Libération des prisonniers
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Libération des prisonniers
Des cavaliers galopent pendant que le soleil se couche. La majorité d’entre eux sont des cuirassiers, certains transportent sur leur croupe des membres du Génie. Le Major Tommy commande la troupe, et il sait qu’il peut compter sur ses fidèles adjudants Kirmann et Rapp. Chacun sait exactement ce qu’il doit faire. Les cavaliers arrivent vers Styrgrad ou Letobourg, le nom a si peu d’importance alors que la carnation du ciel tournait au rouge orangé.
La troupe se divise en deux. Le premier groupe transportant les membres du Génie se dirige vers l’arsenal. Le second quant à lui se dirige vers le camp où sont retenus les soldats qui avaient servis d’escorte aux officiers retenus prisonniers. Le camp se situant à l’écart de la ville, les russes ne laissaient qu’une garde limitée permettant ainsi aux cuirassiers de se rendre maîtres des soldats russes rapidement.
Le Major Tommy harangua les soldats Français emprisonnés :
-Soldats, vous voila enfermés depuis trop longtemps, et pour quelle raison ? Une traîtrise des officiers Russes envers les vôtres. Je suis ici pour venger notre honneur et libérer les officiers devant encore subir le joug de nos ennemis. Soldats, à l’arsenal pour vous armer !!!
Les soldats en cœur lui répondirent : -HOURRA !!!
Le Major Tommy et les cuirassiers conduisirent les soldats jusqu’à l’arsenal où l’un de ses adjudants distribua les fusils et les munitions récupérés dans l’entrepôt. Du bruit, de la fumée, des cris dans toute la ville. Le chaos y régnait. Les soldats Français commandés par Rapp et Kirmann se battaient dans la cité. Les Russes surpris par l’attaque n’arrivaient pas à créer une défense cohérente, la progression se fit assez facilement. Devant la résidence où étaient emprisonnés les officiers français, on pouvait entendre :
-Rapp, couvrez la sortie arrière, les russes ne doivent pas s’échapper avec les otages. Kirmann mettez le tonneau de poudre devant la porte, on va y aller.
Le Major Tommy en voyant la mèche s’embraser repensa à ce qui se passait quelques heures avant, quand tout était encore calme, pendant son discours devant ses cuirassiers :
-Soldats, notre but est simple : on est là pour libérer les officiers emprisonnés par la traitrise des Russes. Vous serez à la pointe du combat, vous investirez le bâtiment dès le début de l’assaut, vos pistolets devront être constamment chargés. Vous le fouillerez par groupes de 5 et reviendrez dans le Hall d’entrée dès que vous trouvez un officier Français afin de les remettre à Kirmann qui assurera leur protection.
Le Major Tommy réussit à se détacher de l’image de la mèche se consumant lentement pour remonter sur son cheval et prendre la tête de sa compagnie de cuirassiers. L’explosion réduisit en cendres la lourde porte de la bâtisse, ouvrant un large passage où s’engouffrèrent des dizaines de cuirassiers dans une charge d’une intensité rarement vue.
Les sentinelles Russes postées dans le bâtiment, encore étourdis par l’explosion de la porte, furent totalement abasourdis devant la charge des cavaliers, dont l’armure si caractéristique luisait même dans la fumée provoquée par l’explosion. Les cuirassiers, après avoir fait une entrée fracassante, commencèrent à se disperser. Par groupe de cinq, ils fouillèrent minutieusement chaque pièce, chacun ayant en mains son sabre et un pistolet, le deuxième étant mis à la ceinture. Leur cuirasse leur assurait un avantage dans les combats se déroulant dans d’étroits couloirs. Arrivés devant les cellules, ils commencèrent à faire sauter les serrures par un coup de pistolet afin de libérer les officiers Français.
Le Major Tommy ayant pris part à la recherche put avec plaisir trouver Jean Bailly, Chaudard, Guila sain et sauf. Après les avoir salué, il leur remit un pistolet à chacun et revint à l’entrée.Se tournant vers les anciens détenus, il leur demanda d’attendre un peu, qu’il ait le temps de déposer une lettre à propos d’une invitation du Chef de bataillon Vilpinov.
