous investissions ?
il nous faut un "couloir d'accès" net et précis, nous ne voulons pas que notre infanterie en arrivant, se retrouve à combattre nos alliés de la liberté.
tout est confus en ce moment et la troupe ne maîtrise pas l'ensemble des données de notre action.
au fait, chaudard, avant notre accord, une de mes compagnie avait ramasser un de vos drapeaux.
le voici, c'est le gage de notre engagement dans notre recherche de terminer ce conflit avec honneur et au plus vite.
la liberté et la paix des peuples seront notre trophée, ce ne sera pas celui de détenir un drapeau.
se tournant vers tchekov, de castillon demanda
qu'en penses-tu l'ami ?
oui l'ami, cette guerre a assez durée.
nos troupes, celles du colonel tchekov et les miennes suivent et arriveront d'ici peu.
notre chef rouskoff est au courant de notre accord et nous sommes légitimés dans cette action.
par contre, c'est officieux, je ne sais s'il interviendra en ces moments difficiles qui s'annoncent car il doit aussi veiller au renom de son régiment et notre zone de combats au sud, necessite qu'il y soit présent.
quelles zones de la ville souhaitez vous que nous investissions ?
il nous faut un "couloir d'accès" net et précis, nous ne voulons pas que notre infanterie en arrivant, se retrouve à combattre nos alliés de la liberté.
tout est confus en ce moment et la troupe ne maîtrise pas l'ensemble des données de notre action.
au fait, chaudard, avant notre accord, une de mes compagnie avait ramasser un de vos drapeaux.
le voici, c'est le gage de notre engagement dans notre recherche de terminer ce conflit avec honneur et au plus vite.
la liberté et la paix des peuples seront notre trophée, ce ne sera pas celui de détenir un drapeau.
se tournant vers tchekov, de castillon demanda
qu'en penses-tu l'ami ?
- vétéran Tchekov (Mat. 10727)
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Tchekov était étonné de se retrouver là. Il avait pensé d'abord rejoindre son campement et discuter avec ses adjudants. Mais, cela allait trop vite.
Tu as bien fait de m'amener ici Didier. Chaudard, faites passer des consignes pour nous laisser accéder sans risque à la ville. J'envoie une de mes estafettes à mon campement. Mon escadron de cuirassier pourra être présent ce soir et mes compagnies à pied demain. Cela fera 700 hommes aguérris prêts à vous soutenir contre les partisans de l'usurpateur.
Il faut profiter de cet évènement pour que les fidèles au despote déposent les armes et pouvoir signer une paix équilibrée.
Tchekov s'écarta et rédigea deux messages.
Vladimir, porte ces deux messages à Tolstoï. Il fera parvenir le second à qui de droit. Dit lui de procéder avec toute la célérité qu'il peut donner. Qu'il nous rejoigne à l'entrée de la ville. Si tu es attaqué, détruit ces deux messages. Ils ne doivent pas tomber entre des mains Françaises.
L'estafette parti immédiatement, accompagnée d'une dizaine des meilleurs hommes de Tchekov pour la protéger.
Tchekov revint près de Chaudard et De Castillon.
J'ai envoyé mon estafette chercher mes hommes. J'ai laissé aussi un message pour notre commandant Saint Hilaire qu'il essaie de faire décréter une trêve, le temps que les troupes Françaises se ralient à vous.
Tu as bien fait de m'amener ici Didier. Chaudard, faites passer des consignes pour nous laisser accéder sans risque à la ville. J'envoie une de mes estafettes à mon campement. Mon escadron de cuirassier pourra être présent ce soir et mes compagnies à pied demain. Cela fera 700 hommes aguérris prêts à vous soutenir contre les partisans de l'usurpateur.
Il faut profiter de cet évènement pour que les fidèles au despote déposent les armes et pouvoir signer une paix équilibrée.
Tchekov s'écarta et rédigea deux messages.
Cher Tolstoï,
De toute urgence, tu dois réunir mon bataillon et nous rejoindre au lieu que l'estafette va t'indiquer. Que tous soient prêt à se battre, mais pas de coup de feu inutils. Nous sommes la pour sécuriser la ville.
Il cacheta les deux messages et prenant son estafette à part, il lui remis en lui donnant ses consignesMojor Saint Hilaire,
Le moment semble effectivement merveilleux. La mort de l'usurpateur nous ouvre des perspectives ! Il me semble intéressant de freiner nos coups contre les Français, pour leur laisser le temps de se battre entre eux. Ensuite, nous n'auront plus qu'à éliminer ceux qui resteront.
Votre dévoué.
Anton Tchekov.
Vladimir, porte ces deux messages à Tolstoï. Il fera parvenir le second à qui de droit. Dit lui de procéder avec toute la célérité qu'il peut donner. Qu'il nous rejoigne à l'entrée de la ville. Si tu es attaqué, détruit ces deux messages. Ils ne doivent pas tomber entre des mains Françaises.
L'estafette parti immédiatement, accompagnée d'une dizaine des meilleurs hommes de Tchekov pour la protéger.
Tchekov revint près de Chaudard et De Castillon.
J'ai envoyé mon estafette chercher mes hommes. J'ai laissé aussi un message pour notre commandant Saint Hilaire qu'il essaie de faire décréter une trêve, le temps que les troupes Françaises se ralient à vous.
Juge suprême Russe et ministre de la justice à la retraite. Non pensionné !
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
Membre du régiment Baggovout.
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
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- vétéran Georges Pontmercy (Mat. 12207)
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- Inscription : mer. oct. 03, 2007 7:24 pm
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L'assaut de la ville tournait mal, encore quelques temps et ils n'auraient plus qu'à se replier... Mais il fallait rester jusqu'au bout, tant que l'on n'était pas sûr de la victoire des démocrates. Il fallait qu'Arnaud Nicolas arrive.
En attendant, il ne pouvait qu'écrire, et confier ces lettres aux différentes estafettes que lui octroyait son statut de rédacteur de la gazette:
En attendant, il ne pouvait qu'écrire, et confier ces lettres aux différentes estafettes que lui octroyait son statut de rédacteur de la gazette:
Arnaud,
Quand arriveras tu ? Rien n'est sûr ici, et je suis immobilisé... Il me faut te voir au plus vite, sans ça tout est perdu. Il me faut la preuve que le tyran est tombé, il faut que nous joignions nos troupes pour marcher, mobiliser les autres et rentrer en France.
Viens à marches forcées mon ami, le temps presse...
Georges.
Chaudard,
Si tout se passe comme prévu tu négocies avec les Russes. N'oublie pas nos revendications:
cessation des hostilités immédiate et repli de toutes les forces de la Grande Armée; démantèlement de l'empire français, la France revenant à ses limites gagnées lors des guerres de la Révolution; Alliance franco-russe commerciale et militaire.
Ne traîne pas trop et ne leur fais pas confiance, il ne faut pas prendre le pouvoir ici mais en France. Rallie tout ce que tu peux, et marche sur Paris, nous te rejoindrons. Laisse les chiens de l'empire aux mains des Russes qui sauront s'en occuper, ça leur fera un os à ronger pour éviter qu'ils ne nous trahissent.
Fais leur croire ce que tu veux, mais ne les laisse pas te poignarder dans le dos, ils sont monarchistes et n'hésiteront pas à décapiter la république à peine celle ci enfantée...
