Page 74 sur 279
Publié : ven. nov. 28, 2008 9:05 pm
par vétéran Ferrey
Calé sur la guerre en Espagne! En effet cette contre-attaque à faillit mettre en déroute l'armée de Soult! Mais heureusement que certaines division anglaise n'ont pas suivie le mouvement conformément à l'ordre de Jhon Moore qui venait juste d'être mortellement blessés.
Publié : ven. nov. 28, 2008 9:10 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Les artilleurs de l'Empire... Plein Thorax !

Publié : ven. nov. 28, 2008 9:38 pm
par vétéran Ferrey
L'épaule gauche fut emporté et la clavicule fut fracassé, son bras ne tenait plus que par un lambeau de chair......
A vous la main de Froissac
Publié : ven. nov. 28, 2008 10:16 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Bien, bien...
Pendant la rédaction du Code Civil, qu'est-ce que Portalis a fait qui a passablement irrité le Conseil d'Etat et le reste du corps législatif ?
Publié : sam. nov. 29, 2008 12:21 am
par vétéran Tomaso
Il a voulu en avoir le seul mérite, il se l'est accaparé...?
Publié : sam. nov. 29, 2008 9:23 pm
par vétéran Antoine de Froiss

De toute façon, Napoléon veillait au grain... Il n'aurait rien pu s'accaparer, cependant, il reste quand même le principal instigateur du Code.
Publié : sam. nov. 29, 2008 10:07 pm
par vétéran toutchkov
Le Premier Empire, qui allait être instauré quelques semaines après la promulgation du code civil (30 Ventôse An XII - 21 mars 1804) le revendiqua comme l’une de ses plus grandes gloires. La légende tendit d’ailleurs à l’attribuer au seul génie de Napoléon : le code civil des français fut rebaptisé Code Napoléon par la loi du 3 septembre 1807 - quelques jours seulement après la mort de Portalis dont il fut l’un des rédacteurs.
en plus On rapporte qu’au milieu de la nuit - car les séances se prolongeaient parfois jusqu’à 2 heures du matin - il secouait sévèrement les Conseillers d’Etat qui n’en pouvaient plus,et leur disait “Holà, Messieurs, s’écriait-il, réveillez-vous, il n’est que 2 heures ; il nous faut gagner l’argent que nous donne le peuple français” et il ajoutait à propos de Portalis : “ainsi secondé, nous ferons de grandes choses”.
Publié : sam. nov. 29, 2008 10:26 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Ca ne fait conforter que ce que j'ai dit précédemment mais ne répond pas à la question.
L'indice de la journée, cela concerne le travail délégué par l'Empereur à Portalis.
Publié : dim. nov. 30, 2008 8:46 am
par vétéran toutchkov
ah , je cherche encore ...
Publié : dim. nov. 30, 2008 9:15 pm
par vétéran toutchkov
est-ce fait qu'il fut Grand Aigle de la Légion d’Honneur ?
Publié : dim. nov. 30, 2008 9:42 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Ca n'a de rapport qu'avec son travail au sein de la Commission.
On retrouve encore sur Internet plusieurs extraits du Code lorsqu'il fut promulgué. Suffit de faire les bonnes recherches.

Publié : lun. déc. 01, 2008 7:08 am
par vétéran toutchkov
oui oui je trouverais

Publié : lun. déc. 01, 2008 12:42 pm
par rekin
est-ce que ça ne serai pas lié avec le fait qu'il a voulu retirer au conseil d'Etat les affaires religieuses ou alors que les conseillers d'État pouvaient être révoqué par les ministre?
Publié : lun. déc. 01, 2008 1:19 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Non.
Publié : lun. déc. 01, 2008 10:04 pm
par vétéran toutchkov
je pense que c'est a cause de la liaison avec mme de mirabeau
se qui lui value bien des deboires avec mirabeau
voit le texte
L'une des causes qui lui valent alors la célébrité est l'instance en séparation de corps présentée par la comtesse de Mirabeau contre son époux. Le procès fera grand bruit, jusqu'à Paris. Deux grands du barreaux (comme on dirait aujourd'hui) s'affrontent. Une véritable guerre de Mémoires a lieu. Aux Observations pour le comte de Mirabeau (dont l'auteur est l'intéressé) répond le Mémoire à consulter et consultation pour Madame de Mirabeau (de la plume de Portalis). Le 7 mai, Portalis plaide la cause de sa cliente, s'en prenant directement à Mirabeau : "Mieux vaut être diffamé que loué par vous" lui décroche-t-il. Mirabeau, dans sa plaidoirie (car il plaide pour lui-même !), s'en prend directement à Portalis "Et vous qui m'avez tant interrogé, répondez à votre tour. N'avez-vous pas le premier armée Madame de Mirabeau contre moi ? N'êtes-vous pas le véritable auteur de ce procès (...) Votre orgueil est donc bien satisfait d'avoir outragé devant deux cent personnes un homme de qualité qui ne vous provoquait pas ? (...) Je dédaigne, je méprise profondément vos outrages"