« Veuillez excuser ma réponse tardive à votre invitation pour la fête annuelle de la Garde Preobrahjensky, mais voulant venir quand même la voir, je me suis présenté accompagné d’autre officiers Français devant la ville où tous vos soldats se sont enfuis. Souhaitant quand même faire la fête, nous nous sommes installés dans la ville en attendant que vos troupes reprennent courage.
Cordialement
Major Tommy
Commandant en Second des Autunnois »
Il laissa cette missive sur une table à côté d’une seconde destiné au gouverneur Russe de la ville :
« Excusez nous pour la porte, nous avions oublié de prendre les clefs. Sans rancune j’espère ! »
Souriant, il déposa les deux lettres puis fit sonner le rassemblement des troupes.
-Soldats, notre mission est une réussite totale. La ville est sous notre contrôle, mais surtout nous avons libérer du joug russe ces fiers officiers Français comme nous l’avait demandé l’Empereur. Nous allons maintenant nous assurer que ces hommes puissent enfin revoir leur foyer. Je sais que vous vouliez tenir la ville, mais notre priorité est la sécurité de ceux que l’on vient de sauver.
Le Major Tommy se retourna vers ses adjudants :
-Kirmann, Rapp, je sais que je vais vous en demander beaucoup mais vous devez tenir à distance les Russes pendant que je les escorte avec mes cuirassiers. Je sais que vous n’avez pas l’habitude de vous battre avec ces soldats, mais ils sont vaillants et veulent prendre leur revanche. Je ne me fais pas trop de soucis.
Se tournant vers les officiers nouvellement libérés :
-Messieurs, nous n’avons pas pu amener de chevaux pour vous, mais malheureusement certains de mes cuirassiers sont morts en vous cherchant… Leurs montures sont donc vôtres.
Commençant la retraite en direction de la rivière, la compagnie croisa une compagnie de voltigeurs commandé par Lefebvre, qui avait pour ordre de se positionner au travers de tout Russe ayant pu échapper à la vigilance de Rapp et de Kirmann. Les voltigeurs couvrirent la retraite jusqu’à la rivière, proche maintenant. Ils prirent position dans la forêt adjacente au fleuve, couvrant ainsi les cavaliers en train de traverser à gué. Juste au moment où le Major Tommy finit de traverser, 2-3 coups de fusils furent tirés, et se retournant avec surprise, il put voir un cavalier vêtu de vert s’écroulant à terre, tandis que le cheval continuait son chemin seul. Il sut à ce moment là qu’aucun Russe ne pourrait les rattraper.
HRP/ nous avons pu libérer les officiers retenus en otage grâce à une magnifique coordination entre les Autunnois et le IIIe CA. Je tiens à remercier spécialement Juan pour avoir organisé l'opération./HRP
La troupe se divise en deux. Le premier groupe transportant les membres du Génie se dirige vers l’arsenal. Le second quant à lui se dirige vers le camp où sont retenus les soldats qui avaient servis d’escorte aux officiers retenus prisonniers. Le camp se situant à l’écart de la ville, les russes ne laissaient qu’une garde limitée permettant ainsi aux cuirassiers de se rendre maîtres des soldats russes rapidement.
Le Major Tommy harangua les soldats Français emprisonnés :
-Soldats, vous voila enfermés depuis trop longtemps, et pour quelle raison ? Une traîtrise des officiers Russes envers les vôtres. Je suis ici pour venger notre honneur et libérer les officiers devant encore subir le joug de nos ennemis. Soldats, à l’arsenal pour vous armer !!!
Les soldats en cœur lui répondirent : -HOURRA !!!
Le Major Tommy et les cuirassiers conduisirent les soldats jusqu’à l’arsenal où l’un de ses adjudants distribua les fusils et les munitions récupérés dans l’entrepôt. Du bruit, de la fumée, des cris dans toute la ville. Le chaos y régnait. Les soldats Français commandés par Rapp et Kirmann se battaient dans la cité. Les Russes surpris par l’attaque n’arrivaient pas à créer une défense cohérente, la progression se fit assez facilement. Devant la résidence où étaient emprisonnés les officiers français, on pouvait entendre :
-Rapp, couvrez la sortie arrière, les russes ne doivent pas s’échapper avec les otages. Kirmann mettez le tonneau de poudre devant la porte, on va y aller.
