La peur envahit et repart sur les jours de marches

[vétéran Vannuse]

Mon Adjudant et moi, sommes venus ici pour une chose non préciser. Notre roi, en Belgique nous donnâmes cette mission dont personne, à ce qu'il parait, ne peux revenir sain et sauf.

La peur de mes hommes que j'ai vu était très grandes. Il en a qui eu le courage de venir avec moi, jusqu'ici, en Russie, mais d'autre sont partis des rangs lors de partir. Au début, les recrue de l'armée Belge étaient en face. Ils étaient au moins 1000, les meilleurs. Regardez maitenant, ont est plus que 400. Ils ont tous déguerpit d'une traites lorsque je leur et dit leur mission, et les conséquence qui peux y avoir. Je leur et demander si il voulais toujours venir. Plus de la moitier se retirat, et je leurs crié qu'il y avaient beaucoup d'or en récompense. Celà ne marchas pour certains, mais d'autres sont resté.

Regardez maintenant dehors. C'est mes hommes, et je leurs et promit de rentré bientôt. Je ne pourrais accepter la mort de mes hommes. Ils sont de vrai machine de guerres, mais ont fond d'eux se cache une peur qui le enhissent, mais moi, je suis là pour les rendre plus fort.

Le premier jours de marche, tout pus apprècier le paysage. Plus loin, beaucoup plus loin, on entendaient tous les bombardement et tout ce qui se passé. Je me dit que quand ont vas être tous là-bas:" Tout vas s'arranger d'ici là". Mais c'est se que je me suis dit pendant tout le trajet, et plus on se rapproche de la cible, plus ont à peur, et plus ont à peur, plus ont est forts.

La vie ne tien qu'à un fusil et à du courage. Je me dit qu'alors, mes hommes méritent de vivre tout le temps. J'espère que vous comprendrez ce que je ressent quand je vous dit que l'ont à peur de mourir. Car loin de nous, ont à tous une familles qui attendra notre retour.

[vétéran Vannuse]

Depuis quelques temps, nous sommes harcelé jour et nuit par les

bruits des conans qui commence à se rapprocher. Des missives sont

arriver, pour que toutes mes uniter aillent dans un village et le défendre

contre les Russes. Depuis quelques temps, aussi, j'essaye de remonté le

moral de mes troupes, certains pensent qu'il vont rester là-bas et

d'autres veulent rentré chez soit, mais moi je leurs dit que si on ne sais

pas contenir les Russes, nous sommes foutus, donc, autant se battre

maintenant que après. La vie ne tient qu'à un fil en ce moment et je suis

là pour refaire le noeud dans ce fil.

[vétéran Vannuse]

Aujourd'hui est un grand jour, on vien de rentré en ville, la où les

attaques Russe font rage. J'ai du forcer mes hommes et ceux de mon

adjudant pour avoir un espoir de survivre. Maintenant, la guerre est juste

à quelques pas et ont tardera pas à ouvrire le feu sur les Russe, quand il

seront ammené à passer la riviére.

[vétéran Vannuse]

Notre 3éme jour sur place de l'autres côter de la rive des Russe. Elle

s'est bien passé ici, pas de probléme, ni rien... Mes hommes sont prêt au

combat, j'ai du me replier avant pour laisser passé une unité qui revenait

du combat, ce n'était vraiment pas beau à voir. Des blessés et des

bléssés... Aujourd'hui, les Russes ont mit pied sur notre rive, et mes deux

unités était là pour couvrir notre flanc. Ainsi, je vais peut-être combattre.

Si se n'est pas auourd'hui ou demain, se sera dans les jours prochains.

Des gens meurts chaque jour pour sa, et celà devient de plus en plus

envahissant, je parle bien de la peur... Mes en tout cas, ont à tous

respecter un code d'honneur, pour notre famille, pour notre patrie et pour

l'empereur.

[vétéran Vannuse]

Aujourd'hui, l'ennemis se retrouvas devant toutes mes unités. De

l'autres côter de la rive, il nous narguèrent tous, mais aucun mort ni

blesser fut revéler. J'ai ordonné à mon unité de faire feu de la ville, sur

l'ennemis qui se trouver en face de nous. Le résultat était que j'ai tué 3

de leurs soldats et que j'ai leur et fait 2 bléssés. Une fois qu'il n'était

qu'une petite vingtaine, je regardat mon adjudant et lui dit:"Vous pouvais

y arriver!". Il comprit alors qu'il devait tiré. De sa position, ils tirèent tous

une salve de balle qui faisat la même conclusion, 3 morts et 2 blessés.

Voyant que mon unité n'était plus en possiblité de tiré et que celle de mon

adjudant l'était, je lui redit qu'il pouvais y arriver encore une fois. Au

coup de feu, 2 hommes meurts de l'autres côter de la rive et les Russes

qui était de l'autres côter ont fuits comme des lâches. Ainsi fût ma

première victoire contre les Russes. D'autres unité son déjà en place

devant nous et je suis prêt à leur mettre une raclée.

[vétéran Vannuse]

Celà fait beaucoup de temps que je n'ai plus écrit de mot.

Nous avons terrasé des unités et aucun de moes hommes sont morts.