Autre chose: veille à la sécurité de Bailly, c'est un homme bon et il a de l'influence. Tiens tes hommes, et si il s'en sort protège le de ma part. Peu importe ses idéaux, il peut nous être précieux et je l'estime beaucoup.
Bon courage mon ami.
Georges.
Juge suprême,
Nous nous connaissons quelque peu depuis le temps et j'aime à penser que nous sommes presque amis. Vous devez savoir ce qui se trame et aussi que je suis impliqué dedans... Je suis navré que vous ayez été pris pour cible, j'avais demandé à ce que l'on vous épargne mais vous connaissez les révolutions: les hommes deviennent des bêtes et attaquent ce qui les menace. En tant que chef de la Gendarmerie, ils vous ont presque assassiné...
Remettez vous vite, et croyez bien que je fais mon possible pour que votre vie soit épargnée.
Georges.
Mon bon Tchekov,
J'espère que tu as tenu ta parole et que tu es bel et bien avec Chaudard. Tu sais que tu as ma confiance, bien qu'elle se soit érodée depuis l'affaire du procès... Entre camarades de la Gazette, on ne se trahit pas n'est ce pas ?
J'espère que je peux compter sur toi, tu sais à quel point ma patrie et sa liberté m'importe... bien que je sache que la tienne et son Tsar le soient tout autant.
Ne bois pas trop et garde les idées claires, nous avons besoin de toi et tes relations.
Salue Didier de ma part je te prie, pour le peu que j'en ai vu il a l'air d'être un homme digne de la même sympathie que celle que je te porte.
Georges.
Argenthur et Ferrey,
Vous savez que je suis loin, mais si reclus que je sois des échos me parviennent... On dit que l'Empereur a été assassiné ! Mes amis, je sais pouvoir compter sur votre franchise: est il mort ou non ? Je songe à la catastrophe que ça serait pour notre pays si il était déchu, rassurez moi vite je vous en supplie !
Et faites attention, les conspirateurs risqueraient bien de s'en prendre à la Garde. Ne dormez que d'un oeil.
Georges.
"pontmercy ne cherche que le pouvoir. ce personnage n'a aucune limite dans son ambition aucune moralité. je prevois des jours tres sombre a la CDR si il continu a sevir. Avec L*** je les vois bien avoir conclue un pacte pour prendre le pouvoir a CDR"
- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
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Arghentur et Ferrey s'apprêtaient à partir à la rencontre des responsables de la Gendarmerie Impériale, lorsque les soldats de la Garde se mirent à crier: "Nous sommes attaqués! Au sud! Ce sont des Français, trahison!!"
Le moment qu'avait redouté Ferrey arriva, il allait devoir prendre les armes contre des compatriotes... Le Palais était maintenant totalement bouclé, fortifié à l'abri d'un coup de main, et théoriquement toutes les entrés de la ville, mais il fallait plus de bras...
Au même moment, Thomières arriva et tendit a son supérieur une sorte de Gazette. Au début de sa lecture Ferrey eu un petit sourire sur les détails des morts de Fouché et Talleyrand. J'aurai aimé le culbuter moi-même par dessus son balcon ce jean foutre de Talleyrand, pensa-t-il. Mais arrivé aux lignes dénonçant le régime impériale et rappelant le "régime" républicain, Ferrey eu une sorte d'amertume.
-Le Directoire, un gouvernement de corrompus, de pourris, d'incapables, républicain?! Napoléon n'aurait rien fait, on aurait eu droit au retour du gros bourbon qui se fait appeler Louis XVIII... Ce régime ne vivait que par les victoires de l'Empereur.
Et ce fut l'indignation, aux lignes concernant les accords avec le Tsar
-Ils son fous! Ces hommes sont des fous! Ils croient que le Tsar de toutes les Russies ainsi que toutes les monarchies d'Europe vont accepter un régime républicain?! Cela reviendrait pour eux a faire un pas vers la guillotine! Déjà qu'ils refusent de reconnaitre un empire qu'un Pape a consacré!
Un cavalier du IIIème corps arriva devant les officiers et tendit une lettre à Arghentur et Ferrey. Ce dernier après une rapide lecture, dit au premier.
-Une lettre de Pontmercy. Il demande des informations sur ce qui se passe ici. Vous devriez partir seul chez les Gendarmes, je reste ici, de toute façon je n'est jamais pu me faire à ces bureaucrates...
Le Lieutenant Général de la Jeune Garde acquiesça et parti avec les hussards de Lallemand. Ferrey se dirigea vers ses lignards entre temps il écrivit la réponse à Pontmercy.
Soldats! L'arme au pied. Thomières... si je ne suis pas revenu dans 2 heures, vous donnez la charge.
Les soldats s'exécutèrent, des hommes furent envoyés dans les maison a proximité, en position sur les fenêtres.
Ferrey avança à pas lent vers la troupe... Tout à coup, on lui hurla "Halte!!". Le chef de bataillon s'arrêta net, les mains tremblantes. Après un petit moment il cria:
-Conduisez moi à votre officier!
Le moment qu'avait redouté Ferrey arriva, il allait devoir prendre les armes contre des compatriotes... Le Palais était maintenant totalement bouclé, fortifié à l'abri d'un coup de main, et théoriquement toutes les entrés de la ville, mais il fallait plus de bras...
Au même moment, Thomières arriva et tendit a son supérieur une sorte de Gazette. Au début de sa lecture Ferrey eu un petit sourire sur les détails des morts de Fouché et Talleyrand. J'aurai aimé le culbuter moi-même par dessus son balcon ce jean foutre de Talleyrand, pensa-t-il. Mais arrivé aux lignes dénonçant le régime impériale et rappelant le "régime" républicain, Ferrey eu une sorte d'amertume.
-Le Directoire, un gouvernement de corrompus, de pourris, d'incapables, républicain?! Napoléon n'aurait rien fait, on aurait eu droit au retour du gros bourbon qui se fait appeler Louis XVIII... Ce régime ne vivait que par les victoires de l'Empereur.
Et ce fut l'indignation, aux lignes concernant les accords avec le Tsar
-Ils son fous! Ces hommes sont des fous! Ils croient que le Tsar de toutes les Russies ainsi que toutes les monarchies d'Europe vont accepter un régime républicain?! Cela reviendrait pour eux a faire un pas vers la guillotine! Déjà qu'ils refusent de reconnaitre un empire qu'un Pape a consacré!
Un cavalier du IIIème corps arriva devant les officiers et tendit une lettre à Arghentur et Ferrey. Ce dernier après une rapide lecture, dit au premier.
-Une lettre de Pontmercy. Il demande des informations sur ce qui se passe ici. Vous devriez partir seul chez les Gendarmes, je reste ici, de toute façon je n'est jamais pu me faire à ces bureaucrates...
Le Lieutenant Général de la Jeune Garde acquiesça et parti avec les hussards de Lallemand. Ferrey se dirigea vers ses lignards entre temps il écrivit la réponse à Pontmercy.
Après avoir donné la lettre à l'estafette du IIIème corps, il partit avec ses soldats dans les quartiers sud de la ville. Plusieurs grognards voyant ce mouvement ce joignirent à eux, combien d'hommes au final? Environ 500 soldats, peut être plus. Sur le chemin, la tension ne cessait de monter, les grognards brulaient d'envie de se battre... La troupe arriva dans une rue, au bout de celle ci la porte sud, on y distinguait une certaine agitation, mais il y avait trop d'hommes pour que cela soit seulement le corps de garde...Georges,
Je vais être sincère, je n'en sais rien. Et cette question qui reste en suspens me trouble. Mais, tant que je n'est pas eu la preuve irréfutable de sa mort, tu sais de quel coté je suis... Ces républicains viennent de faire couler le sang de grognard de la Garde, ton avertissement arrive trop tard malheureusement.