Le Major Tommy en voyant la mèche s’embraser repensa à ce qui se passait quelques heures avant, quand tout était encore calme, pendant son discours devant ses cuirassiers :
-Soldats, notre but est simple : on est là pour libérer les officiers emprisonnés par la traitrise des Russes. Vous serez à la pointe du combat, vous investirez le bâtiment dès le début de l’assaut, vos pistolets devront être constamment chargés. Vous le fouillerez par groupes de 5 et reviendrez dans le Hall d’entrée dès que vous trouvez un officier Français afin de les remettre à Kirmann qui assurera leur protection.
Le Major Tommy réussit à se détacher de l’image de la mèche se consumant lentement pour remonter sur son cheval et prendre la tête de sa compagnie de cuirassiers. L’explosion réduisit en cendres la lourde porte de la bâtisse, ouvrant un large passage où s’engouffrèrent des dizaines de cuirassiers dans une charge d’une intensité rarement vue.
Les sentinelles Russes postées dans le bâtiment, encore étourdis par l’explosion de la porte, furent totalement abasourdis devant la charge des cavaliers, dont l’armure si caractéristique luisait même dans la fumée provoquée par l’explosion. Les cuirassiers, après avoir fait une entrée fracassante, commencèrent à se disperser. Par groupe de cinq, ils fouillèrent minutieusement chaque pièce, chacun ayant en mains son sabre et un pistolet, le deuxième étant mis à la ceinture. Leur cuirasse leur assurait un avantage dans les combats se déroulant dans d’étroits couloirs. Arrivés devant les cellules, ils commencèrent à faire sauter les serrures par un coup de pistolet afin de libérer les officiers Français.
Le Major Tommy ayant pris part à la recherche put avec plaisir trouver Jean Bailly, Chaudard, Guila sain et sauf. Après les avoir salué, il leur remit un pistolet à chacun et revint à l’entrée.Se tournant vers les anciens détenus, il leur demanda d’attendre un peu, qu’il ait le temps de déposer une lettre à propos d’une invitation du Chef de bataillon Vilpinov.
« Veuillez excuser ma réponse tardive à votre invitation pour la fête annuelle de la Garde Preobrahjensky, mais voulant venir quand même la voir, je me suis présenté accompagné d’autre officiers Français devant la ville où tous vos soldats se sont enfuis. Souhaitant quand même faire la fête, nous nous sommes installés dans la ville en attendant que vos troupes reprennent courage.
Cordialement
Major Tommy
Commandant en Second des Autunnois »
Il laissa cette missive sur une table à côté d’une seconde destiné au gouverneur Russe de la ville :
« Excusez nous pour la porte, nous avions oublié de prendre les clefs. Sans rancune j’espère ! »
Souriant, il déposa les deux lettres puis fit sonner le rassemblement des troupes.
-Soldats, notre mission est une réussite totale. La ville est sous notre contrôle, mais surtout nous avons libérer du joug russe ces fiers officiers Français comme nous l’avait demandé l’Empereur. Nous allons maintenant nous assurer que ces hommes puissent enfin revoir leur foyer. Je sais que vous vouliez tenir la ville, mais notre priorité est la sécurité de ceux que l’on vient de sauver.
Le Major Tommy se retourna vers ses adjudants :
-Kirmann, Rapp, je sais que je vais vous en demander beaucoup mais vous devez tenir à distance les Russes pendant que je les escorte avec mes cuirassiers. Je sais que vous n’avez pas l’habitude de vous battre avec ces soldats, mais ils sont vaillants et veulent prendre leur revanche. Je ne me fais pas trop de soucis.
Se tournant vers les officiers nouvellement libérés :
-Messieurs, nous n’avons pas pu amener de chevaux pour vous, mais malheureusement certains de mes cuirassiers sont morts en vous cherchant… Leurs montures sont donc vôtres.
