[Volchanka] Mission phase 3 France

[Briscard]

Début de fouille pour mes sapeurs en 70x195. Sur ma visu, on voit les sapeurs de Nachoss toujours en place après plus de 12 heures de fouille intense.

[Napoléon]

Au cœur de la campagne russe, sous un ciel aussi indécis que l'emplacement du coffre tant convoité, les vaillants sapeurs du Major Nachoss commencèrent leur quête. Armés de leur carte, révélée par les confidences d'un mineur local, ils se lancèrent avec ardeur dans les fouilles du site présumé où le coffre pourrait reposer. Ce premier jour fut marqué par un optimisme juvénile ; chaque coup de pelle semblait promettre de révéler les secrets enfouis. Les hommes, discutant et riant sous le faible soleil de printemps, échangeaient des histoires de richesses découvertes et de gloires futures. Pourtant, au fil des heures, aucune découverte ne vint récompenser leur labeur. Au petit matin, le travail reprit mais ils durent rapidement se résoudre à changer de zone de fouille.
Malgré cela, l’enthousiasme ne faiblit point, porté par l’ivresse de la chasse d'un supposé trésor et par l'arrivée d'une nouvelle compagnie de sapeurs.

HRP : Le coffre ne se trouve pas en 69x196, il faut chercher sur une autre case.

Début de fouille validé pour Briscard

[Nachoss]

Le major Nachoss ne perdant pas espoir continue ces recherches en 68/197.

[Briscard]

Début de fouille validée à 11h51. Rdv demain à 8h51 pour connaître le résultat.

[Briscard]

Fin de fouille pour mes sapeurs

[Napoléon]

À l'aube du second jour, une seconde compagnie de sapeurs commença les fouilles avec une détermination nette. Le ciel, maintenant plus clair, semblait vouloir les encourager, et la douce lumière du matin inondait le site, donnant à chaque grain de terre une lueur d'espoir.

Les hommes, après un petit déjeuner sommaire, se dispersèrent en petits groupes pour explorer le terrain, guidés par des indices et des marques sur leur carte. Les discussions de la veille avaient renforcé leur résolution ; chaque détail observé et chaque variation du terrain étaient minutieusement analysés. Un sapeur, prénommé Ewen, crut repérer une anomalie dans le sol près d'un vieux chêne. Ses camarades, partageant son enthousiasme, se mirent à creuser avec une vigueur redoublée.

Les pioches et les pelles s’enfonçaient dans la terre, tandis que des conversations animées remplissaient l’air. Les récits de trésors légendaires et de fortunes changées en un instant alimentaient les esprits. Sous les encouragements et les plaisanteries, le travail se poursuivait avec une ardeur nouvelle. Le soleil montait lentement dans le ciel, réchauffant les corps fatigués mais infatigables des sapeurs.

Vers midi, alors que la fatigue commençait à se faire sentir, un cri s'éleva. C'était Ewen, encore lui, dont la pelle avait heurté quelque chose de dur. Tous les sapeurs se précipitèrent autour de lui, les yeux brillant d'espoir. Ils creusèrent avec précaution, révélant peu à peu un objet massif et solide. Le cœur battant, ils dégageaient ce qui semblait être un artefact enfoui.

L'excitation monta d'un cran. Ewen, persuadé d'avoir trouvé le coffre tant recherché, se tourna vers ses camarades, un large sourire aux lèvres. "Nous y sommes !" s'exclama-t-il, les yeux brillants d'anticipation. Mais, lorsqu'ils parvinrent enfin à déblayer suffisamment, leur enthousiasme retomba brutalement. Ce qu'ils avaient pris pour un coffre n'était en réalité qu'une énorme pierre, enfouie profondément dans le sol.

Le silence qui suivit cette découverte était lourd de déception. Les sapeurs échangèrent des regards incrédules, essayant de comprendre comment ils avaient pu se tromper. Ewen, le premier, prit une profonde inspiration, cherchant à masquer sa déception. "Ce n'est qu'un obstacle de plus," dit-il finalement, d'un ton résolu. "Continuons, camarades. Le véritable trésor nous attend quelque part sous cette terre."

Ses paroles ranimèrent l'espoir et la détermination parmi ses camarades. Malgré la déception, l’enthousiasme ne faiblit point. Les sapeurs reprirent leurs outils et se remirent au travail, persuadés que la véritable découverte les attendait encore quelque part sous cette terre mystérieuse. La quête continuait, portée par l’esprit indomptable de l’aventure et la promesse d’un trésor caché.

HRP : Le coffre ne se trouve pas en 70x195. Il faut continuer d'explorer le terrain.

Cases déjà fouillées :
- 69x196
- 70x195

[Briscard]

Nouvelle position pour une autre fouille en 67x198



Je m'autovalide...

[Nachoss]

Fin de fouille en 68/197

Nouvelle position pour fouille 66/199

[Napoléon]

Les sapeurs du major Nachoss avaient changé de secteur. Les discussions animées et les éclats de rire fusaient tandis que chacun se mettait à l'ouvrage, convaincu que ce jour serait le bon.

Les heures défilaient, le soleil montant haut dans le ciel, projetant des ombres courtes sur le sol labouré. Les sapeurs travaillaient d'arrache-pied, déplaçant des mottes de terre et des pierres, scrutant chaque crevasse et chaque recoin. À mesure que l'après-midi avançait, l'enthousiasme du matin commençait à s'étioler. Les visages, d'abord souriants et pleins d'espoir, se durcissaient de fatigue et de doute.