Je pars à la rencontre de ces hommes, j'essayerai d'éviter que le sang français coule. Mais si j'y suis contraint, je ferais ce que je dois faire...
Et toi, sil il était mort? Que ferais tu? Tes convictions ou ton devoir?
Ferrey
Soldats! L'arme au pied. Thomières... si je ne suis pas revenu dans 2 heures, vous donnez la charge.
Les soldats s'exécutèrent, des hommes furent envoyés dans les maison a proximité, en position sur les fenêtres.
Ferrey avança à pas lent vers la troupe... Tout à coup, on lui hurla "Halte!!". Le chef de bataillon s'arrêta net, les mains tremblantes. Après un petit moment il cria:
-Conduisez moi à votre officier!

Major Ferrey,
Officier de la Garde Impériale,
Bataillon Normand.
- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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- Inscription : jeu. févr. 14, 2008 3:25 pm
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une estafette arriva plein galop
stoppa devant de castillon et lui remis une missive de son second.
mon ami,
nous sommes à 4 vestres de la ville.
nous avons avancé en marche forcée et sommes fatigués.
nous allons faire halte pour reprendre la route d'ici 6 heures.
où devons nous nous rendre ?
les français nous laissent passer et semblent nous soutenir, ce sont des hommes de l'officier chaudard, ils nous ont donné des victuailles et de la boisson.
ils sont toutefois peu nombreux et ils ont beaucoup de blessés dans leurs rangs. j'ai pris l'initiative de laisser un de nos médecins et 2 infirmiers ainsi qu'un chariot médical auprès d'eux.
par contre, nous avons croisé une estafette du colonel tchekov qui n'a pas daigné s'arrêter.
y-a-t-il du changement ?
j'attends vos ordres, mais sachez que vos hommes sont motivés et sont comme toujours, prêts à vous suivre.
respectueusement,
vladimir de bretonniova.
stoppa devant de castillon et lui remis une missive de son second.
mon ami,
nous sommes à 4 vestres de la ville.
nous avons avancé en marche forcée et sommes fatigués.
nous allons faire halte pour reprendre la route d'ici 6 heures.
où devons nous nous rendre ?
les français nous laissent passer et semblent nous soutenir, ce sont des hommes de l'officier chaudard, ils nous ont donné des victuailles et de la boisson.
ils sont toutefois peu nombreux et ils ont beaucoup de blessés dans leurs rangs. j'ai pris l'initiative de laisser un de nos médecins et 2 infirmiers ainsi qu'un chariot médical auprès d'eux.
par contre, nous avons croisé une estafette du colonel tchekov qui n'a pas daigné s'arrêter.
y-a-t-il du changement ?
j'attends vos ordres, mais sachez que vos hommes sont motivés et sont comme toujours, prêts à vous suivre.
respectueusement,
vladimir de bretonniova.
- Arnaud nicolas (Mat. 16191)
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- Inscription : jeu. janv. 10, 2008 7:56 pm
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Le matin, à l'aube, les russes attaqués ne vinrent pas chercher l'affrontement, en effet, le reste de la brigade du major, conformément aux ordres avait réussi à le rallier et se trouvait maintenant à deux jurs d emarche de Pontmercy avec des ofrces suffisantes pour sécuriser la situation tactique contre les russes pour enfin être crédibles sur un plan revendicatif.
Le major passa une nuit assez agités mais tenas à ce que l'avance se fasse dans les meilleurs délais. Longeant ainsi la rivière, près de 1500 hommes marchaient vers Pontmercy. le major ne pouvait enir très longtemps à chaval à cause de la fièvre et était mis dans un charriot de ravitaillement.
Le mouvement de la colonne en plein jour n'était pas risqué, sachant la terreur qu'il avait procoqué la nuit dernière, et sachant que dans cette zone, les russes n'y avaient que très peu d'effectif, la colonne ne risquait rien. D'autant plus que la foret était à 500 mètres du bord de la rivière, ce qui laissait le temps de prévoir toute embuscade. Ses hommes étaient bien aguerris.
a midi, il reçu une missive de son ami Pontmercy, l'estafette était dans un piteux état et elle lui donna aussi des informations sur le smouvements russes du secteur. Rien d'alarmant, mais il se pourrait bien que les français fassent quelques cartons sur des cibles russes.
N'ayant pas la force d'écrire, il demanda à l'estafette de rédiger le billet de réponse.
-Ecrivez ceci.... Mon cher Georges, Du fait d'une prise de risque e ma part, je suis diminué par une blessure, mais ma détermination demeure à venir vers toi et tes hommes le plus vite possible.
Aussi ai je pu apprendre que la gazette avait publié des articles à propos des événements récents. Le doute plane sur la mort de l'empereur, cependant il faut espérer que quoiqu'il advienne, nos actions ne soient pas sans échos, mais il ne faut pas non plus que tout ce qui s'est passé soit mis à la charge d'un seul homme. Les événements parisiens pour ma part me dépassent, ainsi que les scènes de violences extrême à Polostk. J'ai entendu dire deux autres choses que tu dois savoir... transmet les le plus vite possible grace à la gazette...
A savoir, Marbot à survécu à l'attentat contre lui, j'ai entendu dire que Marbot avait repris sa place de chef du haut état major, et qu'il allait réunir tus les chefs de régiments pour tenter d'étouffer le mouvement mis en marche dans l'armée.
La deuxième chose, elle me vient de l'étrange colonel de gendarmerie qui m'a donné les directives codées prévue pour un tel événement.... Apperemment, c'est lui qui garde l'empereur quelque part dans le Sud.... Je ne sais pas pourquoi il m'a écrit cela, je te joins le billet que j'ai reçu... tu n'y verras qu'une ligne de 10 mots et un sceau.... celui de la république, celui des grenadiers de l'ex garde du corps législatif....
L'estafette compris que ces informations étaient vitales pour la suite des événements et qu'il fallait être prudent avec un tel document. Les russes ne devaient pas l'apprendre, la gendarmerie encore moins, pour éviter de s'en prendre à l'empereur si tentée que la 35e légion soit comme celles restées en France. Mais l'empereur est-il vivant ou mort? Rien de précis...
Le major n'eu la force de signer que part ses initiales. il lui fallait avant tout du repos, le commandement passait à Jean Rostanbière, ami de toujours.
Pendant ce temps à Polostk, au palais, Jean Bailly put vers 3 heures après midi se lever seul, manger un morceau. Malgré l'avis de Percy et Larrey, sa détermination l'emportait. il s'habilla de son frac brodé, mis son ceinturon avec son épée, mais ne put mettre son bicorne à cause de la blessures. Le sang avait coagulé avec ses cheveux et laissait à la vision une sensation morbide. Percy eut alors l'envie de lui mettre un bandeau, mais Bailly refusa. Il préféra plutot quun bandeau de blessé et martyr se faire mettre un bandeau mais qu'on lui roula par dessus dautres bandeaux pour faire une sorte de turban à la Mamelouk.