Commençant la retraite en direction de la rivière, la compagnie croisa une compagnie de voltigeurs commandé par Lefebvre, qui avait pour ordre de se positionner au travers de tout Russe ayant pu échapper à la vigilance de Rapp et de Kirmann. Les voltigeurs couvrirent la retraite jusqu’à la rivière, proche maintenant. Ils prirent position dans la forêt adjacente au fleuve, couvrant ainsi les cavaliers en train de traverser à gué. Juste au moment où le Major Tommy finit de traverser, 2-3 coups de fusils furent tirés, et se retournant avec surprise, il put voir un cavalier vêtu de vert s’écroulant à terre, tandis que le cheval continuait son chemin seul. Il sut à ce moment là qu’aucun Russe ne pourrait les rattraper.
HRP/ nous avons pu libérer les officiers retenus en otage grâce à une magnifique coordination entre les Autunnois et le IIIe CA. Je tiens à remercier spécialement Juan pour avoir organisé l'opération./HRP
Animateur
- vétéran frog (Mat. 11658)
- Major
- Russe
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- Inscription : mer. sept. 19, 2007 10:25 am
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Le gouverneur Frog observait la ville depuis un poste à l'extérieur avec sa longue-vue lorsqu'un messager vint l'avertir que comme il l'avait prévu les prisonniers francais avaient été libérés.
Fort bien pensa t-il, on ne pourra pas m'accuser de les avoir aidé à s'évader, j'ai simplement annocé qu'une chasse à l'homme à l'homme importante nécéssitait la garnison hors de la ville. Et mieux encore les francais ont pris la ville ce qui signifait que la fausse annonce de la fête préo avait fonctionné. Le piège avait fonctionné, les francais engageait enfin le combat mais aucun d'eux n'en sortiraient vivant.
Lieutenant ordonnez l'assaut général.
Le Major Frog parti rejoindre ses grenadiers pour se lancer dans la mélée.
Fort bien pensa t-il, on ne pourra pas m'accuser de les avoir aidé à s'évader, j'ai simplement annocé qu'une chasse à l'homme à l'homme importante nécéssitait la garnison hors de la ville. Et mieux encore les francais ont pris la ville ce qui signifait que la fausse annonce de la fête préo avait fonctionné. Le piège avait fonctionné, les francais engageait enfin le combat mais aucun d'eux n'en sortiraient vivant.
Lieutenant ordonnez l'assaut général.
Le Major Frog parti rejoindre ses grenadiers pour se lancer dans la mélée.
Major Frog,
Gouverneur militaire de LetoBourg
Commandant de la première section.
Pour La Sainte Russie qu'elle demeure éternelle !
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Pour La Sainte Russie qu'elle demeure éternelle !
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- Général de brigade
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- Inscription : mar. mars 04, 2008 11:36 pm
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"Styrgrad est une idée" pensa Vilpinov.frog a écrit :Le gouverneur Frog observait la ville depuis un poste à l'extérieur avec sa longue-vue lorsqu'un messager vint l'avertir que comme il l'avait prévu les prisonniers francais avaient été libérés.
Fort bien pensa t-il, on ne pourra pas m'accuser de les avoir aidé à s'évader, j'ai simplement annocé qu'une chasse à l'homme à l'homme importante nécéssitait la garnison hors de la ville. Et mieux encore les francais ont pris la ville ce qui signifait que la fausse annonce de la fête préo avait fonctionné. Le piège avait fonctionné, les francais engageait enfin le combat mais aucun d'eux n'en sortiraient vivant.
Lieutenant ordonnez l'assaut général.
Le Major Frog parti rejoindre ses grenadiers pour se lancer dans la mélée.
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- Chef de bataillon
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- Inscription : lun. janv. 26, 2009 8:03 pm
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Les corps jonchaient le sol de la ville ensanglantée.
L'attaque avait été fulgurante, l'ennemi projetait son avant-garde dans une attaque violente mais somme toute assez suicidaire.
Le Lieutenant Barbarian avait souffert, mais les renforts se regroupaient déjà au Nord de la ville.
Une semaine de lourds combats s'annonçaient.
La pluie lavait à peine le sang russe qu'un deuxième torrent rouge, français mais semblable, dévalait les rigoles, emplissaient les flaques et partout fleurissaient des mares écarlates.
L'attaque avait été fulgurante, l'ennemi projetait son avant-garde dans une attaque violente mais somme toute assez suicidaire.
