Histoire D'une compagnie ...
Publié : dim. oct. 07, 2007 7:39 pm
journal du Sous-lieutenant De Marmont
Je vient de prendre mes nouveaux quartiers, l'air est frais, tendu ...
les autres hommes me regardent.
J'avance, doucement, plante une affiche officiel sur un panneau devant ma tente .
Les officiers se précipitent dessus, se retournent, et me font un salut .
Ils restent cependant distancts, pour eux, je ne suis qu'un petit bourgeois de Paris qui vient d'être nommer déléguer de front .
je commence à donner les premiers ordres, peux me répondent, la plus-part partent, sans faire même attention à moi .
Ma compagnie restera dormir dans une ferme, non loin du camp principale .
Mes hommes sortent à peine de l'enfance pour certains ...
Mon second, De Tallon, m'informe sur les positions ennemis ...
doucement, je prend mon commandement .
Le jour se lève, soudain, des trompettes, alerte, les russes .
Tout le monde se précipitent, nous cherchons nos baîonettes ...
Nous sortons tous de la ferme, nous nous mettons en ligne, et de Tallon crie : Feu !
Les 1ers rangs russes tombent, ils ripostent, horreur ! [/b]
Je vient de prendre mes nouveaux quartiers, l'air est frais, tendu ...
les autres hommes me regardent.
J'avance, doucement, plante une affiche officiel sur un panneau devant ma tente .
Les officiers se précipitent dessus, se retournent, et me font un salut .
Ils restent cependant distancts, pour eux, je ne suis qu'un petit bourgeois de Paris qui vient d'être nommer déléguer de front .
je commence à donner les premiers ordres, peux me répondent, la plus-part partent, sans faire même attention à moi .
Ma compagnie restera dormir dans une ferme, non loin du camp principale .
Mes hommes sortent à peine de l'enfance pour certains ...
Mon second, De Tallon, m'informe sur les positions ennemis ...
doucement, je prend mon commandement .
Le jour se lève, soudain, des trompettes, alerte, les russes .
Tout le monde se précipitent, nous cherchons nos baîonettes ...
Nous sortons tous de la ferme, nous nous mettons en ligne, et de Tallon crie : Feu !
Les 1ers rangs russes tombent, ils ripostent, horreur ! [/b]