Les discussions se faisaient plus rares, remplacées par le son monotone des pelles et des pioches. L'inquiétude commençait à s'insinuer dans les esprits : et si leurs efforts étaient vains ? Alors que le soleil amorçait sa descente vers l'horizon, un sentiment de découragement s'installait lentement mais sûrement. Le doute s'invitait parmi eux, rendant les derniers instants de la journée lourds et silencieux.

Au petit matin du lendemain, les sapeurs se réunirent à nouveau, leurs visages marqués par la fatigue et l'incertitude. Pourtant, ils n'étaient pas prêts à abandonner. Sous un ciel encore plus incertain que les jours précédents, ils reprirent les fouilles avec une ténacité renouvelée, mais le moral n'était plus aussi haut. Chaque coup de pelle semblait peser plus lourd, chaque pierre déplacée paraissait plus difficile.

Une fois de plus, le site présumé n'offrait toujours aucun indice du coffre tant recherché. Les sapeurs se regardaient, épuisés et désabusés. Finalement, ils se résolurent à changer de secteur, convaincus que leur persévérance finirait par porter ses fruits, même si cela signifiait repartir de zéro.

HRP : Case 68x197 vide. Le coffre est ailleurs.

Cases déjà fouillées :
- 69x196
- 70x195
- 68x197

Attention ! Je valide la fouille pour cette fois mais il faut vraiment attendre la validation de l'animation AVANT de changer de case.

Début de fouille en 66x199 validé à 10h57. Rendez vous demain 7h57 pour la validation.

[Napoléon]

Le troisième jour se leva sous un ciel clair et prometteur, insufflant un nouvel espoir à la compagnie 43288. Après un petit déjeuner rapide, les hommes se regroupèrent, prêts à reprendre les fouilles. Ils décidèrent de se concentrer sur une zone proche du vieux chêne, où Ewen avait découvert la fausse piste la veille.

Les sapeurs travaillèrent avec acharnement, creusant méthodiquement et discutant des trésors légendaires qui les motivaient. Peu avant midi, Jules cria d'alerte, sa pelle ayant heurté quelque chose de métallique. Les autres se rassemblèrent autour de lui, les cœurs battant d'espoir. Ils déblayèrent précautionneusement une forme qui semblait prometteuse : un coffre, pensaient-ils.

L'excitation monta, mais la découverte ne fut qu'une vieille structure métallique, probablement un ancien outil agricole. La déception fut immédiate et profonde. Un silence lourd s'installa, chacun essayant de cacher sa frustration.

Ewen, cherchant à rassembler le moral des troupes, déclara avec détermination que chaque échec les rapprochait du trésor. Ses paroles redonnèrent du courage aux sapeurs. Malgré la fatigue et les déceptions, ils reprirent leurs outils, prêts à continuer les fouilles. La quête du trésor continuait, guidée par un espoir tenace et l'esprit d'aventure qui ne faiblissait pas.

Les sapeurs, bien que mis à l'épreuve, restaient convaincus que le véritable trésor était encore enfoui quelque part sous cette terre mystérieuse, attendant d'être découvert par ceux qui persévéraient.

HRP : Case 67x198 vide. Le coffre est ailleurs.

Cases déjà fouillées :
- 69x196
- 70x195
- 68x197
- 67x198

[Briscard]

Nouvelle tentative demain pour moi en 67x199.



J'autovalide...

[Joachim Labastide]

Nouvelle tentative demain pour moi en 67x199.



J'autovalide...

On précise que tu es guidé sous consigne...

[Briscard]

Si je ne l'étais pas, j'aurais peut-être déjà trouvé...

[Napoléon]

Après avoir conclu leur deuxième tentative infructueuse en fin de matinée, les sapeurs du Major Nachoss décidèrent de ne pas perdre de temps et se dirigèrent immédiatement vers un nouveau secteur dans la vaste plaine. Ils se mirent au travail avec une énergie renouvelée, malgré la fatigue accumulée.

Les premières heures furent silencieuses, chaque homme absorbé par sa tâche, scrutant chaque coup de pelle avec vigilance. L'enthousiasme initial avait cédé la place à une détermination silencieuse et résolue. Les ombres des nuages passaient rapidement sur la plaine, créant une atmosphère presque mystique.

Cependant, au fil des heures, la monotonie de la tâche et l'absence de résultats commencèrent à peser lourdement sur le moral des hommes. Chaque pelletée ne révélait que des racines épaisses et des pierres, frustrant leurs efforts. Leurs visages se durcirent sous l'effort, la fatigue et le doute s'insinuant peu à peu dans leurs esprits.

Alors que l'après-midi avançait et que le soleil amorçait sa descente, le découragement s'installait lentement mais sûrement parmi les sapeurs. Les discussions se faisaient plus rares, remplacées par le son monotone des pelles et des pioches frappant le sol. Le major Nachoss, bien que partageant la lassitude de ses hommes, les exhorta à persévérer.

Finalement, à la tombée de la nuit, les sapeurs durent se résigner à interrompre leurs fouilles pour la journée. Épuisés et désabusés, ils se rassemblèrent, échangèrent des regards fatigués, mais déterminés à reprendre leur quête le lendemain.

Ainsi, dès l'aurore, ils se remirent à l'ouvrage. Mais ils comprirent vite qu'il leur faudrait de nouveau fouiller ailleurs. Malgré ce nouvel échec, ils se consolaient en se répétant que leur persévérance finirait par être récompensée. Se mentaient-ils à eux-mêmes ou en étaient-ils réellement convaincus ?


HRP : Case 66x199 vide. Le coffre est ailleurs.

Cases déjà fouillées :
- 69x196
- 70x195
- 68x197
- 67x198
- 66x199

[Nachoss]

Nouvelle fouille 65/199