Le Lieutenant Barbarian avait souffert, mais les renforts se regroupaient déjà au Nord de la ville.
Une semaine de lourds combats s'annonçaient.
La pluie lavait à peine le sang russe qu'un deuxième torrent rouge, français mais semblable, dévalait les rigoles, emplissaient les flaques et partout fleurissaient des mares écarlates.
- vétéran Robert Surcouf (Mat. 14010)
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- Inscription : mar. nov. 20, 2007 12:45 am
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Du haut de la maison de maître qu'il occupait, le Chef de Bataillon Robert Surcouf observait les colonnes d'infanterie française qui prenaient une à une les maisons de la ville. L'Etat Major russe avait beau soutenir le contraire, il s'agissait bien là d'une défaite de l'Armée du Tzar et ce n'étaient pas les quelques drapeaux verts ou jaunes des alentours qui allaient pouvoir déloger les nombreuses compagnies de la Grande Armée.
- vétéran Chaudard (Mat. 21253)
- Chef de bataillon
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- Inscription : sam. mai 03, 2008 10:34 am
- Localisation : toulouse
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Chaudard saluait tous les hommes qui l'ont libéré.
"Merci Messieurs, espérons que cette perfidie n'aura plus lieu durant cette guerre! Où est votre officier que j'aille le remercier de vive voix." demandait Chaudard aux hommes de troupe.
Les Autunnois montraient un homme au milieu de la place entrain de donner ordres sur ordres. Et quelle surprise fut pour Chaudard de voir l'officier Tommy.
"Officier Tommy? C'est bien vous? Je ne vous ai pas revu depuis l'Opération Yapluka! On me narrait vos exploits au sein des Autunnois mais nos routes ne se sont plus croisées depuis. J'ai un dette éternelle envers vous, j'espère un jour pouvoir m'en acquitter, question d'honneur vous comprenez." Chaudard serrait la main de Tommy.
"Dites moi, vous avez besoin d'un officier ou puis je rejoindre mon régiment?"
"Merci Messieurs, espérons que cette perfidie n'aura plus lieu durant cette guerre! Où est votre officier que j'aille le remercier de vive voix." demandait Chaudard aux hommes de troupe.
Les Autunnois montraient un homme au milieu de la place entrain de donner ordres sur ordres. Et quelle surprise fut pour Chaudard de voir l'officier Tommy.
"Officier Tommy? C'est bien vous? Je ne vous ai pas revu depuis l'Opération Yapluka! On me narrait vos exploits au sein des Autunnois mais nos routes ne se sont plus croisées depuis. J'ai un dette éternelle envers vous, j'espère un jour pouvoir m'en acquitter, question d'honneur vous comprenez." Chaudard serrait la main de Tommy.
"Dites moi, vous avez besoin d'un officier ou puis je rejoindre mon régiment?"
La Liberté appartient à ceux qui l'ont conquise
André Malraux
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- vétéran Bouchu (Mat. 1037)
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- vétéran Chaudard (Mat. 21253)
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- Inscription : sam. mai 03, 2008 10:34 am
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"Merci à vous Juge Bouchu, pour moi, vous le serez toujours! Je retourne joindre mon régiment, en écoutant ces pleutres de russes qui nous avait fait prisonniers, j'ai pu entendre qu'une tente régimentaire avait fait son apparition de nouveau à Ostankino. Il faut que j'y aille de ce pas.
Remerciez tous vos hommes pour ma libération!
Gloire aux Autunnois. A bientôt sur le front juge Bouchu!"
Chaudard saluait l'officier Bouchu avec énormément de respect.
Il montait sur un cheval aux couleurs des Autunnois et partait en direction d'Osatnkino où la lutte était âpre entre le IVème Corps et les traitres partisans du Lys.
Remerciez tous vos hommes pour ma libération!
Gloire aux Autunnois. A bientôt sur le front juge Bouchu!"
Chaudard saluait l'officier Bouchu avec énormément de respect.
Il montait sur un cheval aux couleurs des Autunnois et partait en direction d'Osatnkino où la lutte était âpre entre le IVème Corps et les traitres partisans du Lys.