Il était temps pour lui de voir où en était la situation et de reprendre en main celle-ci. Il ne savait en fait que très peu de choses et la discussion avec les 5 juges et le capitaine de gendarmerie allait être très longue.
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Le major passa une nuit assez agités mais tenas à ce que l'avance se fasse dans les meilleurs délais. Longeant ainsi la rivière, près de 1500 hommes marchaient vers Pontmercy. le major ne pouvait enir très longtemps à chaval à cause de la fièvre et était mis dans un charriot de ravitaillement.
Le mouvement de la colonne en plein jour n'était pas risqué, sachant la terreur qu'il avait procoqué la nuit dernière, et sachant que dans cette zone, les russes n'y avaient que très peu d'effectif, la colonne ne risquait rien. D'autant plus que la foret était à 500 mètres du bord de la rivière, ce qui laissait le temps de prévoir toute embuscade. Ses hommes étaient bien aguerris.
a midi, il reçu une missive de son ami Pontmercy, l'estafette était dans un piteux état et elle lui donna aussi des informations sur le smouvements russes du secteur. Rien d'alarmant, mais il se pourrait bien que les français fassent quelques cartons sur des cibles russes.
N'ayant pas la force d'écrire, il demanda à l'estafette de rédiger le billet de réponse.
-Ecrivez ceci.... Mon cher Georges, Du fait d'une prise de risque e ma part, je suis diminué par une blessure, mais ma détermination demeure à venir vers toi et tes hommes le plus vite possible.
Aussi ai je pu apprendre que la gazette avait publié des articles à propos des événements récents. Le doute plane sur la mort de l'empereur, cependant il faut espérer que quoiqu'il advienne, nos actions ne soient pas sans échos, mais il ne faut pas non plus que tout ce qui s'est passé soit mis à la charge d'un seul homme. Les événements parisiens pour ma part me dépassent, ainsi que les scènes de violences extrême à Polostk. J'ai entendu dire deux autres choses que tu dois savoir... transmet les le plus vite possible grace à la gazette...
A savoir, Marbot à survécu à l'attentat contre lui, j'ai entendu dire que Marbot avait repris sa place de chef du haut état major, et qu'il allait réunir tus les chefs de régiments pour tenter d'étouffer le mouvement mis en marche dans l'armée.
La deuxième chose, elle me vient de l'étrange colonel de gendarmerie qui m'a donné les directives codées prévue pour un tel événement.... Apperemment, c'est lui qui garde l'empereur quelque part dans le Sud.... Je ne sais pas pourquoi il m'a écrit cela, je te joins le billet que j'ai reçu... tu n'y verras qu'une ligne de 10 mots et un sceau.... celui de la république, celui des grenadiers de l'ex garde du corps législatif....
L'estafette compris que ces informations étaient vitales pour la suite des événements et qu'il fallait être prudent avec un tel document. Les russes ne devaient pas l'apprendre, la gendarmerie encore moins, pour éviter de s'en prendre à l'empereur si tentée que la 35e légion soit comme celles restées en France. Mais l'empereur est-il vivant ou mort? Rien de précis...
Le major n'eu la force de signer que part ses initiales. il lui fallait avant tout du repos, le commandement passait à Jean Rostanbière, ami de toujours.
Pendant ce temps à Polostk, au palais, Jean Bailly put vers 3 heures après midi se lever seul, manger un morceau. Malgré l'avis de Percy et Larrey, sa détermination l'emportait. il s'habilla de son frac brodé, mis son ceinturon avec son épée, mais ne put mettre son bicorne à cause de la blessures. Le sang avait coagulé avec ses cheveux et laissait à la vision une sensation morbide. Percy eut alors l'envie de lui mettre un bandeau, mais Bailly refusa. Il préféra plutot quun bandeau de blessé et martyr se faire mettre un bandeau mais qu'on lui roula par dessus dautres bandeaux pour faire une sorte de turban à la Mamelouk.
Il était temps pour lui de voir où en était la situation et de reprendre en main celle-ci. Il ne savait en fait que très peu de choses et la discussion avec les 5 juges et le capitaine de gendarmerie allait être très longue.
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Chef du 30ème RI
Ier Ca
ex Chargé de mission de la Iere Armée
Officier de la Légion d'élite de Gendarmerie de la Garde Impériale.
et vive la République!
Ier Ca
ex Chargé de mission de la Iere Armée
Officier de la Légion d'élite de Gendarmerie de la Garde Impériale.
et vive la République!
- vétéran Arghentur (Mat. 13306)
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- Inscription : ven. nov. 02, 2007 2:00 pm
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Arghentur voyant la situation se dégradait au fur et à mesure décida de reporter l'entrevue avec Bailly après tout cela ne lui servait à rien de comprendre ce qui se passait si toute la Garde mourrait. Il envoya néanmoins les 18 chasseurs portaient un message au Juge Suprême.
Il rédigea une autre lettre pour l'EMI.
Le groupe de chasseurs se divisa en deux et partit au galop.
Arghentur revint près de Ferrey et ne trouva que Thomières.
-Eh bien où est Ferrey ?
-Parti voir les Français là bas.
-Et pourquoi cela ?
-Figurez vous que ce sont eux qui nous ont attaqué.
-Non ? Une trahison à l'Empire ?
-Peut être des royalistes ...
-Bien si il ne revient et que les troupes ennemies font mouvement vous tirez. Je vous amène du renfort.
Le Lieutenant général repartit et rejoignit l'EM de la Garde Impériale. Une discussion rapide devant l'évolution de la situation et un repli autour du palais fut décidé.
Tout les voltigeurs de la Jeune Garde devait tenir les ponts appuyés par les grenadiers de la moyenne Garde. Les Chasseurs de la Moyenne Garde et toute la Vieille Garde se déploya à l'est du palais et dans les faubourgs. Chaque maison fut barricadés et l'artillerie de la Garde fut placé dans les grandes rues et chargés à mitraille. La Cavalerie lourde de la Garde fut placé à coté afin de pouvoir charger après une décharge de mitraille si nécessaire. Et on envoya des estafettes pour que la cavalerie de la Garde qui recherchait activement l'Empereur se méfie des troupes françaises aussi bien que des Russes. Les conjurés avait bien joué et le doute s'était insinué maintenant dans toute l'Armée. Quand Arghentur revint Thomières lui tendit une lettre.
-De Pontmercy mon commandant
-Ah ce cher intriguant que me veut il ?fit Arghentur en souriant, sourire qui disparu en lisant la lettre
Il rédigea une autre missive
-Portez ceci au Juge Suprême.Mr le Juge Suprême
La plus grande confusion règne actuellement dans nos rangs, l'Empereur est nulle part et on ne sait rien d son état de santé.
On parle de révolution, de monarchie et de trahison de troupes françaises avec les Russes.
On parle même de la trahison de gendarmes envers l'Empereur pouvez vous m'expliquer et me dire que c'est faux.
La Garde ne peut tolérer un tel désordre et elle n'arrivera pas seule à rétablir l'ordre la gendarmerie doit prouver maintenant sa devise "Toujours derrière l'Empereur".
La Garde se battra jusqu'au dernier tant qu'on aura pas prouvé la mort de l'Empereur et elle défendra l'Etat Major Impérial selon les volontés de l'Empereur.
Amicalement
Arghentur
Lieutenant Général de la Jeune Garde
Il rédigea une autre lettre pour l'EMI.
