Au soleil d'AUSTERLITZ

[vétéran Ferrey]

-Peut etre, mais nous nous avons descendut deux armée qui étaient supérieur en nombre, la votre et l'armée autrichienne.

[vétéran Roman Récit]

Je ne le nit pas, je ne suis pas là pour transformer la vérité en mensonges et pour vous faire perdre vôtre plus grand succes ! Non, je suis là pour vous empêcher d'autres succes...

[vétéran Ferrey]

Ferrey eu un petit rire

-Et bien prouvé que ce qui c'est passé ce fameux 2 décembre 1805 n'était qu'un accident.

[vétéran Roman Récit]

Je viens de dire que je n'étais pas la pour, et même que je ne le pensait pas...

Mais si vous y tennez, ce qui s'est passé le 2 décembre était un accident, car, tandis que nous allions détruire votre arrière garde, vous avez fait demi-tour, bien décidés à ceuillir des paquerettes (ce qui aurais été difficile, vue la couche de neige qui recouvrait le champ de bataille). En ceuillant des paquerettes, vous êtes tombés sur le gros de nôtre armée qui bougeait pour vous hanihiler. Croyant que vous attaquiez volontairement, elle s'est enfuie sans demander son reste.

Voila tout !!! Ce n'étais qu'un accident...

[vétéran Ferrey]

-Vous parlé du corp de Davout? L'Empereur a lui meme décidé de dégarnir ce flanc pour que vous y jetez sans réfléchir laissant le plateau de Pratzen a notre merci.
Et après Saint-Hillaire a tournée ver votre flanc gauche qui attaqué Davout et vous a poussé dans les eau gelée de l'etang de Staschan.

[vétéran Roman Récit]

Mais non, Bonney a envoyé Soult et son corps reprendre les positions qu'il avait bêtement abandonné, et ils ont eux de la chance...

[vétéran Ferrey]

Ferrey eu un rire

-De la chance! L'Empereur vous manipulez comme des marionnètes a cette bataille, a ce que m'a dit Arghentur il été tellement décontracté la veille de la bataille qu'il parlait de littérature avec ses hommes et ses soldats.

[vétéran Roman Récit]

Ses soldats savent lire ??? demanda Roman, interloqué. Voilà, je croit que j'ai trouvé la différence radicale entre français et russes... Les gars de nos armées ne savent pas lire, seul les officiers savent, pour pouvoir déchiffrer les ordres qu'on leur envoie !

[vétéran Ferrey]

-Et oui, c'est ce qui fait la différence entre votre système politique et le notre qui nous permet de grimper dans la société a condition d'en revenir vivant. C'est aussi pour ca que je me bat évité qu'un Tsar comme le votre ne détruise cette espoir, et creuse les inégalité sociale.

[vétéran Roman Récit]

Les inégalitées sociales... Que fait Bonney !!! Il bourre d'or les plus mériatants, et oublie ceux qui le sont un peu moins. Si on le laisse en place, ce sera pire pour vous que pour nos braves cosaques...

[vétéran Ferrey]

-Je m'attendait a cette remarque, mais voyer s y le bon coté des choses si on gagne vous serez riche, je sais l'argent ne fait pas le bonheur, mais c'est déjà ca. Et pour moi tout homme mort est brave.

[vétéran Roman Récit]

C'est ce qui explique le faites que les russes soient plus nombreux que les français, vous êtes braves, nous avons un instinct de survie...

[vétéran Ferrey]

-Vous confondé bravour et stupidité mon chère, l'instinct de sruvie c'est bien mais il peut entrainer a la fuite qui est un déshonneur a mon gout.

[vétéran Roman Récit]

A vôtre gout, c'est pour celà que c'est vous le français. Je tient à mon honneur, mais je n'exclue pas l'idée de la fuite...

[vétéran Ferrey]

-Il est vrai qu'il ny a aucun désohnneur si la partie est inégal. Bon je vais vous laisser.

Ferrey mit son bicorne et son manteau salua Roman, mais avant de partir il donna un napoléon a l'aubergiste pour amélioré l'auberge