Aujourd'hui, mes hommes et ceux de mon Adjudant, sommes passé

sur l'autres rives, appelé:"L'îlot des gendarme". Je ne sais point pourquoi

ce nom, mais je sais que je dois à tout prix garder les Russes sur l'autre

en attendant que les hommes des autres compgnies se reforme. Quand je

suis passé sur l'îlot, nous avons mit de suite pied sur les villes les plus

proche en étant carnader par les Russes des deux côtés. Heureusement,

il n'y eu aucun mort et avons prit ces villes sans encombre et sans

obstacle devant. J'espère que les Russes vont arrêter de chamboulé mes

hommes car maintenant, c'est mes deux unité contre les leurs, car je suis

prit entre deux feux. Heureusement que les villes nous protége un peu

du danger, sinon, je croit bien que le monde serais mort. Attedons dans 2

jours l'évolution des choses et préparons nous à les éliminer du front.

[vétéran Vannuse]

J'écrit ce texte au 3 soldat qui sont morts sous le commandement de

mon adjudant. Une unité s'est trop rapprocher de nos position, il est en ce

moment encore sur la mer. Mon adjudant, n'ayant vus cet compagnie se

rapprocher, parce qu'il avait ordonné à tout le monde de rester à couvert,

ordonnat à 5 soldat d'aller dans une des maisons sur le bord de la rive.

Malheureusement, 3 sont morts pour atteindre l'objectif et deux autres

sont blessé graves aux jambes. Je vois depuis hier mon Adjudant en

pleure. Il dit à chaque fois: "J'aurais du y allait à leurs places!" ou

alors: "Je leur avait promit de rester en vie jusqu'à retourné en

Belgique!" Je comprend ce qu'il peut ressentir et je l'aide à se resaisir

pour les prochains combats qui vont faire rage. Le moral des troupes est

en baisse, ont voien tous qu'il sont très peur et se demande s'il vaudrais

mieux retourné sur l'autres rive. Mais ceci nest pas une solution. Moije

leur dit, encore une fois, mais ct fois ci c'est sûrement la vérité: "Soite

ont combats et ont rese en vie, ou alors en se repli et on crévent!".

J'aurais tant voulut que mon unité soit bien dans leur peaux pour

combattres les Russes, mais là ils sont découragé et j'espère que demain,

pour la contre-attaque, sa iras mieux.

[vétéran Vannuse]

12 juin: journal de route.

Cette phrase sont peut-être les dernières. C'est phrases symboliseront que j'ai combattut aux côtés des Français. Je croyait personne de mon uniter aller être tuées en passant la rive ainsi que ceux de mon adjudant. Mais la guerre est moche et maintenant, une cinquantaine d'hommes sont morts sous mes ordres.

Le moral est au plus bas, et le combat serat peut-être pas long pour mon adjudant. Il est démoraliser d'avoir perdut ses plus fidéles compagnons lors de la défense des deux villes iansi qu'aujourd'hui, sur les plaines. Je me demande si je vais savoir gagné la guerre avec les autres Français.

Mon état est faible aprè avoir combattut pendant s'est dex jours. Canardé, et recanardé... Je n'ai vus que des horreurs. Le front de la Vénitienne est la plus durte et mes unité y était posté en plein milieu de tout ce souk. Maintenant, il ne me rese plus beaucoup de temps pour réaliser que si je me crée un passage à travers les Russes, les Français seront maître du front et la guerre serat finie.

Le temps coule, et les mots s'y rajoute avec une goutte de peur. Bon nombre de mes soldats avaient des familles et maintenant, si je reviens en Belgique, je serais obligé de leurs dire que leurs hommes étaient le sacrifice pour un monde meilleur. oi je dis que j'ai pas envie de retourné en Belgique, car je serais pas supporter de voir tout s'est corps défiler devant moi. Si sa ne tiendras cas moi, je dis que mes soldats peuvent rentré chez eux parce qu'il ont fait jusque maintenant, c'est sauvé le monde.

[vétéran Vannuse]

Journale du 15 juin:

C'est un vrai enfer. Je viens de me réveiller sur un lit de camp dans un hopitale. Je suis encore dans la guerre contre les Russes, car j'entendais les coups de canons qui faisait rage loin du camp.

Déjà que mon Adjudant à du se faire escorté avec le restant de c'est troupes loin du front. Mais pour en mettre une couche dans cet guere, les Russes ont réussits à l'abattre. Maintenant, son corps flotte sur la rive de de la Vénitienne.

Et maintenant, moi et mes hommes. Je ne sais pas ce qui était arriver mais on à était tous prit de repos, c'est chose sûr. Car je me ouvient d'avoir ordonné aux gars de ce détendre. Une fois le repos fini, je me retrouve dans cet tente, avec tout la moitier des soldats qui ont combattut sur le front. Ceci était les blessé qui ont su s'en sortir. Pour les 100 autres, qui attendais là, en se reposant, il avaient le même uniforme que nous.

Tout s'explique, le roi à envoyer des soldats afin de completer les trous. Je comprend que des hommes devront encore abandonné leurs familles afin de pouvoir vivre en paix. Une chose est sûr, c'est que plus de 100 hommes ont fini la guerre. J'espère que lorsque je vais me préparer pour le front, la peur n'entraîneras pas de conséquence parmit les nouvelles recrues. Je fait une bêtise, et sa n recommencera plus.