-Trouvez l'EMI et portez leur ça.Messieurs de l'Etat Major Impérial.
Sachez que la Garde fera son devoir et assurera votre protection autant que celle de l'Empereur. Et c'est à vous de ramener l'ordre dans la Grande Armée.
En attente d'ordre l'Etat Major de la Garde fera ce qu'il lui paraîtra être le mieux.
Cordialement
Arghentur
Lieutenant général de la Jeune Garde.
Le groupe de chasseurs se divisa en deux et partit au galop.
Arghentur revint près de Ferrey et ne trouva que Thomières.
-Eh bien où est Ferrey ?
-Parti voir les Français là bas.
-Et pourquoi cela ?
-Figurez vous que ce sont eux qui nous ont attaqué.
-Non ? Une trahison à l'Empire ?
-Peut être des royalistes ...
-Bien si il ne revient et que les troupes ennemies font mouvement vous tirez. Je vous amène du renfort.
Le Lieutenant général repartit et rejoignit l'EM de la Garde Impériale. Une discussion rapide devant l'évolution de la situation et un repli autour du palais fut décidé.
Tout les voltigeurs de la Jeune Garde devait tenir les ponts appuyés par les grenadiers de la moyenne Garde. Les Chasseurs de la Moyenne Garde et toute la Vieille Garde se déploya à l'est du palais et dans les faubourgs. Chaque maison fut barricadés et l'artillerie de la Garde fut placé dans les grandes rues et chargés à mitraille. La Cavalerie lourde de la Garde fut placé à coté afin de pouvoir charger après une décharge de mitraille si nécessaire. Et on envoya des estafettes pour que la cavalerie de la Garde qui recherchait activement l'Empereur se méfie des troupes françaises aussi bien que des Russes. Les conjurés avait bien joué et le doute s'était insinué maintenant dans toute l'Armée. Quand Arghentur revint Thomières lui tendit une lettre.
-De Pontmercy mon commandant
-Ah ce cher intriguant que me veut il ?fit Arghentur en souriant, sourire qui disparu en lisant la lettre
Il rédigea une autre missive
Le temps semblait s'être figé, les troupes s'observaient et la Garde finissait de prendre position autour du palais.Mon cher ami,
Hélas nous ne savons rien sur la situation de l'Empereur mais croyez moi je compte bien en avoir, toute la cavalerie légère de la Garde le recherche. Pour les conspirateurs je ne pensais que trouver des Russes mais hélas pas mal de troupes françaises semble vouloir se battre contre l'Empereur.
La Garde le défendra jusqu'au bout et les grognards sauront montrer leurs détermination.
Amicalement
Arghentur

Colonel Arghentur,
Ancien Lieutenant Général de la Jeune Garde,
Bataillon du Mercantour,
L'honneur se trouve devant !
- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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de castillon s'adressant à chaudard,
mon ami,
dites-nous les secteurs à tenir.
faut-il que nous demandions des batteries à notre HEM ?
qu'en est-il des pactes au sein de votre armée ?
mes fantassins sont à 4 vestres d'ici et attendent mes ordres de marche.
nous sommes ici pour vous aider, mais il faut faire vite, actuellemnt, ils tireraient sur n'importe quel soldat français.
je dois leur donner des ordres précis.
alors, qu'en est-il ?
mon ami,
dites-nous les secteurs à tenir.
faut-il que nous demandions des batteries à notre HEM ?
qu'en est-il des pactes au sein de votre armée ?
mes fantassins sont à 4 vestres d'ici et attendent mes ordres de marche.
nous sommes ici pour vous aider, mais il faut faire vite, actuellemnt, ils tireraient sur n'importe quel soldat français.
je dois leur donner des ordres précis.
alors, qu'en est-il ?
- vétéran Chaudard (Mat. 21253)
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"Cher ami, j'ai bien peur que votre soutien de batteries ainsi que de vos troupes me seront bien utiles, mais la vision de troupes russes font affolés les hommes encore indécis, suivez moi à l'intendance."
J'emmenais De Castillon à l'intendance où des uniformes de la Grande armée était stockés.
"Prenez tous les uniformes dont vous avez besoin et habillez vos hommes avec sinon le plan ne marchera pas, je vous en supplie mettez ces uniformes et rejoignez nous le plus vite possible avec votre artillerie, je vous en sais grée, Blanchet vous accompagnera."
Je serrais la main de De Castillon.
"Merci de votre aide mon ami, la paix entre nos deux peuples est en marche, ce drapeau est le votre, je vous le laisse c'est un gage d'amitié de la Nouvelle République de France."
Je m'adressait à Blanchet.
"Blanchet! Protégez cet homme qui t'a donner votre vie, vous allez créer un couloir à la jonction où nous sommes passés entre les forces du IVème Corps et de la BI, apparement les luttes continuent. Bonne chance messieurs, que la Nation française triomphe."
Puis m'adressant à Dubeauchel sous les yeux de Tchekov épiant tous mes faits et gestes.
"Allez me chercher le juge Bailly, il est dans le palais impérial, je le veux près de moi et je le veux vivant avec tous les autres juges français. C'est bien clair Dubeauchel, je ne veux pas un seul coup de feu. Tchekov? Désirez vous accompagner Dubeauchel, voir comment la République a pris le pouvoir en ville?"
Une estaffette m'amenait une missive du front nord, je commençais à lire cette lettre, et à répondre à Pontmercy.
Alors que je commençais à profiter d'une accalmie un de mes gardes m'interpellais.
"Chef! Un officier français souhaite vous parlez! Il porte un drapeau blanc, un certain Ferrey!"
"Ne tirez pas!" Ferrey, ce nom n'était pas inconnu pour moi, je savais que cet officier avait combattu auprès de mon père au 8ème RIL.
Je me frayais un chemin entre mes hommes pour aller parler à Ferrey.
Je vis ce dernier être étonné de me voir.
"N'avancez pas plus mon ami, vous êtes ami ou ennemi? Ici les forces républicaines de la France, que voulez vous mon ami? Vous venez nous rejoindre ou vous battre?"
J'emmenais De Castillon à l'intendance où des uniformes de la Grande armée était stockés.
"Prenez tous les uniformes dont vous avez besoin et habillez vos hommes avec sinon le plan ne marchera pas, je vous en supplie mettez ces uniformes et rejoignez nous le plus vite possible avec votre artillerie, je vous en sais grée, Blanchet vous accompagnera."
Je serrais la main de De Castillon.
"Merci de votre aide mon ami, la paix entre nos deux peuples est en marche, ce drapeau est le votre, je vous le laisse c'est un gage d'amitié de la Nouvelle République de France."
Je m'adressait à Blanchet.
"Blanchet! Protégez cet homme qui t'a donner votre vie, vous allez créer un couloir à la jonction où nous sommes passés entre les forces du IVème Corps et de la BI, apparement les luttes continuent. Bonne chance messieurs, que la Nation française triomphe."
Puis m'adressant à Dubeauchel sous les yeux de Tchekov épiant tous mes faits et gestes.
"Allez me chercher le juge Bailly, il est dans le palais impérial, je le veux près de moi et je le veux vivant avec tous les autres juges français. C'est bien clair Dubeauchel, je ne veux pas un seul coup de feu. Tchekov? Désirez vous accompagner Dubeauchel, voir comment la République a pris le pouvoir en ville?"
Une estaffette m'amenait une missive du front nord, je commençais à lire cette lettre, et à répondre à Pontmercy.