La Liberté appartient à ceux qui l'ont conquise
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- guila (Mat. 23515)
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- Inscription : mar. juil. 08, 2008 9:26 am
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un cavalier s'approcha de Chaudart et lui remit une courte lettre
"Chers camarade Chaudart, si vous avez des talents de diplomate, accourrez au plus vite à Ostankino.
Il semble en effet qu'une dispute se soit installé entre le prétentieux JM Petit et mon adj Le Boucher, à propos d'une histoire de bannière installée au sommet du clocher, j'entends la caisse de résonance de Le Boucher qui répond aux attaque de cette marie louise par la taquinerie.
De plus Le Boucher est dans le clocher avec le prêtre de la bas, Don Camillo je crois qu'il s'appelle, comme l'un est mauvais tireur (JM Petit) et l'autre un fou de la gâchette (un comble pour un religieux), je craint que cette dispute ne finisse mal.
Accourrez vite mon cher, on as besoin de vous, d'autant plus que vous risquez de trouver Ostankino assiégé par les troupes russes (il semblerait aussi que leur camps ait reculé de cinq petites lieux)"
cordialement
signé: Guila
Dernière modification par guila le sam. août 08, 2009 11:38 pm, modifié 1 fois.
équipe d'animation
freenaute, de retour.
Colonel Guila
Autumnois
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- Inscription : ven. août 31, 2007 12:25 am
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bléssés au combats en dehors de la ville, gapowen et son tout jeune promu, Panthalons, tous deux sous la tentes des bléssés, attendait impatiemmant l'arrivé de la missive promise par Houdart de Lamotte pour un bilan du front; plus que mouvementé en cette période quand un vacalier arriva avec cette même missive
"Camarades capitaine adjudant major gapowen et adjudant panthalons,
j'espère que vos blessure se récupèreront vite et que la demande de financement de panthalons soit acceptée. Ici, comme vous pouvez vous en doutez, les attaques et contre-attaques s'ensuivent et on ne sait plus qui a l'avantage, la pire de tout cela, c'est que la nuit ne sert pas même pour se reposer; ces fourbes de russes attaques même en pleine nuit... aujourd'hui que de morts, mon filleul a perdu une jambe par une balle perdu qui s'est vite suivit d'une infection, il retournera a Paris, c'est dommage je le voyait déjà lieutenant...Comme je vous l'ai dit, on ne sait quii a l'avantage dans les champs mais pour l'instants nous (autunnois) avons réussi a tenir la ville quoiqu'il y eut un moment de frayeur que le major tommy et ses troupes se sont retirés de l'église; ils avaient subis plus qu'ils ne pouvaient supporter (pour vous prouver l'acharnement des russes) mais on a vite fait de reprendre l'église.
Je vous réécrit dès qu'il y a une ou plusieurs nouvelles d'importance.
Adjudant Antoine Charles Houdart de Lamotte"
Gapowen se souvint, comme de ces souvenirs douloureux mais dont on est fier de cette balle qui avait atteint son épaules, de ses charges acharnées au cris de "AUTUNNOIS VAINCRA!!VIVE L'EMPEREUR!!VIVE LA FRANCE" sur mackache puis de son sacrifice pour sauver son drapeau, il se souvenait comme le même soir de l'attaque de la ville par ses 16 camarades officiers, il observait attentivement à la longue vue, et à l'aide panthalons, qui exceptionnellement avait laissé ses lanciers sous le commandement de son second pour aidé son supérieur et ami gapowen dans la bataille, la ville et en particulier tommy qui devait lui donné le signal qui lui permetterait de lancer sa charge.
La charge avait été magnifique, lancée depuis la route et en suppériorité nummérique a 200 français contre 130 russes on eut cru pourtant que les français était 1000 et les russes 50 tant les cris poussés étaient impressionnant.