"Dumont! Partez pour le nord et envoyez ce pli à Pontmercy, et remettez le en main propre et à personne d'autres! C'est clair!" Dumont acquissa et parti aussitôt.Georges,
Notre plan a pris du retard, je viens à peinde rentrer dans Polotsk où tous les quartiers de la ville ne sont pas sécuriser, j'essaye tans bien que mal de stopper toute intrusion de troupes par la porte Sud, j'attends comme prévue la relève, mais elle n'a pas l'air d'arriver. La marche sur Paris n'a pas encore commencer, loin de là.
Pour les russes, je m'en méfie, il y a quelques temps il nous lachait pour mieux revenir, je n'ai confiance qu'en Castillon, un homme de parole, les Partisans du Lys sont toujours absents que font-ils?
Je viens d'envoyer des hommes chercher Bailly, n'ai crainte pour sa vie, j'ai un profond respect pour cet officier de valeur, pourvu qu'il rejoigne notre cause.
Chaudard"
Alors que je commençais à profiter d'une accalmie un de mes gardes m'interpellais.
"Chef! Un officier français souhaite vous parlez! Il porte un drapeau blanc, un certain Ferrey!"
"Ne tirez pas!" Ferrey, ce nom n'était pas inconnu pour moi, je savais que cet officier avait combattu auprès de mon père au 8ème RIL.
Je me frayais un chemin entre mes hommes pour aller parler à Ferrey.
Je vis ce dernier être étonné de me voir.
"N'avancez pas plus mon ami, vous êtes ami ou ennemi? Ici les forces républicaines de la France, que voulez vous mon ami? Vous venez nous rejoindre ou vous battre?"
La Liberté appartient à ceux qui l'ont conquise
André Malraux
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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de castillon laissant chaudard à ses occupations, s'adressa à son ami tchekov.
cette action nécessite que nous prenions les uniformes français, mais là si nos hommes sont capturés, ils seront désignés déserteurs.
cela va trop vite, et en même temps, nous n'avons pas de temps pour agir.
je me résigne, je vais demander à mes hommes de changer d'uniforme et je vais demander à st hilaire de nous envoyer des vatteries de 4 et de 8.
nous jouons notre honneur et le bien de notre patrie.
malgré les risques mon ami, je peux compter sur toi et tes hommes ?
chaudard va revenir, nous devons lui dire ce qu'il en est de notre mobilisation.
allons-y l'ami, c'est le moment pour que la paix soit acquise et que cette guerre cesse enfin.
cette action nécessite que nous prenions les uniformes français, mais là si nos hommes sont capturés, ils seront désignés déserteurs.
cela va trop vite, et en même temps, nous n'avons pas de temps pour agir.
je me résigne, je vais demander à mes hommes de changer d'uniforme et je vais demander à st hilaire de nous envoyer des vatteries de 4 et de 8.
nous jouons notre honneur et le bien de notre patrie.
malgré les risques mon ami, je peux compter sur toi et tes hommes ?
chaudard va revenir, nous devons lui dire ce qu'il en est de notre mobilisation.
allons-y l'ami, c'est le moment pour que la paix soit acquise et que cette guerre cesse enfin.
- vétéran Tchekov (Mat. 10727)
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N'ai crainte Didier. Le Tsar comme notre Haut état major connaissent notre présence ici. J'y ai veillé. Nous n'avons pas de souci à nous faire de ce coté là.
Tchekov fit une petite pause. Il en profita pour vider sa flasque.
Je vais suivre l'idée de Chaudard. J'ai grande envie de rencontrer ce Bailly. C'est un homme fier et valeureux. Peut-être arriverons nous à le persuader de nous aider. Mais si je ne reviens pas, prenez ma place comme ministre et nommez Tolstoï comme commandant de mon bataillon.
Un homme apporta alors un message. Il le tendit à Tchekov en précisant.
C'est de la part de Monsieur de Pontmercy.
Monsieur, je suis maintenant prêt. Je peux accompagner vos hommes pour aller rencontrer vos juges. Mais j'y mets une condition. Je suis Russe et c'est en uniforme Russe que je me déplacerais. J'espère qu'il respecteront un colonel Russe. Qui plus est un ministre et un juge.
Tchekov fit une petite pause. Il en profita pour vider sa flasque.
Je vais suivre l'idée de Chaudard. J'ai grande envie de rencontrer ce Bailly. C'est un homme fier et valeureux. Peut-être arriverons nous à le persuader de nous aider. Mais si je ne reviens pas, prenez ma place comme ministre et nommez Tolstoï comme commandant de mon bataillon.
Un homme apporta alors un message. Il le tendit à Tchekov en précisant.
C'est de la part de Monsieur de Pontmercy.
Tchekov remercia l'homme et lui demanda d'attendre la réponse avant de repartir.Mon bon Tchekov,
J'espère que tu as tenu ta parole et que tu es bel et bien avec Chaudard. Tu sais que tu as ma confiance, bien qu'elle se soit érodée depuis l'affaire du procès... Entre camarades de la Gazette, on ne se trahit pas n'est ce pas ?
J'espère que je peux compter sur toi, tu sais à quel point ma patrie et sa liberté m'importe... bien que je sache que la tienne et son Tsar le soient tout autant.
Ne bois pas trop et garde les idées claires, nous avons besoin de toi et tes relations.
Salue Didier de ma part je te prie, pour le peu que j'en ai vu il a l'air d'être un homme digne de la même sympathie que celle que je te porte.
Georges.
Tchekov retourna vers Chaudard.Georges,
Merci de ta lettre.
Mes troupes sont en route pour venir aider Chaudard. Je ne sais si cela sera suffisant. J'ai aussi fait porté un message à notre état major pour qu'il essaie de provoquer une trève. Serais-je écouté ?
Etes vous certain de la mort du tyran ? De bien bizarre rumeure circulent. La gendarmerie est en ébullition, votre haut état major, semble toujours vouloir en découdre ! Sauras tu provoquer le choc nécessaire ?
Je vais essayer de rencontrer vos juges. Entre confrères, peut-être nous comprendrons nous !
Porte toi bien et prend garde à toi.
Anton
Monsieur, je suis maintenant prêt. Je peux accompagner vos hommes pour aller rencontrer vos juges. Mais j'y mets une condition. Je suis Russe et c'est en uniforme Russe que je me déplacerais. J'espère qu'il respecteront un colonel Russe. Qui plus est un ministre et un juge.
Juge suprême Russe et ministre de la justice à la retraite. Non pensionné !
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
Membre du régiment Baggovout.
Garde de l'Ordre de Saint-Georges
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- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
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Ferrey fut surpris de voir des soldats Français du IV corps ici, il eu tout a coup la très désagréable sensation de se trouver face a des déserteurs... pire! Ceux qui on tendu l'embuscade à Napoléon. Sa surprise fut encore plus grande de se trouver en face de Chaudard, le fils du valeureux officier Tassin du 8ème Régiment d'Infanterie de Ligne. Il s'apprêta à répondre, lorsque il aperçu qu'un officier russe très haut gradé s'approcha pour glisser quelque mot à Chaudard. Ils sont donc fous, pensa Ferrey, croire que les russes les soutiennent les mènera à leur pertes et à celle de la France. Puis il finit par prendre la parole.
-Considérez moi comme quelqu'un qui veut en savoir plus... D'abord, où sont les soldats du corps de garde?
Pas de réponse...
-Quelles sont vos intentions en venant ici? Connaissant un minimum votre père et vous, je ne pense pas que vous soyez royaliste... Mais que faite vous en compagnie d'un officier de l'empire russe, dont le but du Tsar, est de remettre sur le trône de France un bourbon?
Ajoutant en s'adressant au russe.
-Добрый вечер.
Il ne laissa pas le temps de répondre
-Car ne me dite pas que vous croyez que les Alliés permettront une République en France? Surtout, si la mort de Talleyrand est un canular... Pour eux, l'avenir est au passé... Cela dit, je ne vous cache pas que j'ai des convictions républicaines. Mais ce n'est pas une bonne époque pour des gens comme nous, dans un continent comment dire... monarchique. Donc, pour moi, si l'Empereur est en vie, vous savez de quel coté je serais. L'Empire est un bon compromis... tant que la fièvre républicaine n'a pas gagnée le contient...
Il se tut en attendant une réponse. Rajoutant:
-Je ne vous conseil pas de tenter d'aller plus en avant, des grognards on hâte d'en découdre... Je ne sais même pas comment ils on fait pour rester 100 mètres derrière moi. Et si vous me faites quoique ce soit, je ne répond plus de rien...
-Considérez moi comme quelqu'un qui veut en savoir plus... D'abord, où sont les soldats du corps de garde?
Pas de réponse...
-Quelles sont vos intentions en venant ici? Connaissant un minimum votre père et vous, je ne pense pas que vous soyez royaliste... Mais que faite vous en compagnie d'un officier de l'empire russe, dont le but du Tsar, est de remettre sur le trône de France un bourbon?
Ajoutant en s'adressant au russe.
-Добрый вечер.
Il ne laissa pas le temps de répondre
-Car ne me dite pas que vous croyez que les Alliés permettront une République en France? Surtout, si la mort de Talleyrand est un canular... Pour eux, l'avenir est au passé... Cela dit, je ne vous cache pas que j'ai des convictions républicaines. Mais ce n'est pas une bonne époque pour des gens comme nous, dans un continent comment dire... monarchique. Donc, pour moi, si l'Empereur est en vie, vous savez de quel coté je serais. L'Empire est un bon compromis... tant que la fièvre républicaine n'a pas gagnée le contient...
Il se tut en attendant une réponse. Rajoutant:
-Je ne vous conseil pas de tenter d'aller plus en avant, des grognards on hâte d'en découdre... Je ne sais même pas comment ils on fait pour rester 100 mètres derrière moi. Et si vous me faites quoique ce soit, je ne répond plus de rien...

Major Ferrey,
Officier de la Garde Impériale,
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- vétéran Chaudard (Mat. 21253)
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" Mon cher Tchekov, mes hommes vous écouteront mais si ils sentent une entourloupe de votre part, j'ai bien peur pour vous que votre vie ne tiendra plus qu'à un fil, vous pouvez y aller en uniforme russe, nous allons faire croire que vous êtes un prisonnier, je pense que les autres troupes n'y verrons que du feu. Bonne chance Tchekov, j'attends votre retour."
Je saluais Tchekov et glissais quelques consigne à Dubeauchel.
"Méfie toi de lui, il nous soutient mais cet homme est pire qu'une anguille, si tu as le moindre doute sur lui, fais le prisonnier, je ne veux courrir aucun risque."
Je voyais Ferrey devant moi et j'écoutais ses dires.
"Ferrey, vous savez le profond respect que j'ai pour vous, vous avez combattu avec mon père et je vois que vous portez toujours la rapière qu'il vous a offert, mais mon père est mort il y a longtemps, et c'est à ce moment là que j'ai compris que l'Empire n'était que despotisme et honte pour notre pays."
Je m'appuyais à une barricade et repris mon discours.
"Depuis l'installation de l'Empire, combien d'hommes sont tombés pour ce Nain? Combien de jours de paix? Nous devions protéger les frontières de notre beau pays et ne pas s'étendre jusqu'ici, si nous étions restés en France, les Monarchies auraient finis par accepté notre République. Au lieu de ça, regardez où nous sommes contre combien de pays nous nous battons? Sur combien de front? Tout ça pour l'ambition d'un homme! Je dis bien d'un homme, jamais la France et son peuple n'a voulu s'étendre."
Je sautais la barricade et m'approchais de Ferrey tout doucement.
"Je ne veux pas me battre contre vous Ferrey, le sang français a assez coulé comme ça, vous voyez cet officier russe, nous avons négocié la paix avec eux et le retour au pays sans que nous soyons menacés. Imaginez, vous allez retrouvé votre famille, vos terres, notre belle France. Nous avons réussi là où l'Empereur a échoué. Les combats ont cessé sur de nombreux fronts.
Ferrey, la République renait de ces cendres, car l'Empire n'est plus, l'Empereur est mort, bel est bien mort, je l'ai vu de mes yeux. Rejoignez nos rangs mon ami, la République a besoin d'hommes comme vous."
Je tendais la main à Ferrey en signe de paix et de ralliement, sera-t-il des notres?
Je saluais Tchekov et glissais quelques consigne à Dubeauchel.
"Méfie toi de lui, il nous soutient mais cet homme est pire qu'une anguille, si tu as le moindre doute sur lui, fais le prisonnier, je ne veux courrir aucun risque."
Je voyais Ferrey devant moi et j'écoutais ses dires.
"Ferrey, vous savez le profond respect que j'ai pour vous, vous avez combattu avec mon père et je vois que vous portez toujours la rapière qu'il vous a offert, mais mon père est mort il y a longtemps, et c'est à ce moment là que j'ai compris que l'Empire n'était que despotisme et honte pour notre pays."
Je m'appuyais à une barricade et repris mon discours.
"Depuis l'installation de l'Empire, combien d'hommes sont tombés pour ce Nain? Combien de jours de paix? Nous devions protéger les frontières de notre beau pays et ne pas s'étendre jusqu'ici, si nous étions restés en France, les Monarchies auraient finis par accepté notre République. Au lieu de ça, regardez où nous sommes contre combien de pays nous nous battons? Sur combien de front? Tout ça pour l'ambition d'un homme! Je dis bien d'un homme, jamais la France et son peuple n'a voulu s'étendre."
Je sautais la barricade et m'approchais de Ferrey tout doucement.
"Je ne veux pas me battre contre vous Ferrey, le sang français a assez coulé comme ça, vous voyez cet officier russe, nous avons négocié la paix avec eux et le retour au pays sans que nous soyons menacés. Imaginez, vous allez retrouvé votre famille, vos terres, notre belle France. Nous avons réussi là où l'Empereur a échoué. Les combats ont cessé sur de nombreux fronts.
Ferrey, la République renait de ces cendres, car l'Empire n'est plus, l'Empereur est mort, bel est bien mort, je l'ai vu de mes yeux. Rejoignez nos rangs mon ami, la République a besoin d'hommes comme vous."
Je tendais la main à Ferrey en signe de paix et de ralliement, sera-t-il des notres?
La Liberté appartient à ceux qui l'ont conquise
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- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
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- Inscription : lun. janv. 07, 2008 7:45 pm
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Ferrey fut comme pétrifié. En cet instant précis, il avait l'impression que sa décision allait sceller le sort de nombreux hommes et peut être plus encore... Après un long moment de silence, il répondit:
-Je ne demande que à vous croire, mais je crains fort que vous ayez tort... L'Empereur n'est pas mort...