Se reposant et pensant à tout ceci, gapowen se leva subitement et dit à son ami:
"Je ne sens presque plus la balle et mon battaillon a repris des forces, je crois que je vais me mettre en route, mais vous, je suis contraint de vous ordonner de rester 2 jours de plus ici, votre coup de sabre reçu ne semble pas s'être totalement rétablis" en effet dans la charge, et avant que mackache n'ai fuit comme le poltron qu'il est et qu'était les russes des environs, ce dernier s'était retrouvé face à face avec panthalons, le pauvre lancier, bon sabreur mais avec moins d'expérience que mackache avait reçu un coup de sabre qui lui traversa le corp,on crut qu'il était mort; c'était sans compté la résistance légendaire des gascons, lui en était un, un vrai. On l'avait retiré du champs de battailles vers cette même tente où ils étaient, gapowen et lui. Gapowen le rejoins le lendemain, ayant résister toute la journé à la fusillade des russes qui, par prudence surement et par peur surtout ne l'attaqué que par des salves d'une précision sublime, gapowen avait été touché par l'une d'elle.
"Camarades capitaine adjudant major gapowen et adjudant panthalons,
j'espère que vos blessure se récupèreront vite et que la demande de financement de panthalons soit acceptée. Ici, comme vous pouvez vous en doutez, les attaques et contre-attaques s'ensuivent et on ne sait plus qui a l'avantage, la pire de tout cela, c'est que la nuit ne sert pas même pour se reposer; ces fourbes de russes attaques même en pleine nuit... aujourd'hui que de morts, mon filleul a perdu une jambe par une balle perdu qui s'est vite suivit d'une infection, il retournera a Paris, c'est dommage je le voyait déjà lieutenant...Comme je vous l'ai dit, on ne sait quii a l'avantage dans les champs mais pour l'instants nous (autunnois) avons réussi a tenir la ville quoiqu'il y eut un moment de frayeur que le major tommy et ses troupes se sont retirés de l'église; ils avaient subis plus qu'ils ne pouvaient supporter (pour vous prouver l'acharnement des russes) mais on a vite fait de reprendre l'église.
Je vous réécrit dès qu'il y a une ou plusieurs nouvelles d'importance.
Adjudant Antoine Charles Houdart de Lamotte"
Gapowen se souvint, comme de ces souvenirs douloureux mais dont on est fier de cette balle qui avait atteint son épaules, de ses charges acharnées au cris de "AUTUNNOIS VAINCRA!!VIVE L'EMPEREUR!!VIVE LA FRANCE" sur mackache puis de son sacrifice pour sauver son drapeau, il se souvenait comme le même soir de l'attaque de la ville par ses 16 camarades officiers, il observait attentivement à la longue vue, et à l'aide panthalons, qui exceptionnellement avait laissé ses lanciers sous le commandement de son second pour aidé son supérieur et ami gapowen dans la bataille, la ville et en particulier tommy qui devait lui donné le signal qui lui permetterait de lancer sa charge.
La charge avait été magnifique, lancée depuis la route et en suppériorité nummérique a 200 français contre 130 russes on eut cru pourtant que les français était 1000 et les russes 50 tant les cris poussés étaient impressionnant.
Se reposant et pensant à tout ceci, gapowen se leva subitement et dit à son ami:
"Je ne sens presque plus la balle et mon battaillon a repris des forces, je crois que je vais me mettre en route, mais vous, je suis contraint de vous ordonner de rester 2 jours de plus ici, votre coup de sabre reçu ne semble pas s'être totalement rétablis" en effet dans la charge, et avant que mackache n'ai fuit comme le poltron qu'il est et qu'était les russes des environs, ce dernier s'était retrouvé face à face avec panthalons, le pauvre lancier, bon sabreur mais avec moins d'expérience que mackache avait reçu un coup de sabre qui lui traversa le corp,on crut qu'il était mort; c'était sans compté la résistance légendaire des gascons, lui en était un, un vrai. On l'avait retiré du champs de battailles vers cette même tente où ils étaient, gapowen et lui. Gapowen le rejoins le lendemain, ayant résister toute la journé à la fusillade des russes qui, par prudence surement et par peur surtout ne l'attaqué que par des salves d'une précision sublime, gapowen avait été touché par l'une d'elle.
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il faut avoir la force pour changer les chose,la souplesse pour se plier aux contrainte qui ne peuvent être changer,et la sagesse pour déterminer si les choses sont changeable ou non.
il faut avoir la force pour changer les chose,la souplesse pour se plier aux contrainte qui ne peuvent être changer,et la sagesse pour déterminer si les choses sont changeable ou non.