Après un autre long moment de silence, il reprit:
-Les guerres on été imposé à la France, pas l'inverse, et il me semble que malgré Austerlitz, Iéna, Wagram, la Prusse et l'Autriche n'ont pas été relégué à une note en bas d'une page d'un livre d'Histoire.Vous croyez encore à la parole du Tsar après Tilsit, Erfurt... Les Russes n'attendent que nous nous divisions et reculons pour rallier l'armée prussienne, autrichienne et anglaise, nous anéantir, et détruire ce que nous avons réussi à gagner il y a peu, la liberté. Même si je vous accorde que l'Empire nous en a privé d'une partie, il en a gardé d'autres et consolidées plusieurs.
La seul chose que vous avez à attendre du Tsar, est le retour de la monarchie en France. Je ne veux pas des garanti personnel, mais pour la France, et je me refuse de la voir basculer de nouveau dans l'Ancien Régime.
Il fit un pas en arrière
-Je partage vos convictions, mais déjà, j'ai l'impression que l'Empereur est en avance sur son temps, donc vous encore plus...
Ferrey mit sa main gauche sur la poignée de la rapière... Cette rapière, offerte par l'officier Gascon et père de Chaudard, Tassin, allait-t-elle être pointé sur le fils? Puis Ferrey se raidit dans un garde à vous et salua Chaudard.
-Je ferais ce que je dois faire. La Garde est prête à recevoir tout les assauts qu'il faudra.
Il rajouta plus bas.
-Fuyez... Épargnez moi le déchirement d'avoir à nous affronter...
Tournant les talons à Chaudard, il se dirigea vers ses hommes. Arrivé auprès de ses soldats, il ordonna de former une ligne de trois rangs les soldats en plus iront dans les maisons. Un bruit lourd de métal se fit entendre derrière la troupe... "Les belles-filles de l'Empereur"
L'inévitable allait il se produire?
-Je ne demande que à vous croire, mais je crains fort que vous ayez tort... L'Empereur n'est pas mort...
Après un autre long moment de silence, il reprit:
-Les guerres on été imposé à la France, pas l'inverse, et il me semble que malgré Austerlitz, Iéna, Wagram, la Prusse et l'Autriche n'ont pas été relégué à une note en bas d'une page d'un livre d'Histoire.Vous croyez encore à la parole du Tsar après Tilsit, Erfurt... Les Russes n'attendent que nous nous divisions et reculons pour rallier l'armée prussienne, autrichienne et anglaise, nous anéantir, et détruire ce que nous avons réussi à gagner il y a peu, la liberté. Même si je vous accorde que l'Empire nous en a privé d'une partie, il en a gardé d'autres et consolidées plusieurs.
La seul chose que vous avez à attendre du Tsar, est le retour de la monarchie en France. Je ne veux pas des garanti personnel, mais pour la France, et je me refuse de la voir basculer de nouveau dans l'Ancien Régime.
Il fit un pas en arrière
-Je partage vos convictions, mais déjà, j'ai l'impression que l'Empereur est en avance sur son temps, donc vous encore plus...
Ferrey mit sa main gauche sur la poignée de la rapière... Cette rapière, offerte par l'officier Gascon et père de Chaudard, Tassin, allait-t-elle être pointé sur le fils? Puis Ferrey se raidit dans un garde à vous et salua Chaudard.
-Je ferais ce que je dois faire. La Garde est prête à recevoir tout les assauts qu'il faudra.
Il rajouta plus bas.
-Fuyez... Épargnez moi le déchirement d'avoir à nous affronter...
Tournant les talons à Chaudard, il se dirigea vers ses hommes. Arrivé auprès de ses soldats, il ordonna de former une ligne de trois rangs les soldats en plus iront dans les maisons. Un bruit lourd de métal se fit entendre derrière la troupe... "Les belles-filles de l'Empereur"
L'inévitable allait il se produire?

Major Ferrey,
Officier de la Garde Impériale,
Bataillon Normand.
- vétéran Arghentur (Mat. 13306)
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Arghentur eut un soupir de soulagement en voyant Ferrey revenir.
-Alors ils iront jusqu'au bout ?
Ferrey ne répondit point
-Ils ne vont quand même pas ...
Non ils n'oseront pas, ils ont en face d'eux l'élite de la Grande Armée, nos grenadiers sont en place, nos voltigeurs et nos chasseurs à pieds sont barricadés dans les maisons, les canons chargés à mitraille et la cavalerie lourde chargera si il le faut. Me dîtes pas que ça ne les a pas fait réfléchir.
Toujours rien
-Bien seul la Gendarmerie nous apportera des réponses.
Il faut retrouver le Juge Suprême avant qu'on en tente de l'assassiner comme on a abattu les gendarmes.
Deux estafettes arrivèrent. Ils apportaient des nouvelles sur la recherche de l'Empereur
-Et vous revenez pour me dire que vous n'avez toujours pas retrouvé l'Empereur ? Des consignes ?
Mais cherchez le jusqu'à ce que vous le trouviez et ramenez le au plus vite quand ça sera fait. Lorsque vous l'aurez retrouvé la Garde ira à sa rencontre.
Seul l'annonce que l'Empereur était encore vivant pouvait ramener l'ordre dans la Grande Armée, en espèrant qu'il vive toujours ...
-Je vais envoyer chercher Pontmercy maintenant il a l'air d'en savoir long sur l'affaire.
Il rédigea une missive et chargea une estafette de la remettre en mains propres au destinataire
-Alors ils iront jusqu'au bout ?
Ferrey ne répondit point
-Ils ne vont quand même pas ...
Non ils n'oseront pas, ils ont en face d'eux l'élite de la Grande Armée, nos grenadiers sont en place, nos voltigeurs et nos chasseurs à pieds sont barricadés dans les maisons, les canons chargés à mitraille et la cavalerie lourde chargera si il le faut. Me dîtes pas que ça ne les a pas fait réfléchir.
Toujours rien
-Bien seul la Gendarmerie nous apportera des réponses.
Il faut retrouver le Juge Suprême avant qu'on en tente de l'assassiner comme on a abattu les gendarmes.
Deux estafettes arrivèrent. Ils apportaient des nouvelles sur la recherche de l'Empereur
-Et vous revenez pour me dire que vous n'avez toujours pas retrouvé l'Empereur ? Des consignes ?
Mais cherchez le jusqu'à ce que vous le trouviez et ramenez le au plus vite quand ça sera fait. Lorsque vous l'aurez retrouvé la Garde ira à sa rencontre.
Seul l'annonce que l'Empereur était encore vivant pouvait ramener l'ordre dans la Grande Armée, en espèrant qu'il vive toujours ...
-Je vais envoyer chercher Pontmercy maintenant il a l'air d'en savoir long sur l'affaire.
Il rédigea une missive et chargea une estafette de la remettre en mains propres au destinataire
Cher Ami
Je n'y comprends plus rien d'ici peu je devrais sans doute ordonner de tirer sur des troupes FRANCAISE.
Aussi si tu pouvais m'éclairer dans ces temps sombres. J'espère que tu sauras m'éclairer et si possible venir me rejoindre.
Amicalement
Arghentur

Colonel Arghentur,
Ancien Lieutenant Général de la Jeune Garde,
Bataillon du Mercantour,
L'honneur se trouve devant !